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Le monde de Sophie.
Chapitre 8 : Au boulot !
Sophie passa une nuit un peu perturbée. Les évènements imprévus de son week-end la tourmentaient. Trop de choses en trop peu de temps
perturbaient sa vie. Cela ne lui déplaisait pas, elle adorait etre soumise, jouer à etre soumise sexuellement, etre humiliée...
Seulement, elle ne savait pas si elle pourrait tout assumer correctement ! Esclave oui mais la meilleure des esclaves, question d'honneur !
Ce voisin imprévu dans le rôle de maître, avec ses exigences particulières, pas tout à fait en symbiose avec les siennes, elle ne savait
pas trop comment le gérer. Si elle l'acceptait totalement, il lui fallait faire l'effort de s'adapter à ses désirs. Elle était l'esclave
et lui le maitre. Son but était de lui faire plaisir. En serait elle capable ? Etait ce compatible avec son travail...
Elle finit par s'endormir au milieu de toutes ces questions qui tournaient dans son esprit. Les chaines, peu pratiques pour dormir, la
reveillaient à chaque changement de position durant son sommeil. Elles génaient ses mouvements, faisaient du bruit, ou lui procuraient
quelques douleurs en s'incrustant dans sa chair.
La sonnerie de son reveil la tira du profond sommeil où elle s'était enfin plongée. Elle avait envie de tout sauf de se lever.
Un avantage cependant, le coffre devait etre ouvert et elle allait enfin etre libre !
Elle fit tourner avec ravissement la clé dans les serrures et rangea avec un plaisir non déguisé ces chaines dans le bas de son armoire
de chambre. Enfin libre ! Elle commençait à comprendre le ravissement des esclaves libérés les siècles passés et le sens du mot
déchainé ! Elle jubilait !
Toujours nue, elle se précipita dans sa cuisine pour se faire un bon café. Une fois pret, elle se servit un mug du breuvage bien chaud.
Elle s'assit à sa table et aspira une gorgée bien chaude, la savourant en se calant le dos contre sa chaise.
Elle avait l'impression d'avoir été privée de ce plaisir simple depuis si longtemps, alors qu'il ne lui avait été interdit que 2 matins.
Elle se demandait si elle n'était pas plutôt une esclave de ses désirs qu'une véritable esclave capable de sacrifices demandés par son
maitre. D'un autre coté, son maitre potentiel n'avait rien exigé concernant son petit-déjeuner. Donc elle pouvait faire ce qu'elle
voulait et elle n'allait certainement pas lui demander des contraintes d'elle-même !
La douche fût un autre moment de ravissement ! Pas de chaines à gérer sous l'eau, pas de poids sur les membres quand il fallait se
champooinner la tête ! De petits bonheurs simples ! Elle allait finit par devenir une apôtre de Senèque !
Elle enfila ensuite une jupe grise et un chemisier blanc, sans aucun dessous. Elle était une esclave ! Elle avait décidé qu'une
esclave se devait d'être disponible et donc sans dessous en permanence. Par ailleurs, cela l'excitait de se rendre au travail sans
ses dessous. Cela éclairait sa journée, quand elle se disait assise à son bureau, si mes collègues savaient ! Elle était souvent
humide en y pensant.
Elle mit ses chaussures de marche, se disant que les talons hauts qu'elle avait laissés au bureau conviendraient à sa tenue du jour
et se mit en route.
Elle quitta sa résidence sans rencontrer son voisin et cela la soulagea un peu. Elle se rendit compte qu'elle était un peu stressée,
uniquement lorsqu'une fois dehors, elle se mit à soupirer jusqu'à expulser la totalité de l'air de ses poumons.
Sa journée au bureau se passa sans encombre. Le vendredi avait été compliqué mais par miracle, ce lundi, tout semblait se résoudre
seul. Chaque fois qu'elle joignait l'un des intervenants du projet, les incidents avaient été réglés ou étaient en voie de résolution.
Elle passa donc une journée détendue, se permettant même une pause en milieu d'après-midi.
Au retour de cette pause, Sophie fit un bond et son coeur s'accéléra en rentrant dans son bureau. Sa responsable, Shari, une jolie petite
femme d'origine japonaise, qui réussissait à etre plus petite qu'elle avec son mètre 55 était assise à sa place. Elle remit en place
ses longs cheveux noirs, qui atteignaient presque sa taille fine. Tout d'ailleurs chez elle etait fin, elle ne devait pas peser plus
de 45 kg. Ses bras et jambes etaient minces et osseuses, ses petites mains possedaient de longs doigts fins, même ses fesses etaient
plates. Elle fusilla Sophie de son regard noir, l'impression de colère étant renforcé par le bridage naturel de ses yeux.
Les narines de son petit nez retroussé semblaient palpiter et sa petite bouche aux levres pleines etaient pincées. Elle expira bruyamment
de l'air, ce qui n'avait même pas gonflé les joues de son visage effilé.
Elle resta assise alors que Sophie refermait la porte de son bureau. Sophie n'avait qu'une envie, fuir ! Shari avait quelques années
de moins qu'elle, approchant la quarantaine alors qu'elle n'en faisait une petite trentaine, mais devant elle, elle se sentait comme
devant quelqu'un de plus agé et ayant toute autorité sur elle. Cela la pertubait et elle devait contenir son envie de filer aux
toilettes.
- Ca va ? La vie est belle ! la voix grave de Shari retentit dans le bureau, les mots bien détachés un à un, parlant lentement et clairement.
On se permet de faire des pauses pendant que je fais tout le travail à votre place ?!?
- Mais Shari, je vous assure que j'ai contacté tout le monde aujourd'hui ! Tout allait bien !
- Evidemment que tout allait bien ! J'ai passé mon temps à régler tout vos problèmes, dérangée tout le week-end et toute la journée !
- Mais...Mais personne ne m'a rien dit !
- Personne ne voulait plus avoir affaire à vous ma pauvre ! Ce n'est guère étonnant !
- Ils auraient pu me dire ce qui n'allait pas Shari, j'aurai fait de mon mieux !
- Cela n'aurait pas suffit ! Il faut faire mieux encore ! Ce n'est pas à votre patronne de faire tout le travail !
- Mais je l'aurai fait Shari !
- Oui la preuve ! Je vous ai dit vendredi que je voulais vous voir ce matin ! Que j'attendais un compte-rendu complet de la situation !
- Mais vous sembliez si occupée Shari...
- Oui occupée en raison de votre incompétence !
Shari tapa du plat de la main sur le bureau, tres énervée. Les collègues des deux jeunes femmes n'osaient pas leur faire de signe
en partant, préférant raser les murs. Quand la patronne etait en colère, il valait mieux ne pas etre pris dans la tempete !
- Bon suivez moi dans mon bureau ! On va éclaircir quelques points ! Je suis trop énervée pour rester ici, j'ai besoin de mon environnement !
Shari se leva et d'une démarche fière, tete bien droite, le pas assuré et pas trop rapide, elle ouvrit la porte du bureau de Sophie.
- Vous prenez tous vos documents et vous etes convoquée dans mon bureau ! Vous avez 5 minutes ! Pas une seconde de plus ! Ne vous amusez
pas à croire que vous avez le temps de refaire une pause !
Sophie en resta paralysée sur place pendant quelques secondes. Tout semblait aller si bien.
Les quelques collègues qui restaient encore lui firent quelques gestes catastrophés de la main et s'empressèrent de rentrer chez eux.
Rien ne pouvait justifier à leurs yeux de rester plus longtemps et de risquer la colère de Shari. La foudre peut tomber un peu n'importe
où quand l'orage gronde.
Elle rassembla rapidement les derniers éléments du projet pour les grouper dans la pochette et prenant son courage à deux mains, elle
alla frapper à la porte du bureau de Shari.
Celle-ci était au téléphone et ne lui répondit pas. Le bureau étant entièrement vitré, elle ne pouvait pas ignorer que sa collaboratrice
était là.
Elle refrappa après deux minutes à la porte, au cas où Shari n'aurait pas entendu, absorbée par la conversation téléphonique.
Le verre vibra sous sa main alors que Shari lui tonna d'entrer.
- Oui je suis désolée, je serai très en retard ce soir ! Oui ! Oui ! Non juste une incompétente à recadrer voir à reprendre en main !
Oui ! D'accord, à ce soir !
Sophie rougit en entendant qu'elle était ouvertement qualifiée d'incompétente. Elle baissa la tête pour fixer le bout de ses chaussures.
La situation l'embarrassait. Le problème, c'était les réactions de son corps. En entendant Shari parler ainsi d'elle, de sa voix forte,
ses tétons s'étaient durcis et tendaient le tissu de son chemisier. Elle sentait aussi que son sexe était devenu tres humide.
Heureusement que c'était indétectable, ou presque...
- Alors ce dossier ! Je peux l'avoir ! Vous avez un tas de choses à m'expliquer ! D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi je ne vous vire
pas simplement ! Vous avez de la chance que je vous aime bien !
Sophie poussa un petit soupir discrètement, rassurée. Elle avait toutes ses chances de ne pas finir comme les 2 précédentes qui
avaient été convoquées dans le bureau de Shari un soir et qui avaient été congédiées sine die.
- Bon passons au premier point, le constructeur ! Alors pourquoi ai-je du régler les litiges concernant cette putain de commande !
- Mais quels litiges Shari ?
- Ceux qui bloquaient l'execution de la commande petite cruche !
- Mais il n'y en avait pas Shari !
- La commande était validée ? Non ! Pourquoi ? En raison des litiges ! Vous etes une gourde !
Sophie rougit sous l'argumentaire de Shari et les noms d'oiseaux dont elle l'affublait.
- A quoi etes vous utile sur ce projet ? A rien visiblement ! Vous allez voir le nombre d'actions que j'ai du prendre à mon compte
alors que c'etait votre travail ! Pendant que Melle se prenait une pause tranquillement ! Je vais vous la faire passer moi votre pause !
- Je suis désolée Shari, je ne savais pas !
- Je n'en ai rien à faire que tu ne savais pas espèce de paresseuse !
Sophie rougit terriblement, vexée, elle qui n'hésitait pas à rester tres tard au bureau pour parfaire son travail, parfois la dernière
partie même, chaque fois qu'il le fallait.
Shari leva la main alors que Sophie allait protester, pour lui intimer de se taire.
- C'est simple Sophie ! Tu as quel age ?
- 42 ans Shari !
- Tu m'appelleras madame quand nous ne serons que toutes les deux dès maintenant !
- Mais pourquoi ?
- Parce que les petites incompétentes de ton espèce, je préfère qu'elles ne m'appellent pas par mon prénom ! Et je ne vais pas me justifier
à chaque ordre que je te donne ! La société nous recommande de nous appeler par nos prénoms mais ici dans mon bureau ce sera ainsi !
Si tu n'es pas contente, tu prends la porte !
- J'ai 42 ans madame...
- Et des seins qui pointent !
- Pardon madame ?
- Rien rien ! Tu as donc 42 ans et que fais tu de ta vie petite conne ?
Sophie n'osa protester de cette nouvelle insulte mais rougit encore plus.
- Je suis l'une de vos chefs de projets madame.
- Et moi quel age ai-je à ton avis ?
- 32 ans madame ?
- La flatterie ne marche pas avec moi espèce de fayote ! ne crois pas t'en tirer comme cela ! Néanmoins, j'ai 37 ans ! Et que suis-je ?
- Vous etes la directrice de notre département madame !
- Voilà, il y a au moins quelques petites choses que tu connais !
Sophie était confuse et se sentait humiliée. Le problème, c'est que sa poitrine trahissait de plus en plus son excitation. Par chance, son
sexe ne lui coulait pas encore sur les cuisses.
- J'ai 37 ans et j'ai réussi ma vie ! Toi tu as 42 ans et tu es si incompétente que tu n'as même pas encore atteint un poste du niveau
du mien ! Peut-être que cela ne t'arrivera d'ailleurs jamais ! Je suis la plus jeune et c'est moi qui commande !
Sophie resta sans voix, rabaissée comme rarement de sa vie. Les larmes lui montaient aux yeux.
- Cependant ! Il y a un cependant ! Comme tu me plais beaucoup et que j'aime voir tes tetons déformer ton chemisier, je t'offre une chance!
- Merci madame soupira Sophie de plus en plus humiliée, n'osant rien dire concernant sa poitrine.
- J'ai noté que tu terminais tardivement le soir, comme moi ! Tu n'es donc pas irrécupérable !
- Oui merci madame !
- Ne me remercie pas trop vite petite trainée !
- Ho mais madame !
- Comment appelles tu une personne qui a les seins qui se tendent alors qu'elle se prend un savon de première par sa patronne?
- ...
- Une petite trainée !
- ...
- Repete !
- Je suis une petite trainée madame !
- Et bien voilà une chose sur laquelle nous sommes d'accord !
- Les 2 précédentes que je voulais comme assistantes exclusives ne comprenaient pas qui commandaient ! Elles avaient plus de fierté que toi!
Elles ont du partir voir ailleurs si l'herbe y est plus verte d'ailleurs ! Mais je sens que l'on va peut etre réussir à s'entendre toutes
les deux !
- Je l'espère beaucoup madame !
- Tu es donc une petite trainée et une incompétente notoire ! Tu as foiré l'ensemble de ce dossier !
- Oui madame, heureusement que vous étiez là !
- Cela c'est la version que je connais ! Pour la version officielle, tu as été parfaite sur ce dossier, j'ai passé tous les coups de fils
mais personne n'osera me contredire !
- Personne n'en aura jamais le courage madame !
- C'est certain, mais cela tant que je le déciderai te concernant !
- Oui madame !
- Je vais profiter de ce beau succès pour faire de toi mon adjointe, ne prenant plus d'ordre que de moi, supérieure à toutes les autres
chefs de projet !
- Ho merci madame !
Shari leva de nouveau la main.
- Il y a des contreparties tu te doutes bien !
- Lesquelles madame ?
- Tu dois réussir l'examen que je vais te faire passer !
- Un examen madame ?
- Oui avec des notes !
- Bien madame.
- Tu y es prete ?
- Oui oui madame !
Sophie commençaient à se rassurer, cela ne tournait pas si mal pour elle. Une petite engueulade et un examen pour ensuite obtenir une
promotion, c'était inespéré !
- Cette place implique un dévouement à toute épreuve envers moi !
- Oui je comprends madame.
- Donc à tout moment, tu es libre de prendre tes affaires et de partir, ce sera considéré comme une démission si l'examen est trop
complexe pour toi !
- Bien madame !
- J'ai besoin d'un bon petit soldat qui ne cherche pas à comprendre mes ordres ou à les interpréter mais à les faire respecter !
- Je comprends madame !
- Enlève ton chemisier !
- Pardon madame ?
- Un poinr de moins !
Sophie s'empressa d'enlever son chemisier honteuse de dévoiler ses seins gonflés par l'excitation. Ses beaux globes ronds se dressaient
fièrement devant elle, ses tetons allongés et bien durs pointant vers Shari.
Mais qu'est ce que je fais là se disait elle. Je suis en train de me mettre à poil devant ma patronne juste parce qu'elle me le demande !
N'ai je donc aucune volonté ou fierté ? Il suffit qu'on me demande de me devetir et je le fais ! Je vais finir par croire que je ne
suis vraiment qu'une pute ! Sophie dégrafa ensuite sa jupe pour la laisser glisser à terre, entièrement nue devant Shari, dans son
bureau vitré, espèrant qu'il ne restait vraiment plus personne à l'étage.
- Un point de plus pour toi petite salope ! Tu devances les désirs de ta supérieure ! C'est très très bien ! Et un second point de plus
parce que tu es encore plus une trainée que je ne l'imaginais ! Pas de dessous pour venir au travail ! Bravo !
Sophie était rouge de honte, les compliments la rabaissant plus qu'autre chose.
- Tu viens souvent sans dessous travailler ?
- Oui madame.
- Pour quelle raison ?
Sophie s'empourpra en songeant à sa motivation première.
- Un point de moins pour tentative de dissimulation d'une information !
- C'est plus pratique et amusant madame !
- Un autre point de moins ! -2 pour mensonge flagrant !
Sophie se demandant comment Shari pouvait savoir qu'elle mentait ! Etait-ce un bluff ? Elle disait cela au hasard ? Precher le faux pour
connaitre la vérité, ce n'était pas dans ses habitudes. D'un autre coté, faire mettre nue une collaboratrice dans son bureau ne devait
pas l'etre non plus ! Encore qu'il semblait y avoir eu 2 précédents qui avaient avortés...
Shari s'approcha d'elle et lui prit les tetons entre les doigts, s'amusant à les presser, les masser, les étirer.
Sophie se mordait les lèvres pour ne pas gémir, la situation l'excitait affreusement.
- Tu as de beaux gros seins ma petite pute !
- Merci madame.
- Si tu deviens mon ombre, ils seront à moi ! Je veux dire ici ! Pendant les heures au bureau ! Tu garderas ta vie privée !
- Oui madame, merci madame !
- J'aime que tu m'appelles ainsi ! Je sens à ta façon de le dire que tu le prononces avec respect ! C'est important pour moi !
Shari tapa doucement sur l'intérieur des 2 cuisses de Sophie.
- Ecarte petite vicieuse ! Et mets tes mains sur la tête !
Sophie s'empressa d'obéir de plus en plus humiliée. Ses seins remontèrent encore un peu plus sous le nez de Shari et elle écarte bien
ses jambes.
- Tu n'es vraiment qu'une petite perverse ! S'épiler le sexe comme cela ! Je croyais qu'il n'y avait que dans les films pornos que cela
se faisait !
Sophie était de plus en plus humiliée. Le pire pour elle, c'est que chaque humiliation augmentait son état d'excitation.
Shari glissa sa main sur le pubis de la petite blonde avant de la faufiler entre ses cuisses et de masser ses levres.
Sophie sentit un doigt ouvrir ses lèvres et laissa échapper un gémissement de plaisir.
- Tu n'as pas honte de mouiller le doigt de ta patronne comme cela ! Petite chienne en chaleur !
- Si madame mais je ne peux pas m'en empecher !
- Surtout pas ! J'adore cela ! Je peux encore plus t'humilier ! Je crois que l'on va bien s'entendre toutes les deux !
- Oui madame dit Sophie en gémissant encore plus, Shari venant de jouer avec son clitoris.
- Tourne toi !
Sophie obéit sans l'ombre d'une hésitation. Shari lui frappa les fesses de la main.
- Penche toi fontaine de cyprine !
Sophie obéit de nouveau tres humiliée, en déséquilibre, les mains sur la tête.
Shari rit amusée par le spectacle.
- Plus 10 ! Tu n'as pas cherché à retirer tes mains de ton crane ! J'adore ! Allez écarte moi ces grosses fesses des mains !
Sophie se retint de protester, son cul était loin d'etre gros ! Mais elle comprit alors que ce n'était qu'une insulte de plus pour
la rabaisser et se retint à temps. Elle prit chacune de ses fesses entre ses mains pour totalement s'ouvrir à la vue de Shari.
- Ne bouge pas !
Elle sentit un doigt masser son anus puis entrer en elle sans hésitation. Sophie ne put s'empecher de tendre son cul.
- Mais c'est bien ça ! Tu aimes te faire enculer par ta patronne ! Tu le seras souvent crois-moi !
Shari rit encore plus amusée.
- Avance vers la table de réunion !
Courbée, Sophie obéit, se tenant toujours les fesses ouvertes.
- C'est bien ! Tu es très obéissante ! Je crois que tu es le recrutement du siècle !
Shari la plaça juste à coté de la table près du siège qu'elle aimait occuper lors des réunions impromptues qu'elle donnait dans son
bureau.
- J'aime m'installer ici le soir pour me pencher sur un dossier en particulier. Le problème c'est que l'éclairage n'est pas parfait.
Et si je mets la lampe sur la table, je n'ai plus assez de place ! Heureusement, maintenant tu vas être là !
Place tes mains sur tes cuisses pour assurer ta position !
Sophie obéit se demandant ce que sa patronne tramait. Elle sentir un objet lourd et froid se poser sur son dos et la lumière s'imposa
dans cette partie du bureau.
- Impeccable ! dit Shari. Tu seras une parfaite petite table ! Je vais t'utiliser au mieux de tes capacités tu vois !
Le poids fut rapidement oté de son dos et un nouvel ordre fusa !
- A genoux mains sur la tête !
Sophie obéit résignée, s'agenouillant devant sa patronne.
- Coté obéissance physique, dernière épreuve et pour cette partie d'examen, tu seras reçue !
La petite blonde agenouillée se disait heureusement, qu'aurait elle pu faire de plus ! Comment etre encore plus rabaissée qu'elle ne
l'était.
- Mains dans le dos et penche toi ! Nettoie mes chaussures de la langue, je veux qu'elles luisent bien !
Rouge de honte, Sophie obéit et ravalant sa fierté et son dégout, elle passa sa langue sur tout le cuir des chaussures de Shari.
- N'oublie pas les talons !
Ecoeurée, Sophie n'émit pas de protestation et lapa les talons de Shari qui leva ses pieds l'un après l'autre pour enfoncer tout
son talon dans la bouche de sa collaboratrice.
Elle le fit bouger à chaque fois un peu, comme pour lui prendre la bouche et bien la dominer.
- Tu es reçue ! Pour la partie pratique ! Il reste la partie théorique à passer !
Shari claqua des doigts.
- Allez debout ! Suis moi petite salope gluante de mouille ! On va aller aux archives, le temps de laisser la société de nettoyage
faire son travail ! Sauf si tu as envie que l'on te voit nue dans mon bureau ajouta Shari en souriant jusqu'aux oreilles !
Sophie se releva et ramassa son chemiser et sa jupe. Shari lui prit des mains et les plaça en évidence sur la table de son bureau.
- Si l'employée de nettoyage les remarque bien sur ma table puis ensuite sur toi, elle saura qu'à un moment, tu ne devais pas porter
grand chose dit Shari de nouveau rayonnante. Allez en route pour les archives !
Sophie sortit nue devant sa patronne pour remonter tout le couloir de son entreprise, priant à nouveau pour que tout le monde
soit bien parti.
A suivre...