Le monde de Sophie.
Chapitre 1 : Contrariété et petits bonheurs
Putain de projet ! Tout le monde est en retard, pas moyen de faire respecter un délai à quiconque dans cette société et évidemment sur qui cela
va retomber ? Et bien ce sera sur moi ! Pourtant ce n'est pas faute d'avoir prévenu et répété qu'il y avait un risque ! C'est trop tendu coté
délai depuis le début ! Tendue comme moi d'ailleurs ! J'ai bien besoin de vacances ! Heureusement qu'on est vendredi !
Sophie etait en train de pester interieurement tout en rédigeant un énième mémo à l'attention de sa directrice pour l'informer des nouvelles
perturbations de planning du projet phare de la société.
Me couvrir au maximum pensait elle sinon je suis bonne pour prendre la porte ! j'ai bien vu que la dernière fois c'etait passé tout juste pensait
elle tout en rassemblant le plus d'informations possibles.
Hooverphonic ! Tiens quelqu'un qui aime ce groupe comme moi ! Sophie relève la tete pour regarder dans son voisinage avant de se rendre compte
que le bruit vient de son sac !
Zut ! je ne suis pas encore habituée à mon nouveau téléphone !
Elle fouille fébrilement dans son sac à main pour pouvoir le trouver avant que la messagerie ne prenne le relais et décroche précipitamment.
- Oui ! C'est Sophie !
- Hi ! c'est Mel ! Tu viens déjeuner avec moi ce midi ?
- Ho non ! Il est déjà midi et demi ! Ne le prend pas mal Mel ! Je ne disais pas cela pour toi ! je n'ai pas vu le temps passer ce matin !
Désolée je ne peux pas, je suis en retard sur tout! Je te raconterai lundi ! Enfin si je suis encore en place ! S'cuse moi je raccroche !
Sophie verrouille aussitôt son pc, attrape son sac et file en courant vers le hall de l'etage. Ce mémo peut bien attendre cet après-midi !
Pour ce que cela m'apportera de bon de toute façon !
Ses beaux cheveux blonds volent un peu en l'air alors qu'elle glisse en fin de course pour taper d'un petit coup sec sur le bouton d'appel de l'ascenseur.
Ses yeux bleus passent rapidement de l'affichage informatif d'arrivée de l'ascenseur à sa montre.
Pourvu que j'arrive à temps pour recevoir mon paquet ! Je suis sure que le livreur n'attendra pas si je suis absente ! Ils n'attendent jamais!
A peine les portes ouvertes, elles se glissent à l'intérieur poussant un peu de monde pour s'inserer dans un petit espace. Heureusement, sa petite taille
et sa finesse (1m63 pour 51kg) lui permette toujours de ne pas attendre pour descendre.
Elle distribue quelques beaux sourires pour s'excuser et l'ascenseur reprend sa descente. Elle jaillit la première à l'ouverture et file vite dans la rue.
Elle ouvre sa veste de tailleur et bombe le torse pour faire ressortir sa poitrine ronde tout en levant la main pour heler un taxi !
A peine une minute ecoulée, un de ceux-ci pile devant elle pour la prendre en charge.
Elle se glisse à l'interieur tout en donnant son adresse et en souriant charmeuse au chauffeur. Ca marche toujours pense Sophie, heureusement que je ne
vieillis pas trop vite ! Je ne sais pas comment je ferai plus tard !
Durant le trajet, rapide pour une fois, Sophie ne cesse de consulter sa montre! Je mérite des claques ! j'aurais du mettre mon alarme de téléphone en route !
Enfin, le taxi arrive à destination.
Zut ! Un camion de livraison devant chez moi ! j'espère qu'il n'est pas trop tard !
Sophie donne rapidement un billet au chauffeur et se précipité dehors, abandonnant un généreux pourboire à son conducteur, pour se précipiter au plus vite
vers le véhicule de service.
Au moment où elle arrive à sa hauteur, le moteur se met en route ! Son coeur accélère et elle court frapper au carreau coté passager tout en plaquant sa
carte d'identité sur la vitre.
- Je suis Sophie M. ! Je suis en retard désolée mais vous devez avoir un colis pour moi non ?!?
- Vous avez de la chance ma p'tite dame ! Doublement de la chance meme ! Si vous n'etiez pas aussi jolie, vous devriez attendre mon prochain passage la
semaine prochaine !
Sophie lache à nouveau son sourire le plus charmeur tout en remerciant le livreur qui descend de son véhicule pour fouiller à l'arrière et en sortir un colis
cubique d'une quarantaine de cm de coté. Elle signe fébrilement le bon de livraison tout en remerciant encore chaudement le livreur.
Ouf ! Mon week-end est sauvé ! A une minute près, tout était gaché ! Finalement, ce n'est peut etre pas une journée si mauvaise que cela !
Sophie rentre chez elle et pose précautionneusement son paquet sur la table de sa cuisine, le couvant des yeux comme si c'etait un trésor !
Bon pas le temps de faire de la grande cuisine! Qu'est ce qu'il me reste à manger ! Allez va pour les carottes ! C'est bon pour la santé.
Sophie se verse une portion de carottes rapées toutes préparées dans une assiette et s'installe à table tout en couvant son paquet du regard.
Je l'ouvre ou pas? Elle n'arrive pas à se décider tout en machant tranquillement son repas.
Non ! Il ne vaut mieux pas ! Sinon je vais etre en retard à mon bureau ! Cela attendra ce soir comme prévu !
Elle débarrasse sa table et caresse affectueusement le haut du colis. Dire que j'ai failli te louper ! Alors qu'il m'a fallu tant de semaines pour
avoir le courage de passer la commande !
Elle abandonne à regret son domicile pour retourner au travail, bien moins pressée d'y retourner que de le quitter.
Une fois devant son PC, elle se résigne à terminer son mémo, y passant une bonne partie de l'après-midi. Trainant pour le boucler, n'ayant pas du tout
envie de l'envoyer trop tot, preférant reculer les conséquences au lundi.
Au moins je passerai un tres bon week-end avant que le ciel ne s'écroule sur ma tete ! Il m'a fallu tellement de temps pour le préparer !
Non rien ne doit le gacher, absolument rien !
Sophie enregistre finalement le tout sans l'envoyer, remettant cela au lundi. Elle rassemble ses affaires et se dirige vers la sortie.
- Sophie ! Une minute s'il te plait !
- Oui Shari ?
Et zut pense Sophie, il fallait que je tombe sur elle. Shari, petit bout de femme d'origine japonaise, s'approchant doucement de la quarantaine, fait
claquer ses talons sur le sol en approchant. Directrice du service depuis 2 ans, elle mène son petit monde tranquillement sans faire de vague.
Sophie sent des frissons dans sa colonne vertébrale à chaque claquement de talon qui réduit l'espace entre elles deux.
Je ne comprends pas pourquoi elle me terrorise autant ! Jamais elle ne m'a menacée de quoi que ce soit !
- Sophie, je n'ai pas eu ton compte-rendu concernant ton projet ! Je t'ai dit que c'etait important !
- Oui Shari, excuse moi, je n'ai pas eu encore toutes les informations ! ment Sophie, j'aurai ce qui me manque lundi matin et je te ferai aussitot suivre
le compte-rendu complet, c'est promis !
- Tu as interet ! répond Shari laissant clairement filtrer son mécontentement et la menace d'une réaction vive de sa part.
- Je n'oublierai pas Shari !
- Bon week-end Sophie. La voix de Shari reste ferme en prononcant ses mots et peu amène.
- Bon week-end Shari ! dit Sophie d'une voix mal assurée, se demandant si elle a eu raison de mentir ainsi et de reporter tout au lundi.
Sophie s'empresse de rentrer chez elle pour ne pas avoir de remords.
Elle s'installe sur son fauteuil pour se remettre un peu de toutes ses émotions de la journée. D'habitude, etre seule chez elle le week-end l'embete.
Son plan a failli échouer avec la livraison du colis ce midi mais maintenant, plus rien ne pourra en empecher l'accomplissement.
Rien sauf elle ! Vais je oser ? Oui il le faut ! J'ai laissé mon nom sur ce site pour passer ma commande alors maintenant je dois en profiter !
Elle s'encourage mentalement puis se lève et allume son ordinateur. Windows et ses lenteurs...Elle file dans sa chambre et se dénude, se regardant au
passage dans la glace de son armoire. Elle passe ses mains sous ses seins, les redressant un peu. Ils sont toujours bien ronds, ont perdus un peu de
leur fermeté mais pour mes 42 ans ils ne sont pas mals, pense Sophie, en massant ses tetons, les affermissant et les faisant pointer.
Son 90C mis en valeur par son excitation, ses tetines tendues au milieu de ses belles aréoles roses, elle se tourne et regarde ses fesses un peu aplatie mais
toujours aussi rondes quand elle se penche. Elle se tourne à nouveau et masse doucement son pubis et ses levres bien lisses.
Elle se donne une tape sur les fesses. Allez ma belle ! il est temps de passer à l'action !
Elle regagne son pc et lance la petite application qu'elle a développée depuis quelques jours.
Elle file ensuite nue jusque sa cuisine et regarde avec tendresse le colis sur sa table.
Elle découpe le carton pour bien l'ouvrir et se mordille les levres. J'espère que tout y est ! J'espère que tout etait en stock !
Elle écarte les pans du carton et sort un premier paquet. Elle le déballe et sourit ! Humm il est vraiment beau ! Elle découpe l'emballage et en extraie
un gode réaliste couleur café. Une vingtaine de cm de long et 5 cm de diametre, une belle ventouse à la base et une commande pour le faire vibrer.
Tu me plais toi et Sophie dépose un bisou sur le gland. Elle dépose l'engin sur la table et s'empare du second paquet.
Celui dévoile un martinet avec de multiples lanières en cuir de bonne qualité avec un noeud en bout de chacune de celle-ci.
Le manche est en bois vernis classique. Ce qui change des autres, ce sont ses lanières, le site de commande indiquait qu'elles assuraient la douleur
sans faire de blessure. C'est ce qui avait décidé Sophie à le commander.
Elle déballe le 3eme paquet pour réveler un collier en métal, collier d'esclave. Elle avait longuement hésité à le prendre, il etait maintenant associé
sur ce site à son nom et cela l'embetait mais bon tant pis, après tout il etait peu probable que quelqu'un de cette société la croise un jour!
Enfin le dernier paquet, contenant 2 chaines avec bracelets à chaque extrémité. Une pour les chevilles, l'autre pour les poignets.
Tout y est ! C'est parfait !
Elle passe la première chaine à ses chevilles, les bracelets sont froids et durs, la chaine d'une cinquantaine de cm va restreindre ses mouvements.
Elle les referme à clés avant de se fixer la chaine suivante aux poignets puis enfin le collier. Ce dernier lui provoque une sensation de gène.
Un poids sur son cou et sa nuque, elle a la sensation de ne pas pouvoir respirer comme elle le souhaite, ce qui est ridicule pense aussitot Sophie.
Il ne colle meme pas à ma peau! Elle comprend alors que ce devait etre humiliant de porter ainsi un collier en public autrefois pour les esclaves.
Elle se résoud à le verrouiller aussi à clé.
Elle prend une profonde inspiration et se dirige à petits pas vers sa chambre, vraiment pas pratiques ces chaines !
Sophie pose les clés de ses chaines et de son collier dans un petit coffre et le referme. Elle respire à fond plusieurs fois et se dit allez
on y va ! Que le week-end commence ! Une esclave est née ! Elle programme l'ouverture du coffre pour 60 heures plus tard.
Elle teste l'ouverture, c'est bien fermé ! Je suis en chaine et nue pour le week-end !
Elle retourne à son PC et tapote les mots clés permettant de démarrer correctement son application. Un peu de sécurité, il ne faudrait pas que
quelqu'un déclenche cela par hasard.
- Bonjour Esclave !
- Bonjour Maitre répond Sophie tout en sachant qu'elle ne fait que parler à son PC, son application étant jumelé à un synthétiseur vocal.
La voix est un peu métallique mais c'est le mieux qu'elle ait trouvé dans les logiciels gratuits. Après avoir passé inutilement du temps sur internet
à chercher un homme qui la dominerait selon ses envies, elle s'etait dit qu'en attendant le candidat idéal, il valait mieux se débrouiller seule.
Le programme devait selon un intervalle de temps aléatoire lui donner des ordres. Elle avait constitué des types de sujets, de verbes, de compléments,
de lieux et de positions qui allait constituer des ordres normalement cohérents et totalement imprévisibles de sa part. Un bon paliatif à un maitre réel!
Cela avec un délai entre 2 ordres totalement imprévisible. Elle avait cependant programmé une durée minimale pour chaque ordre et les avait répartis
en 2 classes, les ordres longs comme faire le ménage, cuisiner tel plat, et les ordres longs comme 10 coups de martinet, avec possibilité d'
interrompre le déroulement d'un ordre long par un ordre court et une fois celui-ci effectué, la reprise de l'ordre long devait se faire.
Il y avait également une heure de coucher et de lever dans une certaine plage horaire.
Le premier ordre tomba alors !
- Esclave ! Va nettoyer la salle de bain !
- Oui Maitre répondit Sophie.
Après avoir pris le matériel nécessaire, Sophie commence à frotter la baignoire, s'appliquant à ne laisser aucune trace, faisant briller le robinet,
passe ensuite à son évier.
- Esclave ! 30 coups de martinet à genoux ici sur tes fesses !
- Oui Maitre
Sophie file le plus vite possible chercher son martinet pour l'etrenner sur elle ! Elle s'agenouille devant la baignoire et s'apprete à commencer sa
punition quand le PC se réactive
- Esclave! Allume la cam !
Mince se dit elle, j'avais oublié que j'avais programmé cela. Sophie hésite puis finalement obéit, je n'avais qu'à pas le mettre si je ne voulais
pas ! elle dirige bien la prise de vue vers l'endroit prévu pour sa punition et se réinstalle dos à la cam, entendant que au ronronnement du pc
que plusieurs de ses contacts on mis en route le visionnage pour la regarder. Ils vont etre surpris, jamais encore je ne me suis mise nue devant eux
et là en plus je vais me punir. Sophie frissonne en sentant une douce chaleur entre ses cuisses. Elle en rougit honteuse d'etre excitée pour cela.
Elle fait tomber le premier coup sur ses fesses et ne peux s'empecher de gémir de douleur.
Effectivement, il est efficace ce martinet, il vaut bien la somme que m'a extorquée le vendeur ! Elle continue sa punition, ralentissant la cadence
au fil des coups. Ses fesses ne supportent plus trop la douleur, celle-ci s'intensifiant au fil de la punition et la chaine l'epuise, l'obligeant à
une gymnastique peu simple pour se frapper. Elle finit les larmes aux yeux, incapable de bouger, restant cul zébré et violacé en direction de la
cam.
Ouf! je ne pensais pas que cela pouvait etre aussi douloureux! Je n'ose pas imaginer ce que cela doit donner quand c'est quelqu'un d'autre qui frappe!
Là au moins, je maitrisais la force et la cadence des coups... Je crois que je ne suis pas prete pour etre soumise réellement à un maitre.
- Esclave! Reprise ordre va nettoyer la salle de bain ! gronde le pc.
Sophie sourit fière que son programme de reprise des ordres longs fonctionne et reprend le nettoyage de la piece, terminant à 4 pattes pour laver le
carrelage avec grand soin, accompagnée en permanence par le bruit des chaines. Ses seins lourds pendant sous elle, ballotant alors qu'elle s'active
à tout faire briller, penchée en avant le cul en l'air, completement ouverte à la cam.
Elle se redresse brutalement en y repensant ! Zut, c'est toujours allumé ! Tout le monde a vu mon sexe maintenant !
Elle rougit honteuse de ne pas y avoir pensé et de ne pas avoir pris de précautions. Tout le monde a du voir à quel point je suis trempée alors que
j'ai pris 30 coups de martinet ! Quelle honte ! Je crois qu'il va falloir que j'élimine beaucoup de mes contacts après ce week-end ! Après tout qu'ils
en profite un peu avant de se faire jeter !
Sophie termine enfin le nettoyage. Au moins cela a du bon, jamais ma salle de bain n'a été aussi belle ! Il faudra absolument que je recommence !
Hypocrite se dit elle, comme si c'etait pour l'entretien ! La jolie blonde se releve enfin, massant ses fesses encore bien douloureuses et range
le matériel, remet son pc dans le salon.
- Esclave ! Heure du repas !
- Oui maitre !
Encore une fonction qui se déroule bien ! Je ne suis pas si mauvaise !
- Plat préparé à réchauffer ! repas en assiette sur la table du balcon ! boisson en bol à terre dans la cuisine !
Zut ! je n'ai pas pensé à coupler le lieu pour le repas et la boisson ! Sophie se choisit un plat léger dans le refrigerateur et l'enfourne dans
le micro-onde. Elle prend un bol et hésite après l'avoir empli d'eau. Cuisine ou balcon aussi ? Bon après tout, un ordre est un ordre et elle dépose
le bol dans un coin de la cuisine. La sonnerie du four retentit et après avoir déversé le contenu du plat dans son assiette, elle sort sur son balcon.
Heureusement, il n'y a pas d'immeuble directement en face, par contre ceux qui ont un téléscope vont pouvoir me regarder pense Sophie, excitée de
nouveau à cette idée. Elle file chercher le pc pour le poser sur la table, permettant aux personnes encore en ligne de la voir manger, ses beaux
seins bien visibles. Elle se sent humide coulant sur sa chaise alors qu'elle mange à l'idée que du monde la voit en ce moment même.
Rapidement, elle a la chair de poule. Les soirées sont encore fraiches, j'aurai du y penser ! Elle s'empresse de terminer son assiette pour pouvoir
rentrer et dessert la table, emmenant le tout ainsi que son pc dans la cuisine.
Elle regarde le bol à terre assoiffée mais honteuse à l'idée de ce qu'elle va devoir faire. Elle dirige la cam vers l'angle de la piece, la centrant sur
le bol et se met à 4 pattes. Elle soupire de contentement, le poids de la chaine ne pesant plus sur ses poignets et bras ainsi. Cela lui fait du bien.
Elle se penche sur le bol humiliée, de nouveau totalement ouverte à la cam, et tremble de froid, surprise par le contact de ses seins sur le carrelage.
Elle se redresse aussitot, c'est glacial pense t'elle mais j'ai trop soif. Elle se repenche plus lentement cette fois et seins à terre, elle lappe
à petits coups de langue l'eau dans le bol. Pas simple ! Je ne sais pas comment font les chiens ! L'eau coule tres lentement dans sa bouche, quelques
gouttes à chaque coup de langue et elle ne se sent correctement abreuvée qu'au bout d'une dizaine de minutes.
Sophie se sent terriblement excitée, ses levres sont ouvertes, ses seins durcis, ses tetons bien tendus. Elle meurt d'envie d'utiliser le gode ou meme
rien que ses doigts mais se force à accepter ses propres règles du jeu. Non ! non! non! Je ne cederai pas à ma faiblesse ! Je suis une esclave.
Elle secoue ses chaines pour bien se le rappeler et se redresse, se releve.
Elle nettoie un la cuisine puis ressort sur le balcon pour passer un coup d'éponge sur sa table, imaginant une multitude de telescopes la scrutant nue
dans la nuit plutot lumineuse de la ville.
- Esclave ! Heure du coucher !
- Oui maitre !
Sophie attend angoissée que l'algorythme de son programme détermine les conditions du coucher. Il faudra que je diminue la temporisation de mon
programme ! Le suspense est trop difficile à supporter si longtemps.
- Dans la cave sur couverture !
J'ai mis ça comme lieu moi ? je me suis trompée ! Je ne peux pas dormir nue en chaine dans ma cave ! Sophie hésite à cliquer sur le bouton pour générer
un nouvel ordre. Suis-je une esclave ou non ? A priori oui ! Il faut que j'obeisse sinon je regretterai toujours de ne pas l'avoir fait !
Elle prend une vieille couverture dans une armoire, emmene un sac avec le martinet et le gode et prend son PC.
Elle entrouvre la porte de son appartement ecoutant les bruits environnants. Tout a l'air calme, elle se faufile nue hors de chez elle et appuie sur le
bouton d'appel de l'ascenseur et refile chez elle. Après une courte attente, une petite sonnette retentit et les portes de l'ascenseur s'ouvrent.
Parfait il est vide ! Sophie referme son appart à clé, fixant la clé ensuite à la chaine reliant ses poignets et se precipite dans l'ascenseur nue
avec son pc et son sac de matériel. Elle appuie sur le bouton du sous-sol et commence à prendre peur alors que la descente commence.
Pourvu que personne ne veuille descendre en meme temps que moi! Sinon je ne vois pas quoi inventer comme bonne excuse. Je suis foutue !
Elle pousse un gros soupir de soulagement quand les portes s'ouvrent sur le couoir vide des caves. Elle se précipite jusque la porte de son local
et l'ouvre avec la clé de son appart et rentre vite à l'interieur. Le sol en beton est froid sous ses pieds. L'endroit est bien sec heureusement et
sans rongeur ou insecte. J'aurai du prendre quelque chose contre les araignées tout de meme se dit la petite blonde.
Elle branche son PC sur la seule prise de la cave et installe la couverture dans un coin de la cave. C'est un peu le fouillis mais il y a malgré tout
un endroit bien dégagé où s'installer.
Elle eteint la lumière et il ne reste plus qu'une fine lueur verte de l'éclairage de secours qui filtre par le haut des murs, ceux-ci ne montant pas
entierement jusqu'au plafond.
Elle se met en boule sur la couverture en frissonnant un peu ! Le sol est dur, l'air est frais, je suis ultra excitée ! Je sens que la nuit ne va
pas etre facile! Le pire c'est que l'on est que vendredi soir, le week-end ne fait que commencer...
A suivre...
French_Master
PS: Un doux baiser sur la main de ma consultante favorite qui m'aide pour cette histoire.
Le monde de Sophie.
Chapitre 2 : Home sweet home
BIIIIIIIIIIIIIIIP BIIIIIIIIIIIIP !
Qu'est ce qui se passe pense Sophie en se réveillant en sursaut. La fraicheur de la cave lui rappelle aussitot sa nudité et la lourdeur des chaines
se fait également ressentir dans chacun de ses membres.
Fais chier ! Cette putain de sonnerie ! Qu'est ce que j'ai été conne quand j'ai programmé tout ca! J'aurai du réfléchir et ne pas m'imposer
de contrainte la nuit ! Sophie clique sur le bouton prévu à l'ecran pour que la sonnerie cesse enfin et que le PC délivre son ordre.
- 10 coups de martinet sur ta chatte
La voix métallique sortant du PC ne permet aucune discussion. Sophie écoute la sentence effarée, elle avait triché pour que ce ne soit pas possible
dans son programme mais il devait y avoir un bug. J'obeis ou pas ?
- 15 coups de martinet sur ta chatte
LA voix prononce cette nouvelle sentence et cela lui rappelle qu'elle a mis une acceptation obligatoire pour les graves punitions avec un
accroissement de celle-ci tant qu'elle n'est pas acceptée. Elle s'empresse de vite cliquer en disant tout haut angoissée.
- Punition acceptée maitre
Je ne suis vraiment pas bien reveillée se dit Sophie, j'ai réussi à me prendre une punition encore pire juste parce que je ne suis pas capable
de réagir assez vite.
Elle prend le martinet à regret, elle s'allonge sur le dos et ecarte bien ses cuisses pour exposer son sexe. L'angoisse s'accroit encore et
elle affermit sa prise sur le manche du martinet tout en fermant les yeux.
- Raaaaa ! La douleur fuse en elle, les lanières du martinet meurtrissant sa chair la plus intime.
Quelle conne je suis ! Pourquoi ai je programmé cela se dit Sophie tout en abattant une deuxieme puis une troisieme fois le martinet.
Les larmes coulent de ses yeux et elle respire plus vite, cherchant de l'air.
Et je continue en plus à etre conne pense t'elle en frappant 3 nouvelles fois sa chatte, j'obeis à ce putain de programme !
Elle enchaine les coups pour souffrir moins que s'ils etaient espacés, pleurant de plus en plus.
Une fois la punition terminée, elle se traine jusqu'au PC pour cliquer sur le bouton punition terminée, se souvenant avec horreur qu'elle avait
mis en place un calcul du temps de punition pour l'aggraver si elle etait trop longue à s'executer.
- Bien Esclave, ces coups servent à te dresser !
La voix metallique la soulage cette fois, pas de punition supplémentaire ! ouf !
Elle file à 4 pattes, incapable de se relever avec la douleur jusque sa couverture, le compteur sur son PC indiquant que malgré l'heure, elle a
toujours au moins un témoin en ligne visionnant ce qu'elle fait.
Elle se remet en boule cette fois plus en raison de la douleur que du froid sur la couverture et essaie de s'endormir, tout en repensant aux
modifications à apporter à son programme. Encore que, il la surprend ainsi plus que prévu, n'est ce pas ce que je recherche après tout ?
Les minutes s'égrainant, elle est de moins en moins sure qu'il faille le retoucher.
BIIIIIIIIIIIIIIIP BIIIIIIIIIIIIP !
Sophie commencait tout juste à s'endormir, de nouveau ce bruit atroce ! Ca il faut que je le change par contre ! Elle se traine jusqu'au PC
meurtrie et clique pour stopper ces bips.
- A genoux esclave ! tu vas prendre ton maitre dans ton vagin de femelle et le satisfaire ! Tu seras informée quand il aura joui!
- oui Maitre tout de suite ! repond Sophie
Elle attrape le gode et le ventouse au sol puis se place à genoux au dessus de lui. Elle se fait descendre dessus tout en grimacant, le gland
ecarte ses levres meurtries. Elle est heureusement un peu humide mais pas assez se dit elle inquiete. Elle se laisse doucement enfoncer sur le
gode n'osant pas se penetrer d'un coup dessus.
Elle halete de douleur, ses levres sont tres douloureuse et le gode est long et gros. Les 20 cm de long ca va encore se dit Sophie en le sentant
pousser contre son col, testant l'elasticité de son vagin mais les 5 cm de diamètre, j'ai peut etre été un peu gourmande !
Elle commence à remuer sur le gode, heureuse de constater que la ventouse joue bien son role. Le gode lui procure de bonnes sensations,
finalement, il m'ouvre beaucoup mais mmmmm que c'est bon ! pense Sophie et puis cet exercice me réchauffe bien en plus !
Elle commence à avoir chaud tout en accélerant son mouvement sur le gode, la douleur s'estompant, s'enfoncant bien à fond pour sentir le gland
frapper son col.
Les chaines continuent de cliqueter au fil de ses mouvements et ses gros seins ballotent à chaque enfoncement sur le gode, ses tetons durcis
bien tendus, la jolie blonde se souvient qu'elle est diffusée en direct sur le net à ses contacts.
Cette pensée augmente encore son plaisir et elle jouit , le plaisir eclatant dans son ventre et son cerveau, la faisant s'enfoncer à fond sur le
gode, assise à terre le cul nu sur le sol. Dans sa tete résonnent les insultes imaginaires de ses voyeurs en ligne : salope ! vulgaire conne!
putain ! chienne !. Cela renforce encore son orgasme, leur donnant mentalement raison.
Elle reprend un peu ses esprits et recommence à bouger, ayant un maitre à satisfaire. Le gode lui est forcement imperturbable et toujours aussi
bien tendu et dur. Elle sent que cela commence à tirer dans ses cuisses mais le plaisir revient à nouveau rapidement en elle, la submergeant une
deuxieme fois.
Elle met cette fois un peu plus de temps à récuperer, ses muscles devenant douloureux, ne pouvant changer de position et se force à rebouger sur
le gode! Tu es un vrai peine à jouir dit elle à son PC, tirant la langue sous l'effort, le gode provoquant toujours du plaisir en elle.
La jolie blonde regrette aussitôt ses paroles. Ce serait considéré comme une rébellion durement sanctionnable ce qu'elle vient de dire, si le PC
avait des oreilles. Ses cuisses la torturent et elle ne sait plus si elle en envie de continuer ou de s'arreter.
C'est mon maitre, souffrir pour mon maitre est un privilege se dit elle pour se convaincre de ne pas flancher.
- AAAAAAH gémit le PC ! Ton maitre a joui esclave ! Il est satisfait !
Sophie respire soulagée et se soulève une dernière fois du gode pour s'en défaire.
- A genoux suce pour nettoyer !
- oui maitre tout de suite !
Elle prend le gode et le fixe au mur. Elle le lache doucement gardant sa main toute proche au cas où la ventouse ne pourrait supporter le poids
mais cela tient bien. Elle leche le gland puis le gode tout du long pour le nettoyer de ses secretions, s'appliquant, n'ayant pas envie qu'un
si bon amant ne s'altere trop vite !
Une fois le gode bien propre, elle clique de nouveau à l'ecran avant de ranger le gode et de retourner, en rampant presque jusque sa couche.
Cette fois, le sommeil l'emporte rapidement. Sophie est si épuisée physiquement et aussi comblée sexuellement qu'elle n'a pas le temps de se
poser de questions supplémentaires.
La nuit passe ainsi sans plus d'interruption.
DRINNNNNNG ! DRINNNNNNG ! le reveil programmé sur le PC diffuse sa sonnerie à l'ancienne.
Sophie s'étire rapidement et clique tout de suite à l'ecran pour ne pas risquer une punition pour paresse et reprend ensuite ses étirements.
Ses cuisses ne souffrent plus, ça va ! Elle passe une main sur ses levres intimes et grimace un peu, encore douloureux de ce coté là !
Elle se redresse dans un cliquetis de chaines et fait quelques pas dans la cave obscure puis allume enfin la lumiere en clignant des yeux,
éblouie.
Elle replie sa couverture et range ses affaires, reprend son PC et respire un grand coup. Une phase compliquée arrive, remonter jusque son
appartement sans etre surprise par qui que ce soit ! La pensée de se promener nue dans ce début de matinée dans son immeuble la rend aussitot
tres humide. Quelle salope je suis se dit Sophie. Je risque d'etre surprise par n'importe qui à poil et cela m'excite !
Elle entrouvre la porte de sa cave et regarde, tout est calme ! Allons y!
Elle sort rapidement et verrouille sa porte puis file sur la pointe des pieds jusqu'au bout du couloir, rejoignant la porte donnant sur le
hall avec les ascenseurs. Elle se dit je suis ridicule, je n'ai pas de chaussures, pas besoin de marcher sur la pointe des pieds !
Son coeur bat à toute allure alors que son sexe devient encore plus humide alors qu'elle ouvre la porte du hall.
Elle s'empresse de vite la refermer, un des ascenseurs ouvrant ses portes. Elle entend avec soulagement les pas qui s'éloignent vers la
sortie de son immeuble et essaie de calmer les battements de son coeur! J'ai eu chaud se dit elle ! Elle se rend alors compte qu'elle en
mouille ses cuisses d'excitation. Elle jette à nouveau un oeil et se rend compte à l'affichage des étages que tous les ascenseurs sont
en mouvement! Et zut ! c'est trop dangereux ! Je n'ai aucune chance d'arriver au 5eme sans que quelqu'un ne monte avec moi au passage !
Plus qu'une solution si je ne veux pas rester ici toute la journée ! Et elle court jusque la porte de l'escalier, s'y engouffre d'autant plus
rapidement qu'un des ascenseurs s'ouvre à nouveau !
- Oh j'ai vu une dame toute nue !
- Ne dit pas de betises Sandra !
- Je te jure maman elle etait toute nue, elle a pris l'escalier !
Sophie redouble de vitesse pour gagner le 1er etage, elle se plaque contre le mur et retient son souffle alors que la porte de l'escalier
au s'ouvre.
- Tu vois qu'il n'y a personne Sandra !
- Oui maman, mais je l'ai vu c'etait une blonde toute nue !
- Mais oui mais oui ! Allez viens, on a perdu assez de temps comme ca !
La porte reclaque au grand soulagement de Sophie. Elle se dit que cela a été juste ! Heureusement qu'elle n'a pas vu son visage !
Elle reprend sa montée en esperant que personne n'aura le courage de prendre l'escalier comme elle. Enfin si, si c'est comme elle,
quelqu'un de nu, cela irait, elle ne serait pas la seule à etre génée.
Arrivée au 4eme étage, nouveau bruit de porte ! En haut ! En bas ! Impossible de savoir cela raisonne trop ! Elle stoppe sa progression.
Merde ! Cela vient du haut ! Impossible de savoir de quel étage !
Sophie ouvre rapidement la porte du 4eme, tout est calme ! Elle s'empresse de filer dans le couloir et de refermer la porte derrière elle.
Elle colle son oreille à la porte mais aucun bruit ne filtre. Elle peste interieurement, pas moyen de savoir quand la personne sera
passée ! Si je rouvre la porte, je risque de me retrouver nez à nez avec elle ! Son coeur ne cesse de battre vivement et son sexe
de mouiller. Il faut que je me calme sur tous les plans se repete t'elle !
Bon ! Le plus sur, ce sont les ascenseurs finalement. Elle appuie sur un bouton et voit soulagée qu'un ascenseur venant du rez de chaussée
réagit à son appel. En principe il sera vide ! Pas moyen de se cacher dans ce couloir ! Il faut qu'il soit vide !
Elle attend angoissée que les portes s'ouvrent. Le petit jingle d'arrivée retentit et les portes s'ouvrent.
- Bonjour madame !
- Haaaa !
Elle ne peut retenir son cri de surprise, manquant de peu de défaillir.
Sophie rougit honteuse. L'un de ses voisins de palier est dans l'ascenseur ! Un homme grand, 1m82 pense telle, un peu corpulent et chauve,
dans la quarantaine toujours courtois jusqu'ici, au regard vif et autoritaire. Sa voix est aimable et grave ! Elle frissonne troublée, sentant
l'habitude dans son attitude à diriger. Elle se glisse dans l'ascenseur toujours aussi nue et en chaines, serrant son PC sur elle, cachant au mieux
son gode et son martinet entre la machine et elle, cela la contraignant à ne pouvoir rien cacher de son corps.
- Bonjour monsieur! bafouille la superbe blonde. Un pari stupide, j'espère que vous m'excuserez !
- Tout le plaisir est pour moi ! repond l'homme, perdez autant de pari que vous voudrez mais prevenez moi toujours ! Je serai ravi de témoigner
que vous avez réalisé ce pari !
Son regard se perd sur la jolie croupe ronde, les seins aux tetons durcis. Sophie voudrait pouvoir se cacher. Heureusement, il n'y a qu'un étage !
Elle fixe la porte droit devant elle terriblement génée et excitée malgré elle. Les secondes lui paraissent durer une éternité.
La jeune femme se traite mentalement de tous les noms, incapable de s'empecher de mouiller ses cuisses d'excitation.
Elle sent alors une main se poser sur ses fesses pour les masser, les jauger et elle pousse un cri de surprise.
- Je ne vous ai jamais vue nue, vous n'avez jamais senti ma main sur vos fesses, ce n'etait pas possible n'est ce pas ?
- Oui monsieur dit elle comprenant le deal.
Elle laisse son voisin continuer de lui palper les fesses terriblement génée et troublée. Enfin la petite musique d'arrivée à l'étage retentit.
Elle pousse un soupir soulagée alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrent et la libère, elle s'empresse de filer dans le couloir
et d'ouvrir sa porte pour entrer chez elle.
- Bonne journée monsieur !
- Elle est déjà excellente grace à vous ! Au plaisir !
Elle reclaque vite la porte derrière elle et s'y appuie en poussant un grand soupir, essayant de se reprendre !
Qu'est ce que l'on est bien chez soi !
Bon sang ! Pourquoi lui ! Si j'avais eu à choisir de tomber sur quelqu'un jamais ce n'aurait été lui !
Elle pose ses affaires sur le sol trop excitée par ce qui vient d'arriver, il faut qu'elle fasse quelque chose. Toujours dos à la porte, elle
ecarte ses cuisses et se caresse le clitoris tout en se penetrant de ses doigts, les vrillant en elle tout en se taquinant son bouton
d'amour. Elle gémit tout en pliant les jambes lentement au fil du plaisir qui monte en elle et elle finit par jouir dans son entrée.
Cela va mieux ! Je suis vraiment la pire des trainées ! Me faire jouir comme cela parce que je suis tombée sur un voisin alors que je suis
nue et enchainée ! J'espère qu'il ne va le raconter à personne cet enfoiré ! Sophie commence à prendre peur mais impossible d'aller le voir
pour essayer de lui en parler, la clé des chaines ne sera accessible que lundi matin !
Bon tant pis ! on verra bien ! Au pire je risque quoi ? Personne ne le croira ! Ou alors tout le monde va le croire ! Quelle horreur !
Et quelle horreur de mouiller autant à cette idée ! Je deviens folle ou quoi !
Elle pose son PC et clique sur l'ecran petit-dejeuner pour essayer de changer ses idées.
- Chocolat chaud avec une tranche de quatre-quarts émietté dans le bol !
La voix métallique fait une pause et le lieu se génère.
- A la fenetre du balcon, ouverte, à terre !
Tiens cela marche cette fois, la logique est bien respectée par le programme, difficile de manger autrement qu'à terre si je suis à la fenetre.
Elle se prépare son chocolat et coupe de petits morceaux de gateau qu'elle laisse tomber dans le bol. Celui lui donne tres faim.
Elle file jusque la fenetre et l'ouvre se disant qu'elle doit de nouveau faire le ravissement des voyeurs puis pose le bol sur le sol.
Elle se met à 4 pattes et aspire penchée sur le bol les morceaux de gateau gorgés de chocolat, prenant habiture à manger ainsi pour la deuxieme
fois de suite. Elle frissonne malgré tout, il fait encore froid et un echange de chaleur se produit entre son appartement et l'exterieur,
augmentant son inconfort. Le temps s'écoule vite alors qu'elle essaie toujours maladroitement de lapper dans ce bol, ses seins frottant sur le sol.
Elle finit par cliquer sur l'icone fin du repas après avoir nettoyé le bol vide.
- Nettoyage des carreaux Esclave ! Tous !
Zut ! Zut ! et rezut ! je deteste ça ! Je ne suis pas douée pour ne pas faire de traces !
Sophie entreprend sa tache, fenetre après fenetre, toujours aussi humide, se sachant obligatoirement vue ce samedi matin par le voisinage lointain.
Enfin, le pire à faire, la baie vitrée du balcon ! Sur une si grande surface, ne pas faire de trace est un exploit qu'elle a du mal à réaliser.
Son intention etait de faire un travail parfait comme si son maitre etait réel et qu'il devait etre fier de son oeuvre.
Un point positif cependant, l'air s'est réchauffé maintenant et c'etait plutôt agréable de s'activer ainsi nue. L'eau va secher rapidement et
eviter les traces. Son plus gros problème provenait de ses chaines, qu'elle sentait de plus en plus lourdes à ses poignets.
Quelle galère ces vitres ! se dit Sophie. Saleté de programme ! Enfin c'est fini ! J'y ai passé tout de meme 2 heures !
Elle repose sa peau de chamois et clique sur l'ordinateur pour signaler la fin de son travail.
- Bien esclave ! Tu es en avance ! Tu mérites une récompense !
Elle attend curieuse ce que le PC va generer comme récompense, se sachant à l'abri d'une punition.
- Une banane épluchée dans ton vagin que tu mangeras en dessert au prochain repas !
Putain ! se dit Sophie, ca ne va pas arranger mon état d'excitation ! Elle file à la cuisine et prend la banane la plus verte qu'elle trouve,
l'épluche en sentant de petits frissons la parcourir. Elle frotte le bout de la banane entre ses levres en gémissant, caressant doucement son
clitoris au passage. Elle finit par glisser la banane en elle, en la remuant lentement. Apres tout, mon programme n'a pas précisé si c'etait
juste en une fois ou plusieurs que je dois la rentrer. Elle continue de faire aller et venir le fruit, gémissant de plus en plus fort.
Elle s'assied sur une chaise de cuisine ouvrant bien ses cuisses pour mieux se prendre, accélérant le mouvement de la banane en elle.
Au bout de quelques minutes, le plaisir vient enfin la soulager. Hummm ! que j'aime cette vie ! elle pousse la banane pour en faire disparaitre
le bout en elle, gardant bien la banane en elle.
Le téléphone la ramena sur terre.
- Sophie !
- Allo c'est Danielle !
- Ho salut Danielle, comment vas tu ?
- Super et toi ?
- Aussi, mieux que jamais !
Sophie se dit, si tu me voyais nue en chaine, avec ma banane en moi ! Heureusement que la vidéo n'est toujours pas la norme pour les téléphones !
- Ca te dit de sortir avec moi ce soir ? Un ciné puis resto ! On pourra dire plein de méchancetés sur tout le monde ! dit Danielle en riant.
- Cool comme programme !
Sophie se dit dommage d'etre enchainée !
- Génial je passe te prendre à quelle heure !
- Non non ! je disais cool mais je ne peux pas !
- Qu'est ce qui t'arrive ? tu es malade ?
- Oui je me sens un peu barbouillée, j'ai trop mangé surement !
Je ne vais pas lui dire que je mange les bananes par en bas si dit Sophie amusée.
- Pas grave ! J'arrive tout de suite, je vais prendre soin de toi ! On passera l'après-midi à papoter, ça te changera les idées !
- Non ! je t'assure ! je préfère rester seule ! c'est gentil à toi !
- Il faut que quelqu'un prenne soin de toi !
Une bonne excuse ! Il m'en faut une ! Elle regarde autour d'elle cherchant quelque chose de valable ! Son regard tombe sur le gode ventouse.
- J'ai un amant ! je le vois ce week-end !
- Bonne nouvelle ! Je suis contente pour toi ! Il s'appelle comment?
- Il préfère etre discret pour le moment tu sais !
- Oui oui je comprends ! On en reparlera alors, il faudra que tu me racontes tout !
- Promis oui !
La conversation dériva un peu sur les potins du moment.
- Esclave ! Ton maitre a envie de toi !
- Qui est ce Sophie ? j'ai entendu une grosse voix ? Il est là ?
- Oui je suis avec lui !
J'espère qu'elle n'a rien entendu se dit Sophie. Elle pose sa main sur le téléphone au moment où le PC se remet en route.
- Esclave ! immédiatement sur le balcon, debout , enculée par ton maitre !
Elle retire sa main et fait face à une avalanche de questions de Danielle. Elle prend le gode en main résignée à obéir, cherchant à calmer
la curiosité de son amie pour s'en débarrasser. Se faisant, elle sort de nouveau sur son balcon. Debout, il faut que je fixe la ventouse
au niveau de mon cul alors. la table est trop haute, les chaises c'est trop bas. Il ne reste que la baie vitrée...
Elle fixe à regret la ventouse sur le carreau qui etait si propre.
- Danielle, il faut que je te quitte tu sais ! je dois y aller !
- Oui je te comprends, c'est naturel ! Mais tu ne m'as pas répondu, comment est il ?
Sophie peste n'arrivant pas à clore la conversation. Elle se résoud à présenter son cul au gland du gode tout en continuant à parler.
Elle grimace alors qu'elle s'enfonce, non préparée sur le gode. Le gland force son anus et entre en elle, provoquant un petit cri.
- Qu'est ce qui se passe ? dit Danielle ?
- Ho rien rien dit Sophie le souffle court
- Ho salope ! tu es en train de te faire baiser c'est ca?
- Non non je te le jure dit Sophie
Elle pousse et s'enfonce sur le gode jusqu'à poser ses fesses contre la vitre, gémissant à nouveau.
- soit tu me mens soit tu es en train de te faire enculer !
- Oui avoue Sophie
- Tu es vraiment une salope !
- Oui je sais !
- Et ça lui plait pendant que je te téléphone ?
- Il bande dur oui !
- Je reste en ligne jusqu'à ce qu'il jouisse, tu ne te débarrasseras pas de moi !
- D'accord oui dit Sophie génée
Elle remue sur le gode, gémissant de plus en plus, la banane bougeant en elle aussi et lui procurant un plaisir bien trop fort pour qu'elle
puisse retenir ses gémissements. Elle entend alors que Danielle gémit aussi de son coté.
Cela l'excite encore plus et Sophie accélère son rythme. Elle finit par jouir provoquant l'orgasme de Danielle à distance.
Le PC n'ayant toujours pas réagi, Sophie continue de s'enculer sur le gode.
- Il n'a pas encore joui demande Danielle ?
- Non Il est tres endurant répond Sophie
- Tu as de la chance ! Tu t'en prends plein le cul !
- Oui tu peux le dire !
- Ton maitre a joui esclave ! Il est satisfait !
- Wooo j'ai bien entendu alors tout à l'heure ! c'est ton maitre et tu es esclave !
- Non non tu as du mal comprendre !
- Chérie ne me prends pas pour une conne ! Je ne te blame pas ! Tu as le droit de jouer à ce que tu veux tu sais !
- Merci de ta compréhension Danielle !
- Vous m'avez faite jouir tous les deux alors je suis encore plus compréhensive ! je vais aller me doucher ! amusez vous bien ! Je ne vous
embeterai plus ce week-end promis !
- Merci bon week-end Danielle !
- Bon amusement Sophie !
Sophie finit par raccrocher ne sachant pas si elle a finalement éviter le pire ou pas avec Danielle.
Elle se dégage du gode et clique sur le PC pour signaler qu'elle est prete pour la suite.
- A genoux, nettoie ton maitre de ta langue !
Elle obeit sur son balcon bien visible et aspire le gode dans sa bouche, le suce pour le nettoyer en grimaçant, le gout du latex souillé par
son cul n'etant décidement pas tres agréable.
Elle s'applique comme pour nettoyer un vrai maitre, se sentant bien le gode chaud dans sa bouche, l'anus palpitant sous les caresses du soleil,
la chatte emplie par la banane. Je suis vraiment heureuse se dit Sophie, j'aime etre chez moi le week-end !
A suivre...
Le monde de Sophie.
Chapitre 3 : Dérapage contrôlé
Le gode etait maintenant bien propre, luisant de salive. Sophie aimait le travail bien fait et c'etait une question d'honneur pour elle que
ce gode soit comme neuf. Elle n'avait pas envie de quitter son balcon, la douce caresse du soleil sur sa peau
lui faisait du bien, de meme que la certitude que de nombreuses personnes devaient se rincer l'oeil en la regardant.
Tout le monde devait la prendre pour la pire des salopes et cette pensée la faisait encore plus couler sur ses cuisses, confirmant que c'etait
vrai, elle n'était qu'une trainée !
Cependant, sucer ce gode commençait à devenir difficile, combien de temps avait elle passé ainsi ? Elle avait tellement joui à s'enculer
pratiquement publiquement avec Danielle au téléphone. Et le poids de ces chaines qui lui rappelait toujours son état, qu'elle ne pense pas
un instant simplement s'amuser mais bien qu'elle n'était qu'une esclave née pour servir et obéir.
Sophie se secoue la tete et clique sur le PC pour signaler que son maitre est propre maintenant.
- Esclave ! Il est temps de préparer le repas ! A la cuisine, prépare le plat le meilleur possible pour ton maitre !
- Oui maitre, tout de suite !
Elle décroche le gode de la baie en faisant une petite grimace, sa baie si nette avant ses ébats etait pleine de traces maintenant.
Fais chier ! pense Sophie moi qui adore faire les carreaux !
Elle dépose son amant sur le plan de travail de la cuisine et pose son PC sur la table pour ne rien cacher à ses contacts.
Elle commence à s'activer, préparant une petite paella pour son maitre. Son corps se mouvant avec grace dans la piece malgré la contrainte
des chaines offre un charmant spectacle. Ses tetons sont toujours tendus, Sophie de rappelant à chaque instant avec ses gestes freinés
par les chaines qu'eille n'est qu'une esclave en service, et ses petites fesses ondulant au fil de ses pas.
La préparation dure une bonne heure et enfin toute fière elle lance la cuisson ! Elle regarde le tout mitonnant en se disant qu'elle a belle
allure et que cela ne devrait pas etre mauvais. L'odeur lui donne faim mais elle ne se permet pas de manger.
Elle commence à nettoyer les instruments de cuisine utilisés tout en surveillant la cuisson, regardant de temps à autre le gode avec envie.
Elle clique enfin sur l'icone repas pret du PC toute contente d'elle.
- Esclave ! entre le nom du plat !
- Oui tout de suite maitre !
Elle tape fébrile le nom du plat, se souvenant qu'elle a programmé une acceptation du plat. J'ai mis tant de temps à concevoir ce programme
que je ne me souviens plus de tout ce qu'il fait se dit Sophie.
- Esclave ! Je deteste la paella ! Je suis tres faché !
- Pardonnez moi maitre, je ne savais pas !
Le PC la fait languir un peu avant de continuer son dialogue.
- Esclave ! Tu jettes le tout à la poubelle !
- Mais maitre...
- Sans discussion !
Putain, j'étais forte quand j'ai écris tout cela, j'avais meme prévu ma réticence à jeter cela !
Elle vide le plat directement dans le sac poubelle résignée, à contre-coeur, les larmes aux yeux, tant d'efforts pour rien !
Elle semblait si bonne ! je l'aurais bien mangée cette paella !
- Ceci mérite une punition !
- Oui maitre...
- Martinet ! 25 coups sur les fesses ! penchée sur la table de cuisine !
- Oui maitre !
Sophie prend le martinet en main et se penche sur sa table penaude. Ses superbes fesses s'arrondissent bien et dévoilent tout de son intimité
dans cette position. Elle se sent devenir humide. Je suis vraiment une trainée se dit Sophie, je vais me prendre le martinet et je mouille !
Elle commence à faire tomber les lanières sur son cul, ne se ménageant pas, essayant de les donner avec la puissance d'un homme.
Au onzieme coup, son cul est rouge, strié, et tellement douloureux que les larmes coulent de ses joues pour humidifier la table.
Au quinzieme coup, elle souffre tellement qu'elle fait une pause, reprenant son souffle, se sentant plus que jamais esclave. A la suite
de tous ces mouvements, la banane glisse sans qu'elle ait le temps de la retenir, et tombe sur le sol.
Ses gros seins ronds sont écrasés sur la table sous elle, tellement elle a besoin du soutien de celle-ci, flageolante sur ses jambes tant
la douleur est intense.
Elle reprend la punition et les sensations sont encore pires ! Cette pause n'a pas fait le bien escompté, la douleur a eu le temps de s'installer
et elle est maintenant décuplée. Elle essaie d'accélerer les coups pour compenser mais s'arrete de nouveau à 4 coups de la fin.
Courage ! Allez ma grande ! Tu peux le faire ! Elle rassemble tout son courage et parvient à se frapper encore pour terminer la punition.
Elle lache le martinet le laissant tomber au sol, épuisée de douleur. Elle calme les battements de son coeur en inspirant à fond plusieurs
fois de suite et attend que la douleur se calme pour se redresser enfin. Elle clique sur l'icone fin de punition, inquiete de ne pas
l'avoir fait plus tot.
- Esclave ! Tu as été trop longue !
- Oh non ! non! maitre !
- 12 coups de plus en visant ta chatte offerte !
- Oh non pitie maitre !
- En cas de désobéissance ou de punition non terminée 30 coups sur ta chatte !
- Oui maitre !
Elle s'empresse de ramasser le martinet, ne voulant pas perdre la face devant ses contacts, se faisant un point d'honneur
de leur montrer qu'elle est une esclave respectueuse de son maitre. Elle frappe de nouveau ses fesses en feu, les lanières atteignant
maintenant sa chatte à chaque coup.
Elle avait soigneusement évité cela jusqu'alors. Elle ne peut s'empecher de hurler à chaque fois que ses levres reçoivent le choc des lanières.
Les larmes coulent à flots maintenant mais son bras ne faiblit pas, désireuse d'éviter tout risque de punition supplémentaire.
Après les 12 coups, elle lache vite le martinet et clique sur punition terminée.
- Esclave ! La punition est terminée !
- Merci maitre ! soufle Sophie soulagée.
- Repas à meme le sol, dans la cuisine, boite de thon et mais ! pas d'assaisonnement !
- Merci maitre !
- Ta banane en rondelle dans tout cela ! Plat et dessert ! Tu es gatée !
- Oui en effet maitre !
Sophie reste penchée sur la table un long moment, incapable de bouger, bien trop meurtrie. Dire que je viens de cuisiner une super paella !
Elle se redresse enfin et fouille dans ses armoires, trouvant avec bonheur ce qu'il faut pour son repas.
Elle cherche le coin le plus propre de son carrelage, regrettant maintenant de ne pas avoir tout lavé avant de commencer son week-end.
Elle vide la boite de thon sur le sol puis celle de maîs.
Apres avoir repositionné son PC, elle se met à 4 pattes et se penche pour manger ainsi sur le sol. Elle s'efforce de ne pas penser
au sol non lavé depuis une semaine chaque fois que sa langue rape sur le carrelage pour attraper le thon ou des grains de maïs.
Elle se retrouve par moment à chasser des grains ou miettes de thon sur un metre de distance, sa langue éparpillant plus qu'elle n'aspire.
Je dois avoir l'air d'une vraie chienne comme cela ! se dit la belle esclave.
Et zut ! Zut ! Zut ! se dit Sophie, ce n'est pas si simple. Elle en oublie toute pudeur, se contorsionnant pour le plus grand plaisir
de ses voyeurs, ouverte parfois en gros plan sous leurs yeux, à d'autres moments, offrant bien ses mamelles à leur vue, remuant sous elle
au gré de ses déplacements et contorsions.
Elle en finit enfin avec son repas terminant par les morceaux de banane et grimace un peu de thon collé sur les rondelles.
Pas la saveur de l'année se dit elle ! Elle regarde son carrelage humiliée de le voir plein de traces suite à ses exploits.
- Esclave ! Ecuelle d'eau sur le balcon !
- Merci maitre ! répond Sophie assoiffée.
Elle se redresse et remplit une ecuelle avant de l'emmener à petits pas pour ne pas la renverser tout le long de son trajet.
Elle la pose au sol, retourne chercher son PC, se sentant de nouveau bien observée par le voisinage lointain.
Elle se met à 4 pattes, à l'abris des regards exterieur, lapant l'eau pour le plaisir seul de ses contacts.
Bon je n'ai pas fait de progrès se dit elle, toujours la galère de laper dans une ecuelle !
Cependant tout cela continue de l'exciter comme jamais. Ce week-end est tellement plein de surprises ! Meme la douleur qu'elle ressent
encore au niveau de ses levres et de ses fesses l'excite maintenant.
Elle sent un petit vent caresser sa chatte et son anus offerts, jouer sur ses tétons alors qu'elle termine son ecuelle d'eau. Elle n'est
que désir et envie ! Je suis meme sensible à un coup de vent ! se dit la jolie blonde honteuse.
- Esclave ! sieste sur le sol au pied de ton canapé !
- Oui maitre !
- Un marqueur enfoncé dant ton cul de salope !
- Oui maitre ! Sophie rougit, rabaissée par la voix qui l'insulte de façon méritée.
Ces insultes lui confirment son statut inférieur, lui rappelant qu'elle doit se considérer comme une salope, une pute, une dévergondée,
une chienne, une vicieuse, une cochonne, une trainée et une conne et non plus comme une femme. Pire encore pour elle, en plus de la faire
rougir de honte, ces insultes rendent ses tétons durs et sa chatte gonflée.
Elle rentre, installant le pc sur le sol du salon puis file chercher un marqueur rond en métal dans son tiroir de commode.
Elle se met à genoux, cul tendu vers la caméra, pour offrir le spectacle à ses voyeurs et pousse le marqueur dans son anus, n'en laissant
dépasser que le bouchon.
Après s'etre faite enculée le matin, le marqueur trouve assez facilement le passage en elle. Elle gémit malgré tout et
regrette de ne pouvoir le bouger.
Elle s'allonge sagement sur le sol au pied de son canapé, en bonne esclave.
Son anus se serre et desserre sur le marqueur, au gré de son rythme sanguin et de ses petits mouvements. Cela la perturbe.
Elle a une envie folle de s'enculer avec, de bien le remuer entre ses fesses mais n'ose pas le faire.
Elle met un long moment avant de s'endormir à terre, épuisée par sa nuit perturbée et ses exercices du jour.
Sophie se reveille en sursaut, un courant d'air frais venant balayer son corps étendu sur le sol. Elle bouge un peu et
sent le marqueur toujours en place dans son cul. Elle se redresse et la douleur fuse depuis son sexe et ses fesses, lui
rappelant la punition subie. Je suis folle de me faire tout cela !
Mais qu'est ce que j'aime ça ! elle avance finalement à 4 pattes jusque son PC pour cliquer et signaler la fin de la sieste,
accompagnée par le bruissement de ses chaines.
- Sale petite putain paresseuse !
Elle rougit et baisse la tete.
- Tu mériterais d'etre empalée en place publique ! Tu dors trop !
Elle rougit encore plus se sentant humiliée d'etre rabrouée par son logiciel.
- Tu vas bouger ton gros cul tout de suite et passer le balai partout où c'est possible ! Ensuite tu laves avec le balais raclette !
- Oui maitre !
- Et pour amuser ton gros cul, tu feras tout cela empalée sur le manche des balais trainée !
- Oui maitre !
- Et sans tenir le balai du tout grosse pute !
- Oui oui Maitre !
- Tu vas faire ce que tu fais de mieux catin ! Tu vas faire travailler ton cul !
- Oui maitre !
Sophie est humiliée par toutes ces paroles et par la sensation de chaleur qui émane de son bas-ventre. Plus son programme l'insulte,
plus elle mouille !
- Depeche toi salope ! Tu devrais déjà etre en train de balayer !
- Oui oui maitre ! Pardonnez moi maitre !
Sophie frissonne, ne se souvenant plus avoir programmé tout cela. La génération aléatoire donne de droles d'ordres !
Elle place le PC sur un point central de son appartement, impossible de le trainer partout et sort le marqueur de son anus en grimaçant.
Ses chairs commençaient à le serrer tres fort après ces quelques heures en elle sans bouger.
Elle file chercher son balai à poussière, au manche de bois, bien arrondi sur le bout. Résignée à obéir, elle se place devant
l'objectif de la cam, positionne le bout du balai contre son anus, se penche en avant en ecartant des fesses le mieux possible en raison
des chaines et pousse en grimaçant son cul vers l'arrière pour s'empaler sur le manche du balai.
Elle se mord les lèvres pour ne pas gémir de douleur. Le bois non verni, ce n'est pas l'idéal pour etre pénétrée se rend elle compte !
Le manche lui brule l'anus tout au long de sa poussée. Elle s'empale soumise le plus possible sur ce manche. Cela réveille des envies
en elle mais elle se force à ne pas y céder.
Elle essaie alors de balayer sa cuisine en avançant mais se rend vite à l'evidence, en faisant cela, le balai est trop freiné et le manche
a tendance à vouloir s'echapper de son rectum. Comme elle n'a pas le droit d'y mettre les mains, elle se résoud à balayer en avançant à reculons.
Elle balaye ainsi l'ensemble de ses pièces, l'inconfort augmentant en elle. Ce manche qui pousse pour aller plus loin dans ses intestins,
la douleur quand elle bute sur certaines irrégulatités du carrelage, la faisant se redresser et en partie désenculer de ce manche.
Tout cela commence à jouer sur ses sens. Le travail est compliqué ainsi mais bien plus plaisant finalement que d'habitude.
Ses seins sont gonflés, ses tetons tellement tendus qu'ils lui font un peu mal. Elle a la sensation de se faire enculer
tout le long de sa corvée, transformant cela en plaisir.
Je vais finir par tomber amoureuse de mon programme se dit la petite blonde.
Son téléphone se met alors à sonner. Elle avance doucement, en raison du balai bien planté en elle.
Zut c'est encore Danielle ! Qu'est ce qu'elle me veut !
Sophie décroche n'ayant pas envie que son amie s'inquiete et ne s'invite chez elle pour se rassurer.
- Oui Danielle ?
- Hello Sophie ! J'appelais pour tout à l'heure, je voulais te rassurer !
- Merci Danielle, c'est gentil à toi.
- Je voulais que tu saches que cela ne me choque pas si tu joues à etre soumise à ton amant.
- Je me doutais un peu que tu n'etais pas choquée, je pense que tu aurais coupé sinon !
- C'est sur ! En fait, j'etais plutot excitée de te savoir dominée comme cela à l'autre bout du téléphone !
- Moi aussi, je l'étais d'etre traitée comme cela avec toi comme témoin!
- Il est toujours là ?
- Oui oui je te l'ai dit, tout le week-end !
- Tu as de la chance ! Si tu le largues, donne lui mon adresse !
- Salope ! Tu n'as pas honte d'essayer de le piquer alors qu'il est avec moi !
- Si si , il devrait me punir !
- Tu ne vaux pas mieux que moi on dirait !
- Pour cela que nous sommes amies ! on se ressemble !
- Oui je n'y avais pas songé !
- Il te domine là en ce moment ?
- Oui en effet
Sophie rougit esperant pouvoir esquiver les questions embarrassantes.
- Que te fait il ?
- Je préfère ne pas te répondre Danielle !
- Ho si si ! s'il te plait ! Je ne raconterai tout cela à personne ! Allez dit moi ! Je suis seule et je m'ennuie !
- Tu vas me traiter d'etre la pire des salopes si je te le dis.
- Promis ! je te traite d'etre la pire des salopes !
- C'est ce que je ne veux pas je te signale !
- Oui mais tu es la pire des salopes ! Tu vois je te l'ai dit alors tu ne risques plus rien ! allez raconte !
- Tu fais chier Danielle !
- Et ça t'embete parce que la sortie est bouchée ?
Sophie reste bouche bée, génée, honteuse, cherchant ce qu'elle va dire.
- Oh j'ai raison ! Tu es encore en train de te faire enculer ?
Sophie décide de tout avouer, vaincue.
- Il me fait balayer mon appartement toute nue enchainée, empalée sur le manche du balai.
- Tu es la pire des salopes ! Et je le pense vraiment !
- Merci de m'encourager !
- Ho mais dans ma bouche c'est un compliment chérie !
- Salope !
- C'est toi qui te fait enculer Chérie pas moi !
- Oui je sais avoue Sophie peu fière d'elle.
- Tu en es où ?
- Comment cela ?
- Tu as fini de balayer chérie?
- Non pas encore, il me reste le couloir à faire.
- Et ton balcon ?
- Mince je n'y avais pas songé
- Tu m'es redevable alors ! Je t'évite d'etre punie !
- Oui oui ! Merci Danielle !
- Allez va le balayer Salope !
- Je vais raccrocher pour y aller.
- Non pas question, tu m'es redevable, ce sera ma récompense !
Sophie avance vers le balcon et sort toujours empalée. Elle imagine la surprise et l'excitation qui doivent avoir envahi ses spectateurs voyeurs.
Son sexe devient une vraie fontaine. Elle s'applique à bien passer le balai partout, rassemblant un beau paquet de poussière,
exhibant bien ses jolies fesses garnies du balai à la vue du voisinage. En meme temps, elle raconte ce qu'elle fait à Danielle au téléphone
et les gémissements qu'elle entend ne lui laissent plus aucun doute! Cette salope de Danielle est en train de se caresser et de se faire jouir !
C'est trop pour Sophie qui remue alors sur le manche l'empalant. Cela lui fait du bien tout en provoquant une sensation de brulure au niveau
de son anus, à cause du bois. Rapidement elle halète à son tour au téléphone.
- Tu es en train de t'enculer sur ton manche salope !?
- Oui Danielle, tes gémissements m'ont trop excitée !
- Sale pute ! n'importe quel pretexte te suffit pour que tu te fasses enculer !
- Oui Danielle tu as raison avoue Sophie honteuse, rabaissée par son amie.
- Tu as le cul trop gourmand ! Tu finiras sur un trottoir un jour catin !
- Hoo Danielle ne me dit pas des choses comme cela !
- Cela t'excite trop putain !
- Ho oui Danielle dit Sophie accélérant son mouvement du cul sur le manche.
- Moi aussi cela m'excite de te dire des horreurs ! Alors bouge ton cul de pute sur ton balai pour jouir !
- Hoo Danielle !
Sophie sent le plaisir monter en elle, et la submerger. Elle jouit, le cul bien empalé sur le balai, face contre sa baie vitrée,
ne cachant rien aux voyeurs. Danielle jouit à son tour au téléphone.
- Finalement, je te rappelerai encore sale petite dévergondée !
- Oui Danielle, je comprends!
- Au revoir chérie !
- Au revoir Danielle !
Sophie récupère doucement, appuyée contre la baie vitrée, toujours empalée sur le manche du balai. Elle finit par aller chercher le ramasse-poussieres.
Elle se penche à terre pour pousser les poussières dans celui-ci, mais gémit de douleur, le balai heurtant une chaise derrière elle,
mettant en évidence qu'elle ne peut pas tenir le ramasse-poussières et pousser le fruit de son travail dedans, le balai s'éloignant en arrière
quand elle se penche vers le sol.
Elle finit par poser un pied sur le ramasse-poussières et se contorsionnant, pousse avec le balai la poussière entre ses jambes à l'interieur.
Cela lui arrache des gémissements de douleur, l'inertie et la surface du sol irrégulière le bloquant souvent et meurtrissant son anus.
Elle recommence ensuite son labeur dans le couloir et jette le contenu de son ramasse-poussières dans la poubelle sur la paella non consommée.
Elle finit par se retirer ce pal de son anus, regardant le manche souillé. Elle se penche soumise, lape pour nettoyer son balai.
Elle grimace, bois et souillures de son cul ne sont pas meilleurs que latex et souillure. Après quelques minutes, le manche est bien propre,
humide mais clean. Tout a un prix se dit elle ! Je dois payer pour mon plaisir !
Il a tout de meme changé un peu de couleur sur toute la partie qui a profané son cul, gardant définitivement la trace de cette activité tres speciale.
Elle substitue le balai-raclette à son amant en bois. Ce nouvel instrument possède un manche en métal recouvré de plastique sur sa longueur
et d'un embout en caoutchouc, permettant de l'accrocher. Elle grimace se disant que cela risque de lui faire bien mal aussi.
Elle remplit un seau d'eau et se dit que son voisinage doit pouvoir profiter du spectacle, tout à l'heure c'etait sa cam.
Elle sort sur le balcon et se place bien en vue cul offert et s'enfonce doucement sur la partie en caoutchouc. Celle-ci se fait un passage
et une bonne partie du manche entre en elle à sa suite. Elle gémit et se dit au travail ! On n'a pas droit au plaisir maintenant !
Elle nettoie ainsi l'ensemble de ses pièces, la raclette lui procurant de nombreuses sensations et son appartement étant completement humide,
elle finit par se retrouver sur son balcon. Impossible de s'assoir avec son cul empalé, pas moyen de nettoyer le balcon sans tout tremper
et salir ensuite son appart.
Elle se résigné à attendre debout, comme une suppliciée empalée que son sol seche.
Une bonne heure plus tard, elle respire soulagée, ayant du mal à tenir sur ses jambes, ayant du faire des aller et retours
sur son balcon pour ne pas s'empaler de fatigue sur le manche. Elle lave à grandes eaux son balcon, raclant bien tout puis satisfaite
d'elle, se retire du manche.
Pour ne pas tout salir chez elle, elle se penche et sa langue nettoie ce nouveau manche, publiquement.
Elle grimace, le gout n'est toujours pas meilleur et pour comble du bonheur, beaucoup de sécrétions et un peu d'excrément s'est logé
dans la partie attache en caoutchouc du balai. Beurk ! C'est dégoutant pense la belle blonde aux seins toujours bien gonflés.
Cependant, pour sa fierté personnelle, elle se force à bien tout nettoyer, contrôlant ses hauts le coeur.
Elle finit par ranger tout son matériel, admirant la propreté de ses sols, tache qui lui a semblée bien agréable pour une fois.
Elle grimace par contre en voyant sa baie vitrée, dont elle etait si fière le matin et qui est maintenant salie de nombreuses traces,
au niveau de ses fesses, de son visage, et des traces de doigts un peu partout quand elle s'est appuyée dessus pour s'enculer.
Nulle n'est parfaite...
A suivre.
French_Master
Merci à S., la meilleure des esclaves, pour son soutien, ses remarques que j'essaie de prendre le plus possible en compte.
Cette histoire te sera toujours totalement dédiée !
Si vous avez aimé, n'hésitez pas à m'écrire :
Le monde de Sophie.
Chapitre 4 : dérapage total
Sophie etait en train de reprendre des forces après sa séance de nettoyage spécial. Elle s'était assise au pied de son canapé, se jugeant indigne
en raison de sa condition d'esclave, de l'honneur de s'assoir dans ce canapé. L'avantage était qu'ainsi elle ne sentait pas le poids de ses chaines.
Son PC ne lui donnant plus d'ordre pour le moment, elle se concentrait sur les améliorations à apporter à ce fichu programme. Il lui semblait avoir
dérivé vers des ordres qu'elles ne pensaient pas normal de recevoir. Les fonctions aléatoires devaient s'emmeler et il devait y avoir des conditions
qui n'etaient pas respectées lors de la génération des ordres. Sa journée lui paraissait épuisante physiquement et sexuellement. Il faudrait qu'elle
limite les possibilités pour ne pas finir sur les rotules lors du prochain week-end qu'elle se replanifiera pensait la jolie petite blonde.
Je m'amuse bien trop pour ne pas recommencer très vite !
Elle entendit alors le bruit caractéristique de son PC lorsqu'il se remet en route et se redressa pour écouter l'ordre qui n'allait pas tarder.
- Esclave !
- Oui maitre ?
- Préparation du repas ! Ce soir pizza !
- Bien maitre !
Sophie s'en va soulagée vers sa cuisine, se disant qu'elle n'aurait pas à jeter son plat à nouveau à la poubelle ce soir. Elle ouvre son congélateur
et se passe sa pizza préférée au four. Pas au micro-onde, qui vous donne une pate affreuse à manger mais au four traditionnel. Elle profite de ce
long moment d'attente pour réfléchir à nouveau. Ses fesses et sa chatte sont toujours douloureuses suite à la punition, son anus se rappelle à elle
par moment, avec de petits lancements suite à son activité ménagère. Tout cela la comble totalement, pour rien au monde elle n'échangerait sa place
avec quiconque en ce moment. Etre une esclave, c'est vraiment super !
Elle se masse doucement les seins, prenant ses globes de bonne taille par le dessous et remontant pour étirer ses pointes.
Mmmmm gémit la jeune femme, se sentant de nouveau humide entre ses cuisses. Elle continue son massage doucement, appréciant de s'exciter, nue dans
sa cuisine, exhibée à ses contacts via la cam de son PC.
Le four signale enfin la fin de la cuisson de sa pizza. Elle la transfère dans une assiette et signale que son repas est pret en cliquant sur son PC.
- Esclave ! Je te fais une faveur ! Repas au calme, à table sur ton balcon !
- Merci maitre !
Elle s'empresse de filer s'installer dehors, toujours aussi excitée à l'idée d'etre vue comme cela nue, de son voisinage.
Elle se sent couler sur sa chaise alors qu'elle découpe sa pizza et la mange en prenant son temps. Son sexe la démange et elle résiste à chaque
instant à l'envie de se caresser. Ses seins et ses tetons sont tendus. Cependant, n'ayant pas d'ordre de son maitre, elle se force à résister à son
envie, tres fière de sa volonté. Je suis une esclave avant tout se dit elle pour se convaincre.
Elle profite de la liberté qui lui est laissée pour prendre son temps, se relaxant dans son siège. Il fait bon et le petit vent qui chatouille
ses tétons accroit encore son excitation. Elle clique enfin sur son PC pour signaler la fin de son repas.
- Esclave !
- Oui maitre !
- Tu n'es qu'une souillon !
- Oui maitre.
- Porte immédiatement tes poubelles pour les mettre dans les bacs collectifs prévus !
- Oui tout de suite maitre !
Cela franchement, je suis presque sure de ne pas l'avoir programmé ! Une souillon ! Moi une souillon ! Sophie rumine un peu, fachée après son PC.
Lundi, il faut vraiment que je regarde ce qui se passe avec ce programme !
La jolie nymphe se lève et s'empresse de nettoyer ses couverts et son assiette dans la cuisine, jetant les reliefs de son repas dans sa poubelle.
Elle récupère l'emballage à recycler de sa pizza et sort son sac poubelle de matière alimentaire.
L'ordre lui semble vraiment suspect mais à priori, il est réalisable. Il est maintenant 22h, l'immeuble est plutôt calme quand elle tend l'oreille.
Elle hésite malgré tout, suite à ses déboires lors de sa remontée de la cave le matin. Les poubelles sont au rez de chaussée et le périple risque
d'etre tout aussi dangereux. Sans compter qu'une fois dans le local poubelle, elle n'aura pas d'issue, si quelqu'un vient, ce sera de nouveau
tres humiliant et risqué pour sa réputation. Le pire c'est qu'elle sent son sexe se transformer en fontaine et que cela coule sur ses cuisses.
Quelle trainée je suis ! Plus je risque d'etre vue et plus je mouille ! Js suis complètement folle ! Oui folle d'envie de vivre et d'excitation !
La petite blonde est résolue, elle prend ses déchets et se dirrige vers sa porte d'entrée, accompagnée par le bruit de ses chaines.
Sophie ouvre sa porte d'entrée et tend l'oreille. Aucun bruit, tout va bien ! Elle passe ensuite la tete par l'entrebaillement de sa porte et
scrute de droite à gauche le couloir. La voie est libre ! Elle file sur la pointe des pieds, lentement jusqu'à etre à portée de vue de l'affichage
des ascenseurs. Rien ne bouge, c'est vraiment le moment. Elle appuie sur le bouton d'appel et file toujours sur la pointe des pieds fermer sa porte
d'appartement. Son coeur bat à toute allure, un nouveau périple commence pour elle ! Jamais jusqu'ici elle n'avait pensé qu'une grande aventure
digne des plus belles épopées pouvait constituer en un voyage de chez elle à 5 étages plus bas jusqu'au local poubelles !
Elle avance à petits pas rapides jusqu'aux ascenseurs, ses chevilles étant entravées, faisant attention à ne pas faire trop bruisser ses chaines.
Elle se sent dans la peau d'une héroine de roman, à l'affut de tous les dangers, dans un environnement hostile. La seule différence, c'est que
cela se passe à l'intérieur de son immeuble et que son sexe est devenu une vraie fontaine. Peut-etre que ses héroines favorites mouillaient aussi
au moment de l'action si dit elle, guettant le bandeau d'affichage pour anticiper l'ouverture des portes de l'ascenseur. Pas envie d'etre de
nouveau surprise par un voisin inattendu !
La petite musique d'arrivée se déclenche et elle se met de coté dans le couloir, fouillant la cabine du regard. Déserte ! Elle file vite à l'intérieur
et appuie sur le bouton du 1er étage. Pas question à cette heure de se retrouver au rez de chaussée dans l'ascenseur avec une ou deux familles qui
attendraient pour rentrer chez elles ! Elle se plaque le plus possible sur le coté de la cabine lorsque les portes s'ouvrent au 1er et regarde dans le
couloir. Personne ! Tout va bien ! Elle file rapidement de l'ascenseur à la porte d'escalier et s'y glisse. Petit moment de répit !
Le pire c'est que son état d'excitation ne cesse de s'aggraver! Si je pouvais au moins m'empecher de mouiller mes cuisses ! Sophie se regarde honteuse
d'etre aussi mouillée.
Calme toi petite putain ! se murmure Sophie tout bas. Tu devrais avoir honte de te promener nue enchainée dans les parties communes de ton
immeuble ! Tu n'as aucune excuse ma fille ! Tu le fais parce que tu as programmé ton PC pour qu'il te le fasse faire !
Belle excuse non ! Tu es une vraie trainée et puis c'est tout !
Sophie s'arrache à ses pensées. Ce n'est pas de cette façon là que je vais y parvenir ! Je mouille encore plus quand je pense à cela!
Je suis irrécupérable ! Totalement irrécupérable !
Elle entreprend alors la descente des escaliers, marche après marche, concentrée sur le bruit de ses chaines. Le raclement du métal sur le béton
lui fait craindre le pire à tout moment. Elle a la sensation que tout le monde va ouvrir les portes pallières et regarder d'où provient cet
affreux crissement.
Elle parvient enfin au rez de chaussée. Son coeur bat comme lorsqu'elle a enchainé les longueurs à la piscine! C'est vraiment compliqué de
descendre un étage !
Elle s'approche de la porte lentement, s'appliquant à ne plus faire aucun bruit. Elle se souvient de l'épisode de la petite fille le matin et
ne tient pas vraiment à le revivre. Elle entrouvre la porte et scrute l'espace dégagé devant les ascenseurs.
Elle retient à grand peine un petit cri tout en refermant la porte le plus silencieusement possible.
Cela n'a pas duré plus de 2 secondes, le temps de voir qu'il y avait 2 familles en attente et son regard a réussi à accrocher celui d'une
petite fille. La meme que celle de ce matin se dit Sophie, j'en suis sure se repete t'elle !
Elle colle son oreille à la porte et entend :
- Maman ! je te jure je l'ai revue !
- Tu me fatigues tu sais avec tes histoires!
- Pourquoi tu me crois jamais maman?
- Parce que tu inventes trop de choses !
- Elle est toute nue derrière la porte maman ! c'est vrai !
- Mais oui ma chérie, mais si elle veut etre toute nue derrière la porte, il faut la laisser là. Allez ! Monte ! L'ascenseur est là !
Sophie soupire soulagée. Je m'en sors bien tout de meme ! Elle rouvre la porte confiante après le départ de l'ascenseur et jete un coup d'oeil
distrait pour se rassurer. Elle fait un bond en arrière et rattrape la porte juste avant qu'elle ne claque.
Ce n'est pas possible ! L'ascenseur est suffisamment grand pour prendre tout le monde d'un coup! Quelle bande de sauvages ! Ils ne veulent
meme plus partager une cabine !
Elle recolle son oreille à la porte tout en essaillant de calmer les battements de son coeur. Heureusement que je ne suis pas cardiaque !
Elle entend de nouveau le bruit d'une montée dans l'ascenseur et tente une nouvelle sortie.
Tout est calme et désert ! Juste 2 ascenseurs en phase de descente mais ils sont dans les étages supérieurs, j'ai le temps de gagner la porte
du local poubelle.
La petite esclave enchainée gagne à pas rapide l'entrée de sa salle au trésor. Elle l'ouvre et se glisse dans le petit couloir menant aux poubelles.
Heureusement que je ne suis pas restée dans l'ascenseur jusqu'au rez de chaussée tout de meme se dit la belle nue. J'aurai eu un sacré comité d'acceuil!
Bon allons-y. Avec le temps que j'ai passé à guetter, impossible qu'il y ait quelqu'un ! Personne ne reste près d'une poubelle aussi longtemps.
Elle ouvre enfin la porte du local. C'est vide et calme. Cela ne sent pas la rose mais le sol est propre, régulièrement nettoyé.
Elle referme la porte derrière elle, regardant les grands containers comme si elle venait de découvrir le trésor signalé par un grand X sur une
carte moyennageuse.
Elle s'avance vers la poubelle de déchets organiques pour y mettre son sac à paella. Elle prend le couvercle et pousse pour le soulever.
Les poubelles sont tout sauf pratiques pour une femme ! Un gros grincement emplit la piece.
Sophie en reste pétrifiée, manquant de peu d'inonder le sol de son urine. Je n'ai pas encore poussé pour le soulever. Ca ne peut pas etre la poubelle!
- Bonsoir voisine !
Elle tourne la tete et voit son voisin, co-compagnon de remontée en ascenseur du matin !
Ses jambes flageollent sous elle. Quel manque total de chance finalement ! Je suis une aventurière poissarde finalement !
- Alors toujours prisonnière de ce fameux pari ?
- Oui monsieur.
- J'adore ce pari !
- Je me doute monsieur.
- Tu dois surement te separer de tes poubelles non ?
- Oui tout à fait monsieur.
- Alors qu'attends tu ?
Sophie se sent faible devant cet homme qui lui donne des ordres maintenant. Elle ouvre la poubelle et y vide son sachet.
Elle sent le regard de l'homme qui profite qu'elle lui tourne le dos pour examiner la courbe de son dos, sa cambrure, ses jolies fesses.
Elle devine qu'il s'attarde à fouiller entre ses cuisses et qu'il doit voir qu'elle mouille comme une fontaine tellement ses cuisses sont humides.
Elle repose le couvercle de la poubelle et se retourne, esperant qu'il est sorti pendant qu'elle faisait cela.
Elle est vite déçue. L'homme est toujours là.
Le problème, c'est qu'il se tient à coté de la poubelle pour carton et plastique. Impossible de ne pas venir à ses cotés.
- Allez ma petite ! Cette poubelle t'attend !
- Oui monsieur !
Elle voit un sourire qui se dessine sur son visage.
Elle se crispe mais avance malgré tout. Son coeur bat la chamade. Elle se dit que c'est fini les ordres en exterieur dans son programme ! Elle va
vite éradiquer tout cela !
Elle ressent une douleur sur ses fesses. L'homme vient de les lui claquer de la main ! Mais il se prend pour qui !
Elle s'apprete à protester et ouvre la bouche vindicative.
- Chuttt ! dit l'homme en posant un doigt sur sa bouche. La porte est ouverte ! Tu veux que tout l'immeuble vienne te voir ainsi ?
Sophie se tait en grimacant avec ce doigt posé sur ses levres. Elle se dit qu'il a raison, elle est coincée.
Elle ouvre la poubelle pressée d'en finir et jette ses détritus dedans, sechement.
Elle pousse un grand cri de peur, soulevée dans les airs et basculant dans la poubelle. Le couvercle se referme sur son dos.
Elle est à moitié dans la poubelle, se retenant avec les mains sur des cartons pour ne pas y basculer completement.
Elle crie à nouveau alors que des claques lui tombent sur les fesses.
Les grandes mains de l'homme sont en train de lui donner une bonne fessée. Elle se débat pour se dégager.
- Ne bouge pas ou je te change de poubelle ! Dans le compost tu t'amuseras moins !
- Ho non non! ne faites pas ça ! S'il vous plait ! Laissez moi !
En réponse, les claques reprennent sur son cul, le rendant rapidement douloureux. Sophie, par fierté, retient ses larmes de couler.
Pas question de montrer un signe de faiblesse à son voisin !
Elle se sent ramenée sur terre brutalement, ses seins ronds et lourds rapant le bord de la poubelle, la meurtrissant et la laissant le souffle court.
Quel salaud ! se dit Sophie sans oser prononcer un son. Des lancements de douleur lui remontent depuis ses fesses. Sa poitrine lui fait toujours mal.
Penchée en avant, ses mains sur ses cuisses, elle essaie de rassembler ses esprits et de réfléchir à la situation.
- Face au mur du fond ! Mains sur le mur levées au dessus de ta tete ! Penchée en avant !
Cet enfoiré ne me laisse pas une seconde de répit se dit Sophie. Néanmoins, elle ne peut s'empecher de lui obéir. Sa tete dit non mais ses jambes
la menent jusque devant le mur. Elle s'arrete une cinquantaine de centimetres avant le mur et leve ses bras. Le béton lui glace les mains alors
qu'elle prend la position.
L'homme apprécie le spectacle, cette belle captive enchainée, en appui contre le mur du local poubelle, totalement à sa merci.
Le bruit de ses pas emplit la petite pièce.
Sophie n'ose bouger mais chaque claquement de semelle sur le sol la fait se crisper tout en la troublant. Qu'est ce qui va m'arriver?
Si je suis sage, j'ai déjà eu une fessée, il devrait me laisser partir.
- Non ! Non !
Sa nuque vient de subir l'emprise d'une poigne ferme alors que ses levres intimes sont fouillées par des doigts tres investigateurs.
- Je vous en prie non ! Ne faites pas ca !
Les doigts jouent entre ses levres, les lui ouvrant, taquinant son clitoris, s'enfonçant en elle en vrillant.
Sophie se sent faiblir, gémissante maintenant sous cet assaut.
La main libère sa nuque, l'homme s'étant assuré qu'elle restait offerte à ses doigts. La petite blonde sent toute volonté l'abandonner.
C'est un maitre et elle une esclave ! C'est trop dur de lutter !
Un petit cri lui échappe malgré tout alors qu'elle sent un sexe chaud se coller contre sa raie.
Bon maintenant je sais ce qui va m'arriver se dit elle. Je ne veux pas mais j'en ai envie !
La chaleur quitte sa raie et elle n'a pas le temps de réfléchir plus ! L'homme vient d'entrer brutalement en elle !
Elle grimace de douleur. Il est gros ! Elle s'affole étant trempée comme rarement dans sa vie. Elle le sent buter contre ses fesses.
Sa queue doit etre de longueur normale mais tres grosse, je n'ai jamais été ouverte comme ça !
L'homme remue en elle en rythme régulier, ni trop lentement ni trop rapidement.
- Alors salope ! Tu as ce que tu cherchais !
Sophie rougit humiliée par ce qu'elle entend.
- Tu n'es qu'une pute qui cherche à se faire sauter depuis ce matin !
Elle gémit sous les coups de rein de l'homme qui accompagnent ces paroles.
- Tiens prends ça petite chienne en chaleur !
L'homme accentue ses coups de rein en elle. Son vagin s'habitue à la distension de ses chairs et le plaisir fuse en elle.
Son amant lui prend les seins en main et les masse, étirant et tordant ses tétons tout en accélérant ses va et vients en elle.
Ses gémissements lui indiquent qu'il va bientot jouir dans son ventre.
Elle s'abandonne au plaisir n'ayant rien de mieux à faire.
L'homme donne un grand coup de reins la soulevant du sol tout en jouissant en elle. La chaleur du liquide en elle et ses coups de reins
font jouir alors Sophie.
- Hummmmm !
- Tu aimes Salope !
- Oui monsieur !
- Tiens ! Tiens ! Tiens !
Chaque fois, il gicle en elle tout en s'enfoncant bien à fond.
Il reste en elle, toujours aussi gros.
Elle n'ose bouger soumise à son voisin. Quelle honte ! Je me fais baiser par le premier qui le veut ! Non pas le premier essaie t'elle
de se rassurer. C'est un dominant !
- A 4 pattes chienne !
Oui ! Pas de doute ! C'est bien un dominant ! Sophie se sent faible devant cet homme qui lui donne des ordres.
L'odeur au ras du sol est pire que lorsque l'on est debout ! Sophie baisse la tete humiliée aux pieds de l'homme.
Au passage, ses yeux lui ont confirmé ce qu'elle a senti. Il a une queue tres grosse, la verge plus large que son gland et de
beaucoup. Par contre pas tres longue, on ne peut pas tout avoir...
Le gland se pose contre son anus.
- Ho non ! Elle est trop grosse ! Ca ne va pas entrer !
- Allons ! Tu as un cul de chienne ! Ca va aller !
Elle hurle alors que la queue entre en elle. Le gland passe facilement son anus et le reste de la queue se force un passage dans son cul.
Il pousse pour se loger entierement. Sophie respire tres vite et tres fort, tres ouverte.
Quelle humiliation ! Elle est à poil à 4 pattes dans un local poubelle, en train de se faire enculer par un quasi-inconnu.
Elle gémit alors qu'il commence à la prendre, sa queue brulant son anus. c'est trop pour elle ! Ces humiliations ! La sensation émanant
de sa croupe! Elle se sent tellement dominée et chienne.
Des mains la saisissent aux hanches et les coups de bite dans son cul s'accélèrent. L'homme se fait plaisir tout en faisant attention
à ne pas la meurtrir. Dur mais attentionné ! Cela la convainc de s'abandonner en confiance.
Le plaisir de la situation et l'homme dans son cul l'amenent au plaisir. A tel point que cette fois, c'est elle qui jouit avant de le
sentir se répandre dans ses intestins.
Il reste en elle, s'allongeant sur son dos et lui mordille la nuque et les épaules, lui murmurant que son cul est merveilleux.
Elle n'ose bouger, se sentant vraiment la pire des salopes suite à ce qu'elle vient de faire et morte de honte de son abandon.
Il finit par sortir d'elle amolli maintenant et se relève. Sophie, soumise, se redresse à genoux, voulant prouver sa valeur.
Elle aspire le gland et le nettoie des levres et de la langue avant de continuer sur le reste de la queue.
L'homme sourit satisfait et caresse sa tete, joue avec ses cheveux pendant qu'elle le rend tout propre.
Il finit par se réajuster et remonte sa braguette. La petite esclave se sent mieux, elle a réussi à nettoyer cette queue inconnue
sortie de sa chatte et de son cul sans haut le coeur.
Elle fait un mouvement pour se relever et reçoit une petite tape sur la tete.
- A 4 pattes ! Allez petite chienne !
Humiliée elle obeit. Elle sent la main rassembler ses cheveux et les empoigner. L'homme l'entraine ainsi le long du couloir, se servant
de sa chevelure comme d'une laisse.
Le couple arrive ainsi à la porte du hall près de l'ascenseur. Sophie essaie de ralentir son allure mais l'homme ne semble pas disposé
à faire de meme. Il ouvre la porte et l'entraine sans meme vérifier si quelqu'un vient.
Elle voit horrifiée plusieurs paires de chaussures pres de l'ascenseur.
- Laissez passer s'il vous plait ! Il s'agit d'une production pour internet ! Ecartez vous pour ne pas etre dans le plan !
L'homme la traine jusque dans l'ascenseur qui vient de s'ouvrir.
- Ceux qui veulent etre filmés peuvent monter avec nous !
Les gens s'écartent vite et les portes se referment. Sophie est sous le choc. Elle n'a jamais osé relever la tete mais a détecté une
demi-douzaine de personnes.
L'homme rit.
- Ne t'inquiete pas, tous n'ont fait que mater tes mamelles et ta croupe petite chienne ! Aucun ne retiendra ton visage !
Ses paroles lui paraissent censées. Il a surement raison.
- Et tu es couverte par mon excuse ! De nos jours, si on agit n'importe comment, si c'est filmé, cela permet tout ! Et s'ils n'ont
pas vu les caméras, c'est que c'est ultra miniaturisé donc une grosse production !
Il rit à nouveau.
Cela achève de la rassurer.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur son couloir. L'homme la conduit amusé en la tenant toujours par les cheveux.
Il lui prend ses clés et ouvre la porte. Une tape sur ses fesses,
- allez à la niche !
Sophie rentre sans se faire prier chez elle alors que l'homme remet les clés dans la serrure à l'interieur de l'appartement et
referme la porte, la laissant seule.
Elle se laisse tomber sur le sol, essayant d'analyser tout ce qui vient de lui arriver. Quelle aventure !
Je n'ai qu'un problème se dit la belle esclave, j'ai un maitre supplémentaire maintenant...
A suivre...
Le monde de Sophie.
Chapitre 5 :
Le choc des évènements etait trop intense. Sophie gisait sur le sol juste derrière sa porte d'entrée. Elle entendait son coeur battre dans
ses oreilles. Il n'y avait pas que son cerveau qui était en ébullition. Physiquement, son corps aussi devait amortir et accepter tout cela.
Elle se mit à essayer de respirer plus calmement, essayant de reprendre un peu de controle sur le rythme de son souffle. Cela, elle savait
faire, à force de gym et de natation.
Doucement, l'apaisement commençait à envahir ses membres. Elle ne tremblait plus, enfin presque plus ! c'etait déjà ça!
Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait ainsi. Ce qu'elle avait vécu était certes brutal et inattendu mais faisait partie de ses
fantasmes les plus fréquents. Pourquoi est ce que cela la perturbait autant ?
Peut-etre parce que justement, ce n'etait plus un fantasme, cela s'etait vraiment produit.
Le sperme qui commençait à couler depuis les levres de son sexe toujours ouvertes et humides le lui rappelait.
Tout était vrai cette fois ! Ce n'etait plus une de ses reveries...
Ses fesses étaient toujours brulantes de la fessée reçue. Ce n'etait pas elle qui se l'etait donnée, c'etait bien plus fort que lorsqu'elle
se punissait elle-meme, à un rythme qui ne lui avait pas permis de récupérer entre 2 claques.
Cette fessée était vraiment une punition mais en meme temps, en y repensant, c'etait aussi un moment tres excitant.
Elle s'était sentie tellement humiliée d'etre basculée à moitié dans une poubelle, paniquée meme à l'idée d'etre completement jetée
à l'intérieur et de voir le couvercle se refermer sur elle. Jamais elle n'avait pensé qu'elle subirait un jour une fessée de cette façon.
Ce type est cinglé ou alors génial ! Elle hésitait à son sujet. Il l'avait tout de meme ensuite violée et enculée.
Violée, est-ce vraiment certain ? J'etais tellement trempée après le fessée que l'on ne peut pas parler de viol. En plus j'ai adoré cela.
Cette énorme queue inconnue qui allait et venait en moi...
Sophie glisse un doigt entre ses levres en y repensant, massant doucement son clitoris.
Quelle pute je suis ! Je me suis faite violée et je mouille en y repensant et me caresse pour me donner du plaisir !
Non je suis pire qu'une pute, il ne m'a meme pas payée pour tout cela ! Je l'ai fait gratuitement et je suis meme prete à recommencer...
Elle continue à se caresser mais un spasme la fait se raidir. Son anus lui rappelle qu'elle a été bien forcée aussi par là.
Je vais avoir du mal à m'assoir jusque demain à mon avis se dit la jolie blonde.
Cela lui remémore aussitôt son humiliation dans le local poubelle, à 4 pattes sur ce sol odorant, enculée par son voisin.
Le bruit des chaines qui raclaient le sol à chaque poussée, la queue lui ouvrant son cul comme jamais il ne l'avait encore été,
les gémissements de plaisir de son enculeur, les mains qui la tenaient fermement par les hanches.
Elle accentue ses caresses et se fait jouir, gémissant sans se soucier qu'on l'entende depuis le couloir.
Elle s'allonge sur le sol pour se reposer à nouveau et finit par tomber dans un sommeil léger.
Une petite heure plus tard, elle reprend ses esprits et se releve, filant sous la douche pour se laver, se reprochant de ne pas l'avoir
fait dès son retour.
L'eau qui coule sur son visage lui fait du bien. Il faut que je me sorte de mes pensées se dit elle au moment où elle y replongeait,
se voyant emmenée nue à 4 pattes dans le couloir devant les voisins. Elle secoue sa tete fortement, sentant en meme temps que
son sexe recoule. Il faut que j'arrete de couler comme une fontaine ! Ce n'est vraiment pas convenable ! Cela montre trop mes
faiblesses. Je n'ai pas à etre en chaleur comme ça à la moindre pensée !
Elle finit par se décider à sortir de la douche, à quitter ce petit environnement chaud et protecteur et se niche dans une grande
serviette mouelleuse, se sechant avec énergie, décidée à aller de l'avant et à ne plus trop penser au passé. C'est trop inquietant.
Ces gens qui l'ont vue comme une chienne, ce voisin qui a pris l'ascendant sur elle, cela peut etre bien ou alors tourner
completement au cauchemar.
Elle regagne la piece principale et s'aperçoit qu'elle a laissée des traces avec le sperme qui s'est écoulé d'elle pendant qu'elle se
caressait et dormait près de sa porte.
Allez ma grande! Tu es une esclave ! Fais ton devoir se dit elle pour s'encourager. Elle se met à 4 pattes et se penche sur le sol.
C'est bien d'avoir tout lavé ! Elle lappe le sperme et nettoie le sol, un petit gout salé, pas désagréable. Je vais peut etre devoir
m'habituer à son gout, alors au boulot ! Que ce soit bien propre à terre ! Sophie continue de s'encourager ainsi tout en nettoyant
bien le sol de la langue.
Une fois satisfaite de son travail, elle file cliquer sur son PC pour recevoir ses ordres pour le coucher.
- Esclave !
- Oui Maitre ?
- Tu n'es qu'une chienne !
- Oui Maitre.
- Tu vas dormir sur une couverture en boule sur ton balcon !
- Bien Maitre.
- Execution immédiate !
- Oui oui Maitre!
J'espère qu'il fait bon la nuit en ce moment se dit Sophie. Elle ouvre sa baie vitrée et respectant son role à la lettre,
elle se met à 4 pattes, avancant ainsi jusque sa chambre pour aller chercher sa couverture. Marcher ainsi la fait bien s'ouvrir.
Elle adore sentir l'air caresser ainsi son anus et sa chatte. Elle se sent totalement avilie ainsi et elle adore cela.
Se sentir animale, sans défense, la fait couler encore plus abondamment. Ses levres sont ouvertes, pretes à accueillir le male.
Elle frissonne, elle devrait etre morte de honte mais non ! Elle se sent humiliée mais c'est si bon de l'etre !
Etre à 4 pattes, ses trésors intimes totalement offerts la rend tres vulnérable mais c'est si jouissif !
Elle approche de sa couverture et se penche sur elle. Ses dents se referment sur le tissu. Le gout n'est pas terrible et elle
est obligée de se forcer à ne pas lacher. Les fibres sur sa langue, son palais, c'est si désagréable. Elle est obligée de
contrôler son envie de cracher pour se débarrasser de la fibre.
Sa couverture trainée ainsi sous elle, ses gros seins ballotant au rythme de sa progression, elle ondule du bassin tout en
avancant vers son balcon. La plus belle des chiennes de l'immeuble se sent bien ! Un sentiment de plénitude l'a envahie.
Elle est enfin à sa place !
Le petit vent frais la frappe lors de sa sortie. Plus de soleil depuis plusieurs heures, ce n'est plus aussi facile que lors
du repas. Elle étend sa couverture dans un coin du balcon, près de la balustrade pour se protéger au mieux du courant d'air.
Elle essaie de ne pas tricher, étalant la couverture comme si elle avait des pattes au lieu de ses mains et finit par s'allonger
dans le coin, en boule.
Elle repense à sa journée et se dit que jamais elle n'avait pensé pouvoir vivre tout cela dans sa vie. Et cela s'était produit
en moins de 24H.
Où tout cela va la mener ? Inutile de se poser plus de questions, elle ne peut rien maitriser pour le reste de son week-end.
Pour plus tard, si jamais cela tournait mal, il lui suffirait de déménager après tout ! Il y a des solutions pour tout !
Elle s'endort épuisée sur sa couverture, bercée par les bruits rassurants de la vie nocturne. Au petit matin, la fraicheur la
réveille, juste avant le lever du soleil. L'atmosphère est humide et fraiche.
Elle se redresse et à 4 pattes, se dirige vers le PC resté à l'intérieur pour ne pas etre altéré. Elle signale ainsi son
réveil.
- Mmmm esclave je dors !
- Oui maitre.
- Comme tu es révéillée, tu vas me sucer pour que je me rendorme !
- Bien maitre.
Elle fixe son gode ventouse sur le sol et se penche dessus. Elle aspire le gland délicatement de ses levres, comme si c'etait
un vrai gland et le presse doucement. Sa langue masse le bout du gland et le méat qui y est dessiné. Elle s'active ainsi
quelques minutes, sa salive commencant à dégouliner le long de la tige. En parallèle, elle sent qu'autre chose dégouline le
long de ses cuisses. Elle est de nouveau trempée comme une chienne en chaleur.
Je mouille comme la dernière des salopes pour une bite en latex se dit Sophie. Quelle petite truie je suis ! Non je suis
une chienne en chaleur, c'est vraiment cela que je suis !
Elle enfonce doucement le gode, faisant des allers et retours de plus en plus importants. Elle finit par enfoncer le gland
dans sa gorge et garde ainsi le gode. Entièrement entré dans sa bouche et gorge.
Elle remue sa langue pour masser la tige et après quelques instants, se dit que n'importe quel homme aurait joui ainsi,
la gavant de son sperme.
Elle laisse le gode sortir de sa gorge puis de sa bouche, se remettant à 4 pattes. Le PC est toujours aussi muet.
Sophie regarde le gode luisant avec envie. Après tout s'il dort, je peux en profiter. Je vais violer mon maitre pour une fois !
Elle sourit à cette idée et se tourne, s'accroupit au dessus du gode et s'enfonce en gémissant de plaisir jusqu'à ce que ses
fesses touchent le sol. Que c'est bon d'etre emplie.
La sensation est toutefois moins forte que la veille. Elle sent la différence avec son voisin à la queue si large.
Ce salaud m'a un peu transformée se dit la soumise, il me rend plus exigeante encore sur mes objets amants potentiels.
Elle remue sur le gode tout en repensant à ce qui lui est arrivé dans le local poubelle.
Elle gémit de plus en plus fort en se faisant aller et venir, trouvant enfin le plaisir.
- Aaaaahhhh !
Elle sursaute surprise ! Je suis seule ici ! Qu'est ce que c'est ! Son coeur bat la chamade avant qu'elle ne se traite de tous
les noms. Quelle conne ! Le bruit vient du PC. Le programme l'a surprise en jouissant en meme temps qu'elle.
- J'ai bien joui chienne ! Tu as triché en te prenant ! Mais tu ne seras pas punie !
Comment peut il savoir ça ? J'ai programmé ça ?
- Retourne te coucher et vite !
- Oui maitre.
Elle repard soumise à 4 pattes sur le balcon se coucher dans son coin. L'aube naissante apporte un peu plus de chaleur et en
se roulant en boule dans la couverture, elle parvient à se rendormir.
Le soleil est déjà haut dans le ciel, caressant les courbes de son corps lorsque Sophie se reveille enfin.
Elle qui est si matinale habituellement se tance mentalement pour cette paresse.
Elle rentre chez elle à 4 pattes, surprise de ne pas entendre le PC sonner pour la reveiller. Elle réactive le programme.
- Bonjour Esclave !
- Bonjour maitre.
- Petit déjeuner ! Céréales et lait dans un bol ! à coté de ta couverture !
- Oui maitre.
Elle reconnait bien là ce qu'elle a programmé. Les choses ont l'air de mieux tourner aujourd'hui.
Elle emmene le nécessaire sur la terrasse, se disant qu'elle commence à accumuler de l'expérience dans les repas en tant
que chienne. Elle se penche cul bien en l'air, l'arrondissant bien pour ses contacts voyeurs, aimant l'excitation que cela lui
procure, la certitude que beaucoup de monde la voit ainsi humiliée et ouverte déjeunant comme une simple chienne.
Elle coule de nouveau abondamment tout en lappant les céréales et le lait dans son bol.
Elle commence à trouver la technique en adaptant la forme de sa langue en fonction de ce qu'elle cherche, manger une pétale ou
boire un peu de lait.
Elle passe un long moment malgré tout ainsi penchée sur son bol.
- Esclave !
- Oui maitre !
Sophie se redresse un peu.
- Tu n'es qu'une chienne !
- Oui maitre !
Encore un dysfonctionnement, normalement il n'y a pas d'insultes sans ordre dans ce programme. Elle attend un peu mais rien
ne vient et elle reprend son repas.
Le PC étant calme, la petite soumise rentre chez elle et allume la télé pour avoir les dernières informations du monde.
D'habitude, elle aime se plonger dans la lecture de son journal mais là, impossible d'aller le chercher nue enchainée.
En fin de matinée, son PC se réanime.
- Esclave en cuisine ! Préparation d'un bon plat pour ton maitre !
- Oui maitre !
Elle se relève et cherche un peu ce qu'elle pourrait bien faire. Pas un plat aussi long à préparer qu'hier ! Elle a déjà donné !
Tant de temps passé pour jeter sa divine paella à la poubelle !
Elle se décide pour des cuisses de poulet aux fruits accompagnées de riz sauvage.
Plutot simple, pas trop de préparation, que les fruits, pas trop long à cuire.
Une fois les raisins épépinés, les bananes coupées en rondelle, les oranges découpées, elle prépare son plat et la casserole
d'eau pour le riz.
Drinnnngg ! Drinnnnng ! qu'est ce que c'est que cela !
Sophie va consulter son PC, ce n'est pas lui. Elle avance dans son couloir, sa sonnette d'entrée !
Elle n'en entend que tres rarement le son. J'espère que ce n'est pas Danielle qui vient me rendre visite!
Elle approche de la porte hésitante, comment ouvrir sans que l'on voit que je suis nue et enchainée.
Ce doit etre un représentant qui fait du porte à porte ! Non ! On est dimanche !
Nouveau coup de sonnette tres insistant.
- Police ! Ouvrez ! On nous a signalé une femme nue enchainée dans cette immeuble ! Ouvrez !
Ho mon dieu ! Comment je vais pouvoir m'en sortir ! Un poing tambourine sur la porte, insistant.
- Police ! Ouvrez ou nous défoncons la porte !
Efrayée, Sophie entrouvre sa porte pour passer sa tete dans l'entrebaillement et essayer de s'expliquer sans se montrer.
Elle pousse un cri de douleur, propulsée en arrière. Ses chaines entravant ses chevilles l'empechent de reculer correctement
et elle chute sur ses fesses, se faisant terriblement mal.
Déjà la porte claque et un homme plonge sur elle, la giflant une fois au visage et la tournant nez contre terre, bloquant
sa nuque pour l'empecher de regarder derriere elle.
Elle sent le poids de son corps peser tout à coup sur elle puis plus inquiétant un gland qui se pose sur son anus.
Elle crie horrifiée mais déjà le gland la force et à sa suite la queue lui ouvre le cul.
Elle a le souffle coupé par la pénétration, énormement ouverte par la bite de son violeur.
Les sensations lui remontant de son cul l'informent qu'il s'agit de meme homme que la veille.
La crispation de son corps disparait, il s'agit de son voisin. Elle se soumet à lui entre plaisir et résignation.
Il pese sur elle et reste la queue bien plantée dans son cul, sans bouger.
- Alors petite chienne ! On aime se faire enculer ?
- Oui monsieur.
Sophie est morte de honte et au bord des larmes. Elle sent la queue qui palpite dans son anus, l'ouvrant terriblement fort.
- Tu aimes y avoir une grosse queue ?
- Oui oui monsieur.
- Tu te sens humiliée et possédée comme cela?
- Ho oui monsieur !
- C'est bien tu es une bonne chienne !
Elle sent l'homme lui caresser les cheveux comme on caresse le haut du crane d'une chienne pour la rassurer.
- Là ! Là ! C'est bien ! Ne bouge pas ! Gentille !
Elle rougit encore plus de honte et retient ses larmes. Elle se sent si rabaissée...
L'homme commence alors à remuer dans son cul, lentement pour ne pas la déchirer. Elle comprend que la veille, c'etait bien
par attention pour elle qu'il ne l'avait pas prise trop brusquement.
Elle tend sa croupe vers lui afin de mieux lui ouvrir ses fesses et moins souffrir.
L'homme rit en voyant cela. La douleur fuse et un grand clac résonne dans l'appartement. Elle vient de se prendre une grosse
claque sur le cul. Elle hurle de douleur car dans le meme temps, l'homme a plongé bien au fond de son cul, pendant que
son anus sous l'effet de la claque se contractait sur cette queue envahissante.
Les larmes coulent sur ses joues cette fois, elle ne peut plus les retenir plus longuement.
Le rythme de son enculage augmente lentement mais surement. L'homme se retient de jouir trop vite et la pénétration continue.
Une petite musique retentit alors dans l'appartement.
- Qu'est ce que c'est ?
- C'est mon téléphone monsieur.
- Va répondre !
Elle sent la queue sortir de son cul et reprend doucement ces esprits. Elle se redresse à genoux amorçant son geste pour se
relever. Une nouvelle grosse claque tombe sur ses fesses lui arrachant un nouveau cri et de nouvelles larmes.
- A 4 pattes chienne ! Et dépeche-toi !
Elle se presse jusque son téléphone et décroche.
- Allo
- Allo ! Salut ! C'est Danielle !
- Tu fais chier Danielle ! Tu tombes mal !
Clac ! Une nouvelle claque tombe sur ses fesses la faisant crier dans le téléphone.
- Tu vas parler correctement à tes amies sale chienne !
- Oui oui monsieur ! Excuse-moi Danielle !
Sophie sent les larmes envahir ses joues. Elle est si honteuse et humiliée. Cette fois, elle panique. Impossible de contrôler
son envahissant partenaire comme elle le faisait avec son PC.
Danielle semble aux anges à l'autre bout de la ligne. Elle n'avait pu s'empecher de rappeler une nouvelle fois son amie pour prendre
du plaisir à l'écouter. Cela avait l'air de promettre d'etre encore mieux que la veille !
- Ne t'inquiete pas Sophie ma chérie, je ne raconterai à personne ce que je vais entendre !
- Ho merci Danielle !
- Tends bien ton cul chienne ! je ne suis pas encore soulagé !
- Qu'est ce que dis Sophie ?
- Rien rien du tout!
- Demande ma queue chienne !
- S'il vous plait monsieur accepteriez vous de me sodomiser monsieur ?
- Tu veux que je t'encule chienne ?
- Oui s'il vous plait monsieur.
- Que veux tu chienne?
Sophie capitule enfin, completement humiliée, morte de honte mais excitée à nouveau comme jamais encore, franchissant un nouveau cap
dans l'humiliation.
- S'il vous plait monsieur, la petite chienne que je suis souhaiterait que vous acceptiez de l'enculer.
- Tiens prend ca chienne !
Elle hurle de douleur alors que l'homme lui ecartant bien les 2 fesses des mains plonge sa queue d'un coup au fond de son cul.
Danielle ne dit plus mot mais Sophie l'entend gémir dans son oreille.
L'homme accélère dans son cul, claquant à intervalles réguliers ses fesses, plus pour la faire se crisper ou l'humilier que pour lui
faire mal. Cette queue si grosse l'ouvre tant qu'elle en a du mal à respirer.
Elle se retrouve en train d'haleter, clouée sur place, et pour rien au monde elle ne voudrait echanger sa place avec quelqu'un.
- Il t'encule toujours chérie?
- Ho oui Danielle ! Ca me rend folle !
- Je comprends ma chérie, tu as de la chance!
- Oui je le pense aussi
Elle entend Danielle qui gémit plus fort prenant son plaisir chez elle. L'homme d'un coup se plante plus durement en elle. Elle sent
le sperme gicler fortement dans son cul et la petite soumise se met à son tour à jouir.
L'homme se penche sur son dos, planté en elle, lui mordillant la nuque, embrassant son cou, taquinant ses lobes d'oreilles des dents.
- Tu es la meilleure des enculées
- Merci monsieur
- Tu as un cul magnifique et on y est bien dedans !
- Merci monsieur
Elle se sent sans cesse rabaissée par ce qu'il lui dit et entend Danielle qui pouffe à l'autre bout de la ligne.
L'homme lui prend le téléphone sans qu'elle s'y attende.
- Bonjour Danielle
- Bonjour monsieur dit cette dernière surprise
- Ton amie est à 4 pattes, nue, chaines aux pieds et aux poignets, enculée sur ma bite !
- C'est une vraie salope !
- Une bonne chienne oui ! Mais il va falloir raccrocher, il faut que sa bouche me nettoie la queue maintenant ! au revoir !
- Au revoir monsieur !
- Dit au revoir chienne !
- Au revoir Danielle !
- Au revoir ma chérie ! Bon courage !
L'homme coupe la conversation et jette le portable sur un fauteuil. Il sort de son cul et va s'assoir dans le canapé.
- Au pied chienne !
- Oui monsieur.
Sophie avance humiliée à 4 pattes jusque l'homme. Il ouvre ses cuisses, présentant sa queue.
- Allez nettoie moi et fais cela bien !
- Oui oui monsieur !
Sophie se glisse entre ses cuisses, se redresse et lappe la queue en partant du bas et en remontant jusqu'au gland.
Le gout est toujours aussi détestable mais ne l'étonne guère après son passage dans son cul. Elle s'applique malgré tout,
se forcant à bien faire son travail. Sa fierté d'esclave est primordiale. Elle aime faire son travail avec excellence !
Elle remonte enfin sur le gland et le nettoie, enroulant sa langue tout autour avant de le teter et le sucer.
L'homme gémit de plaisir et finit par l'arreter.
- Ne me fais pas jouir maintenant ! Je me réserve pour tout à l'heure.
- Oui monsieur
Elle sourit toute fiere de lui procurer autant de plaisir et de voir sa queue bien gonflée et tendue pour elle.
- Allez esclave ! A la cuisine ! Tu as un repas à finir de préparer !
Elle se relève soumise, faisant cliqueter ses chaines.
- Vous etes dans mes contacts c'est ca?
- Tout à fait ma belle ! Un gros coup de chance non? Ma voisine est dans mes contacts ! Et c'est la meilleure chienne du monde !
- Oui monsieur c'est une sacrée chance !
Elle frissonne, esperant que c'est vrai, que cet homme sera un bon maitre et pas un boulet.
- Et tu t'es surement aperçue que ton programme faisait de drole de choses non?
- oui monsieur
- J'ai trouvé le générateur de voix que tu utilises. A travers msn, je t'ai envoyé des fichiers sons qui ont été lus par ton PC. Tu as cru
que c'etait ton programme alors que c'est moi qui t'ai envoyée au local poubelle hier par exemple.
- Voue etes un salaud monsieur !
- Et toi une salope ma belle ! Nous allons bien ensemble. Allez au travail, j'ai faim ! Fais à manger pour deux !
Cette dernière réplique est ponctuée d'une nouvelle frappe sur ses fesses.
- Oui oui monsieur tout de suite.
A suivre...
Le monde de Sophie.
Chapitre 6 : Repas du dimanche
Au moment de préparer son repas, suite à l'ordre de son PC, jamais Sophie n'aurait cru qu'elle se retrouverait dans sa cuisine avec
un quasi inconnu après avoir été plus ou moins violée. Nue et enchainée, cela c'etait prévu ! Devant témoins aussi ! Mais il s'agissait
normalement de contacts msn via sa cam. Pas d'une présence physique qui s'imposerait ainsi à elle.
Le pire, c'est que la situation continuait de l'exciter. Elle s'affairait pour terminer la mise en place des ingrédients dans son plat et
le contraste entre sa nudité et l'homme habillé, elle qui travaillait et lui qui tranquillement profitait du moment pour la détailler des yeux.
Elle sentait que son sexe coulait sur ses cuisses toujours autant, mélange de ses sécrétions et de son sperme.
Elle était prete à lancer la cuisson et tendit la main vers le bouton pour allumer.
La douleur fusa depuis sa croupe. Une claque venait de lui tomber en travers des fesses, forte et seche.
- Pas touche petite esclave ! Direction la salle de bain !
- Oui monsieur ! Excusez moi je ne voulais pas mal faire !
- La salle de bain !
- Oui monsieur!
Pas facile comme maitre, et pourquoi me suis je excusée se demande Sophie mentalement, je n'ai rien fait de mal !
Il me rend completement folle, je perds tous mes moyens. Elle se dirige vers la salle de bain, ses chaines se manifestant toujours au passage.
L'homme la suit à faible distance et elle sent que son regard ne quitte pas ses fesses un instant. Elle avance plus empruntée, troublée
de sentir que son cul est l'objet de tant d'attentions.
- Sous la douche !
- Oui monsieur !
- Allez lave ta chatte de petite pute et vite !
- Oui tout de suite monsieur!
- Et que cela sente bon ! Sinon je te punis !
- Oui oui je comprends monsieur !
- Et laisse ouvert !
Elle fait couler le jet sur elle. Ses seins en profitent pour durcir encore plus et ses tetons se retendent, meme s'ils ne s'etaient pas
totalement décongestionnés depuis l'intrusion de son voisin.
Elle fait couler du gel douche sur sa main et se frotte les seins, les massent ainsi que son ventre puis remettant un peu de produit,
elle ouvre ses levres et masse délicatement son intimité, s'ouvrant des doigts pour faire couler le reste de sperme dans le bac recepteur.
Elle continue de se masser de ses mains, le long de ses cuisses puis remonte sur ses fesses, ses épaules, se tournant vers l'homme.
Elle sursaute alors que les mains fermes de son voisin se posent sur elle pour lui frotter le dos, la massant, pour enlever la petite
crispation qui s'est emparée d'elle depuis qu'elle n'est plus seule. Il s'attarde ensuite à lui masser les fesses puis à les malaxer
doucement. La caresse remonte ensuite vers ses seins, la paume des mains glissant sous les globes pour remonter vers les pointes et les
étirer. Elle sent de petites morsures en meme temps sur ses épaules. Elle gémit de désir mais l'homme s'écarte d'elle.
- Allez ! Rinçage !
Elle fait couler l'eau sur elle de nouveau et fait disparaitre les traces de mousse de son corps, douchant bien son intimité par peur des
représailles possibles. Elle sort et l'homme lui jete une serviette sur la tete en riant.
- Plus vite petite salope ! J'ai faim !
Elle s'empresse de se secher et abandonne la serviette avant de repartir nue dans la cuisine. L'homme la suit en chantonnant un air
qu'elle ne reconnait pas. Visiblement, lui se sent tres à l'aise.
Elle lance enfin la cuisson de ses plats.
- Plus besoin de bouger avant la fin de cuisson ?
- Non non monsieur.
- Parfait !
- Ecarte tes jambes !
L'ordre est ponctué d'une nouvelle claque sur ses fesses, plus pour la faire réagir que pour lui faire mal.
Elle s'empresse d'obéir sans se poser de question. Elle commence à se concentrer sur son plat quand un frisson la parcourt sur tout le corps.
Elle vient de sentir un coup de langue le long de sa raie. Elle s'infiltre entre ses fesses et lui lappe doucement l'anus, le massant,
tournant tout autour de son orifice, puis s'amuse à pénétrer doucement de sa pointe, rentrant et sortant ainsi en la massant lentement.
Elle manque de peu de lacher sa cuillère et essaie de reprendre ses esprits et de se concentrer sur son plat.
La langue glisse alors entre ses lèvres, remontant tout le long, taquinant l'entrée de son vagin puis son méat urinaire et enfin
s'amusant à titiller son clitoris. Les mouvements de cette langue passe d'un endroit à l'autre de son intimité, de façon imprévisible,
la rendant pantelante de désir. Elle gémit tout en essayant de s'occuper de ses plats, sa main crispée sur la cuillère.
Le plaisir monte en elle et elle sent ses jambes qui l'abandonnent tout à coup alors qu'elle jouit brusquement.
Elle respire fortement, essayant de calmer sa respiration, alors que la langue continue de s'amuser avec ses trésors.
Elle s'accroche au bord du meuble, incapable de s'occuper de la cuisson, feulant de plaisir alors que son voisin aspire son clito,
le taquine de la pointe de sa langue, joue avec ses levres, fait vriller sa langue en l'enfonçant dans son vagin et son anus alternativement.
Elle s'abandonne à nouveau au plaisir, un nouvel orgasme la surprenant peu après le précédent.
L'homme se redresse et vient lui mordiller la nuque doucement avant qu'une nouvelle claque sur ses fesses, bien appuyée cette fois
ne la fasse bondir.
- Alors ce repas !
- C'est pret monsieur !
- Bien, j'ai failli attendre !
- Je suis désolée monsieur.
Désolée de quoi pense Sophie! Je dis n'importe quoi ! Il faut que je me controle mieux que cela !
Elle égoutte son riz et stoppe la cuisson du plat. Elle prépare une assiette pour son voisin, et ce dernier lui en tend une
seconde.
- Ne t'oublie pas ma belle !
- Merci monsieur.
Elle se sert à son tour ayant laissé pour elle volontairement les fruits un peu abimés par la cuisson.
Alors qu'elle se retourne, son assiette à la main, son voisin la prend par la taille, glissant un bras dans son dos et colle
ses levres aux siennes pour l'embrasser. Elle sent sa langue venir au contact de ses levres, essayant de se faire un passage
et elle cède, lui ouvrant sa bouche, soumise. Leurs langues se livrent à un petit ballet qui la rend de nouveau excitée.
Il s'écarte enfin d'elle, lui prenant l'assiette des mains en plus de la sienne.
- Prends les couverts, verres et boisson ma petite !
- Oui tout de suite monsieur
Elle le voit prendre la direction de la terrasse et poser les 2 assiettes sur la table. Elle le rejoint avec son fadeau,
glacée par la bouteille de soda allégé qui s'est nichée sous son sein gauche.
Elle complète la table et sert son invité inattendu. Celui-ci à sa surprise l'invite à s'assoir, amenant sa chaise sous elle
avec galanterie, avant de prendre place en face d'elle.
- Ce midi, c'est notre premier repas commun, je tiens à le passer en tete à tete avec toi.
- Merci monsieur, c'est tres aimable à vous. Ho ! Ce n'est pas ironique ! Je vous remercie vraiment !
- Ne panique pas ma petite ! J'avais compris.
- Mais vous vous etes trompé d'assiette monsieur !
- Non non ma petite, je suis un invité non invité ! Aucune raison que je te prive de ce qu'il y a de meilleur !
- C'est gentil monsieur ! J'avoue que je ne m'attendais pas à cela !
- Je triche aussi un peu, ce n'est pas si gentil de ma part ! J'aime ce qui est bien cuit et donc un peu détruit !
Sophie sourit et l'homme lui rend son sourire. Elle se sent bien à table, malgré toujours le contraste entre cet homme
habillé et sa nudité, alors qu'ils sont à table, sur son balcon. Elle se dit que les voyeurs doivent trouver la scène
tres étrange.
L'homme amène alors la conversation sur sa vie, ce qu'elle aime faire, ce qu'elle déteste, comment elle passe son dimanche
habituellement quand elle ne joue pas à ce genre de jeu, lui-meme completant leur conversation , par moment, avec quelques
informations le concernant.
De temps à autre, elle s'interrompt pour se lever et lui servir à boire, ou lui donner un complément de fruits.
Elle sent sa main qui caresse tendrement ses fesses pendant qu'elle agit et parfois, il s'amuse à glisser un doigt le
long de ses lèvres. Jamais il n'oublie de la remercier une fois servi et l'invite en retour à se faire plaisir en se
servant elle-même selon son envie, n'insistant pas lorsqu'elle décline l'invitation.
Ces mondanités accentuent aussi la sensation de décalage qui s'est emparée d'elle, les bonnes manières, la conversation
digne d'un diner d'amoureux, alors qu'elle est nue, enchainée, sur son balcon, surement observée par beaucoup de monde.
Elle mouille de nouveau plus et cela coule sur sa chaise.
Lorsqu'elle se lève pour débarrasser la table, elle en rougit de honte, ne pouvant cacher ses cuisses luisantes.
Elle voit son regard qui note cela et son petit sourire content mais pas moqueur.
- Amène nous 2 assiettes et 2 petites cuilleres à table ma petite ! Je reviens.
- Oui monsieur !
Elle le voit se diriger vers la porte d'entrée et l'ouvrir en grand, sans se soucier de savoir si quelqu'un passe.
Elle s'empresse de se réfugier dans la cuisine pour ne pas risquer d'etre vue, accompagnée de grands cliquetis métalliques
qui provoquent le rire de son hote. Il sort laissant la porte bien ouverte.
Elle refait le trajet vers son balcon aussi vite qu'à l'aller, les couverts à la main, rassurée par le fait de ne pas
entendre d'exclamation signifiant que quelqu'un l'aurait vue.
L'homme vient la rejoindre, refermant enfin sa porte, portant un petit carton à la main.
- J'ai prévu un dessert, comme je savais un peu ce qui allait arriver aujourd'hui. Si tu m'avais viré de chez toi, je me
serai consolé en mangeant les deux gateaux.
Il ouvre la boite pour dévoiler 2 religieuses au chocolat.
- J'ai pris ceci en me disant que normalement cela devrait te plaire, il y a chocolat et chantilly, des valeurs sures !
- Merci monsieur !
L'homme interrompt son mouvement pour se lever et faire le service et dépose le gateau dans son assiette avant de se servir lui-même.
- C'est toujours un plaisir de servir une aussi jolie femme que toi ! A condition que tu n'en abuses pas !
- Merci monsieur, je ne mérite pas toutes ces attentions.
- Si ma petite ! Tu ne le sais pas c'est tout !
Ils entament leur dessert conjointement, savourant la délicatesse du chocolat mélée à la saveur et la texture plus rudes du chou.
- Mmmm délicieux ma petite ! Presque aussi bon que ta chatte et ton cul !
- Merci monsieur
Sophie rougit de cette comparaison, surprise de cette trivialité alors que la conversation jusque là se tenait sur un plan moins intime.
- Ne rougit pas ma belle ! Tu m'as prise dans tes 3 orifices tout de meme ! Et plusieurs fois pour certains !
- Oui je sais monsieur.
- Et tu te promènes nue en chaine devant moi depuis hier tout de meme !
- J'en suis tres gênée tout de meme monsieur, ce n'etait pas prévu pour se passer comme cela !
- Et tu le regrettes ?
- Ho non non monsieur !
Sophie se mord les lèvres, se reprochant d'avoir répondu aussi vite et avec tant d'enthousiasme. Mais bon, après tout, sa réputation
ne risque rien de plus avec cet homme, impossible de tomber plus bas.
Leurs gateaux terminés, l'homme se lève pour prendre son assiette, la prenant de vitesse.
- Ce n'est pas de la galanterie pour toi cette fois ma petite !
- Monsieur ?
- Je suis désolée mais je ne peux m'en empecher quand je te vois !
Il pose les 2 assiettes sur le sol à coté de lui.
- Allez à 4 pattes ! Nettoies de la langue !
- Oui tout de suite monsieur !
Elle s'agenouille devant lui, excitée a nouveau un peu plus et se met à 4 pattes, se penchant sur les assiettes.
Sa langue s'active pour effacer les traces de chocolat et de chantilly. Après tout, c'est plutot bon à laper pour une fois donc
pas de raison de bouder mon plaisir se dit Sophie.
La main de l'homme vient alors lui caresser la tete, jouant dans ses cheveux, la flattant comme une chienne de compagnie.
- Là ! Là ! c'est bien oui ! Bonne chienne ça !
Sophie rougit encore plus mais ne cesse pour autant de bien tout nettoyer. Elle sent qu'elle coule de nouveau comme une fontaine
sur ses cuisses. Elle termine son travail sous les encouragements de son voisin, sa main toujours jouant dans sa chevelure.
La main finit par glisser devant elle pour ramasser les assiettes brillantes de salive mais bien nettoyées.
Elle se redresse alors à genoux pour se relever mais n'a pas le temps de terminer son mouvement qu'une tape appuyée vient
choquer un peu plus sa croupe.
- Pas debout ! Sage la chienne !
Il pointe son doigt dans la direction du coin qui l'a abrité pour la nuit puis les fait claquer.
- A la niche ! Allez ! Vite la chienne !
Humiliée elle s'avance dans la direction indiquée, bien ouverte à sa vue.
- C'est une vision dont on ne peut se lasser ! Ta jolie croupe ouverte et tes mamelles qui s'agitent sous toi !
Il s'avance dans son coin alors qu'elle se couche sur le sol en grimaçant au contact plutôt frais de ce dernier.
- Aiiie !
- Chut la chienne !
Sa main vient d'empoigner ses cheveux pour la tirer vers le haut et la faire se remettre à 4 pattes.
- Tu n'as jamais vu une chienne s'allonger ? Tu es bete pour une bete !
Sophie rougit rabaissée sans se permettre d'oser répondre quoi que ce soit. La main est toujours fermement ancrée dans sa chevelure.
L'homme tape derriere ses cuisses doucement pour la guider.
- Allez avance les genoux sous toi et replie tes jambes !
Elle s'execute, s'appliquant à le satisfaire puis il tapote l'interieur de ses coudes en lui faisant replier ses bras sous elle.
Ses mamelles reposent sur ses bras repliés, ses genoux venant de chaque coté de ses coudes, ses mains sous son menton, qu'il lui fait
justement poser dessus.
Elle est morte de honte en se rendant compte qu'elle est vraiment allongée comme une vulgaire chienne sur son balcon.
- Là ! C'est tres bien ma belle ! Sage ! Pas bouger !
Il lui caresse la tete tout en lui disant cela puis se ressaisit des assiettes et disparait dans l'appartement.
Elle entend quelques bruits lui indiquant qu'il range dans le lave-vaisselle puis ensuite d'autres claquements qui l'amène à penser
qu'il visite son appartement et ses armoires.
Sophie est obligée à tout instant de se forcer mentalement à ne pas bouger. Cet inconnu, même si c'est compliqué et surprenant
d'appeler inconnu quelqu'un qui vous fait coucher comme une chienne nue sur un balcon ou qui profite de vos orifices quand
il en a envie, cet inconnu est en train de tranquillement violer son territoire.
Cela la met un peu en colère d'entendre qu'il s'amuse à fouiller dans les armoires de sa cuisine et de son salon.
Elle l'entend ensuite entrer dans sa chambre, ce qui la fait bondir, elle ne peut s'empecher de filer rapidement à l'interieur
sans toutefois oser se relever, restant à 4 pattes. Elle surprend l'homme en train d'examiner le contenu de sa garde-robe, surtout
ses déshabillés pour la nuit et ses culottes en dentelle.
- Qu'est ce que tu fais là sale bete !
Il bondit vers elle et la prend par les cheveux, la ramenant sans se soucier de sa vitesse vers le balcon, elle hurle à chaque fois
qu'elle manque un pas, en raison de cette vitesse, et que sa main l'empeche de tomber sur le sol en lui arrachant les cheveux.
Les larmes coulent sur ses joues alors qu'ils arrivent ainsi sur le balcon.
- J'ai dit pas bouger !
Deux enormes claques lui tombent sur les fesses accentuant ses larmes.
- Qu'est ce qu'il y a de compliqué à comprendre dans "pas bouger !" sale chienne !
Deux nouvelles enormes claques tombent à nouveau. Ses fesses lui font mal pendant un bon moment après ces nouvelles claques.
- Je vous prie de m'excuser monsieur, je ne recommencerai plus !
- Il vaut mieux petite chienne désobéissante !
L'homme la fusille du regard.
- Couchée ! Pas bouger !
Sophie s'empresse de vite reprendre la position apprise et fixe le sol des yeux.
L'homme repart à la visite de son appartement, violant son intimité d'une autre façon.
Elle n'ose plus bouger en dépit de son envie de le virer de chez elle. D'un autre coté, elle se dit qu'elle a enfin ce dont elle
revait ! C'est simplement le choc de la réalité, les débuts de son éducation qui sont difficiles.
J'ai tellement eu l'habitude d'etre seule, il faut que je l'accepte chez moi ! Qu'il rentre dans ma vie, même si ce n'est pas simple!
Encore faut il que ce soit ses intentions...Sophie se rend alors compte qu'elle ne sait rien des motivations de cet homme !
Il veut jouer avec elle juste ce week-end, ou plus souvent, ou ne risque t'il pas de la kidnapper et la revendre à un réseau
de prostitution ? Elle commence à prendre peur ! Qu'est ce que j'ai fait ?
J'espère que ce n'est pas un fou dangereux qui va me mutiler voir pire !
Elle tremble dans son coin, mesurant son imprudence, se rendant compte qu'elle a peut-être commis une erreur qui pourrait lui etre
fatale ! Elle regarde depuis son coin sans bouger où se trouve son téléphone, au cas où elle devrait appeler à l'aide.
Il faut que je prévoie un plan de secours pour le futur au cas où se dit elle, si cette situation se reproduit.
Elle n'est plus très sûre d'en avoir envie même dans l'immédiat.
Après une bonne heure passée dans son appartement, Sophie sent ses membres engourdis sous elle et le risque de crampe qui augmente avec
le sol si froid sous elle. L'homme surgit alors de nouveau devant elle, la sortant de ses pensées effrayantes.
- Allez ! Suis moi la chienne !
Elle se remet à 4 pattes et rentre enfin dans son appartement, suivant l'homme qui s'installe dans son canapé.
Elle approche de lui.
- Assise ! Allez ma belle !
Il se leve pour lui indiquer la position, pesant sur ses reins pour lui faire poser les fesses sur le sol, jambes ecartées, ses pieds
de chaque coté de ses fesses et lui laisse les bras tendus devant elle, mains à plat sur le sol.
- Voilà ! Bien ! Tu sais maintenant t'assoir et te coucher ! Tu auras beaucoup plus progressé en une journée qu'en quarante ans !
Sophie rougit, il est allé voir dans mes papiers, il connait mon age, mon état-civil. Je suis plus que nue devant lui se dit elle.
Je ne connais même pas son prénom, pour son nom il faudra que j'aille voir sur sa boite aux lettres.
L'homme se rassied devant elle et la regarde longuement, ses yeux parcourant son corps ainsi en position assise, l'air satisfait.
Un pli barre alors son front.
- Que se passe t'il ma petite ? Tu as l'air soucieuse !
- Rien monsieur !
- Ho si ! Je ne te connais pas encore bien, même si nous avons vécu des moments plus intenses en 2 jours que la majorité des couples
dans toute leur vie. Mais là je le vois sur ton visage et dans ton regard !
Il tapote sur le coussin de la place libre à coté de lui.
- Viens ici ma petite ! Interruption momentanée de notre programme ajoute t'il en riant.
Sophie s'assoit à coté de lui crispée malgré tout, mal à l'aise. Il voit cela et ajoute :
- Non finalement, cela n'ira pas ! Tu n'es pas assez détendue ! Je ne connais qu'une bonne solution !
Elle le voit qui retire son pantalon puis son slip, exhibant son sexe bien gonflé.
- Allez viens à genoux, jambes de chaque coté de moi, face à moi !
Sophie se place et il la guide par le bassin pour qu'elle s'enfonce sur sa queue, emplissant son vagin.
Il remue un peu, assouplissant ses chairs, provoquant quelques gémissements de plaisir de sa part.
- Voilà, nous serons mieux pour discuter.
Il écarte doucement de sa joue une meche de cheveux blonds pour la lui passer derrière ses oreilles, tendrement.
- Qu'est ce qui te chagrine autant ?
- Rien monsieur je vous assure !
- S'il te plait ma petite ! Ne me mends pas !
Sophie hésite, se voyant mal exprimer ses angoisses et récriminations.
- Tu as peur de moi et de mes intentions ? C'est cela ?
- Oui monsieur !
- Je ne te veux que du bien ! Je veux ton plaisir et le mien ! Je pense que ton plaisir passe par le mien et le mien passera par le tien!
- Oui me concernant monsieur !
- En ce moment, je m'impose à toi, mais c'est juste le début d'une relation.
L'homme remue alors un peu plus en elle, provoquant une vague de chaleur dans son ventre.
- Pour la suite, ce sera une décision commune, de continuer ou pas ensemble. J'ai aimé te violer parce que je savais que tu en avais envie.
Si tu n'as pas envie de moi, je n'aurai pas envie de toi. J'aime te voir mouiller tes cuisses, t'humilier pour accentuer cela,
te donner des ordres mais pour notre plaisir partagé !
- C'est rassurant ce que vous me dites monsieur !
Sa queue remue à nouveau en elle, la faisant rougir, un floc floc lié à son état se faisant entendre.
- Je n'ai pas l'intention de t'envahir, on verra où notre relation nous mène au fil du temps.
- Merci monsieur.
- Je pense que l'on mettra quelque chose au point, un code, indiquant que tu es disponible ou que je le suis.
- Oh oui bonne idée monsieur.
- Et seul moi déciderait si je viens te voir ou pas.
- Oui c'est normal monsieur.
- Mais tu auras le droit de venir me solliciter à mon appartement à une condition !
- Laquelle monsieur ?
- Tu devras venir nue à 4 pattes jusque chez moi et gratter à ma porte jusqu'à ce que j'ouvre ou te résigner à rentrer chez toi
si je ne donne pas signe de vie.
- C'est humiliant monsieur !
- Mais tu vas adorer cela ma petite non ? dit il en accélérant son rythme en elle.
- OH oui monsieur !
Les mains s'emparent de ses seins et les massent, lui étirent les pointes, les lui tordent.
Il augmente encore son rythme, puissant en elle et attire sa poitrine vers sa bouche, mordillant un téton après l'autre.
Il joue de la bouche et de ses dents ainsi sur ses lourds globes, les secouant avec ses coups de reins.
Elle sent deux doigts venir lui taquiner le clitoris en meme temps et ne peux retenir son plaisir, jouissant tres fort, entre
sa grosse queue qui l'ouvre si bien et ses doigts, sa langue, ses dents.
Il la prend entre ses bras, le temps que son plaisir s'estompe et que sa respiration reprenne son rythme normal.
Il sort d'elle et la guide pour qu'elle se laisse descendre au sol, entre ses cuisses.
- Suce ma belle !
Elle ne dit mot et s'empare de sa queue d'une main, l'aspire de ses lèvres, désireuse de lui rendre le plaisir qu'il vient de lui
offrir. La chaleur de cette grosse queue qui emplit sa bouche l'excite. Elle fait glisser sa langue sur le gland, presse ses
levres sur la hampe. Elle sent la bite palpiter dans sa bouche et commence à la pomper doucement.
L'homme gémit et contrôle son bassin pour retenir son envie de lui baiser la bouche comme s'il s'agissait d'un simple orifice.
Le plaisir monte tres vite le long de sa queue, sa blonde suceuse s'activant avec dextérité de sa langue experte et de ses douces levres.
Il explose à longs jets dans sa bouche, gémissant de plaisir et de bonheur.
Sophie sent les jets dans sa gorge et en reçoit un peu sur sa langue, savourant son gout et avalant bien tout.
Elle finit par le laisser sortir de sa bouche et le lape bien pour le nettoyer, le laissant tout doucement reprendre sa taille normale.
L'homme lui caresse la joue et l'attire contre lui sur le canapé.
- Couchée la chienne !
Humiliée Sophie prend la position tout en posant sa tete sur les cuisses de l'homme avec sa queue et ses couilles comme horizon.
L'homme se detend dans le canapé, profitant du moment. Sa main caresse le dos de la petite chienne humaine et descend régulièrement
sur sa croupe, pour la caresser, la flatter.
- Je ne me lasserai jamais de caresser ta croupe ma petite !
- Elle est à vous monsieur !
Sophie s'abandonne à lui, rassurée de ne pas etre tombée sur un monstre. L'horizon s'éclaircissant un peu, bien que beaucoup de
zones d'ombre subsistent.
A suivre...
Le monde de Sophie.
Chapitre 7 : Fin de week-end
Sophie était toujours allongée sur le canapé, sa tête sur les genoux de son voisin. Ce dernier regardait la télé avec elle, suivant
quelques programmes en se reposant ainsi. De temps en temps, il lui posait des questions, sur ce qu'elle aimait faire le dimanche
quane elle ne jouait pas à l'esclave, ce qu'elle lisait, ce qu'elle regardait à la télé, la musique qu'elle aimait et en retour,
il lui révélait ses gouts.
Elle commençait à s'habituer à lui, à sa chaleur, à son contact, à ses caresses qu'elle recevait en tant que chienne. Cela lui
plaisait de passer son après-midi ainsi, à disposition de sa main, nue et enchainée, simple animal de compagnie qui n'a rien à penser.
La vie lui paraissait plus simple. Deux simples choses à réaliser, obéir à cet homme et lui faire plaisir.
A la fin de son feuilleton préférée, l'homme lui claqua la croupe, lui arrachant un cri se surprise.
- Allez ! Fini la belle vie ! Debout esclave !
- Oui oui tout de suite monsieur !
- Va me préparer un bain !
- Tout de suite monsieur !
Sophie file dans la salle de bain et fait couler l'eau dans sa baignoire, ajoutant quelques sels avec une senteur mixte.
Elle fouille dans son armoire pour sortir le plus beau drap de bain en sa possession puis sort différents produits de douche
pour que son maitre ait le choix.
Elle augmente le niveau de chauffage de sa pièce, range un peu les objets qui trainent et regarde satisfaite son environnement.
Elle pousse un cri en se retournant, surprise de se retrouver en face de son voisin, ne s'attendant pas à ce qu'il soit là.
- Vous m'avez fait peur monsieur !
- Tu ne voudrais tout de meme pas que je m'annonce quand je rentre dans une pièce esclave ?
- Non non monsieur ! Je vous prie de m'excuser !
- Je suis ici chez moi esclave !
- ... Sophie reste sans voix en entendant cela.
- Une esclave ne possède rien !
- Oui monsieur !
- Donc je suis ici chez moi !
- Oui monsieur !
- Dis le esclave !
- Vous etes ici chez vous monsieur...
- Bien esclave, je suis content de te l'entendre dire !
Il se met alors à lui pincer les tétons et à les vriller entre ses doigts, jouant avec eux, se réjouissant de son trouble.
- Il va y avoir trop d'eau !
- Ho ! Pardonnez moi monsieur !
Elle se tourne vivement pour fermer les robinets et pousse un nouveau cri. Une grosse claque vient de tomber en travers de ses fesses.
Elle fait un mouvement pour se redresser mais sent aussitôt une main lui agripper les cheveux pour la maintenir penchée en avant.
- Ne bouge pas salope !
- Oui monsieur ! Excusez-moi monsieur !
- Arrete de t'excuser sans cesse cela m'énerve !
- Oui monsieur ! Pardonnez-moi monsieur !
Une énorme claque tombe de nouveau sur son cul.
- Je t'ai dit d'arreter avec tes excuses !
- Oui monsieur !
- Je crois que tu as besoin d'une bonne leçon ! De comprendre que je ne plaisante pas ! Que je suis ton maitre et pas un maitre de
pacotille ! Pas une espèce de programme que tu peux contrôler !
- Je vous jure que je comprends monsieur !
- Tu vas encore mieux comprendre alors ! Baisse tes bras vers le sol et passe tes pieds au dessus de la chaine pour que tes mains soient
attachées dans ton dos !
Sophie obéit et se baisse, enjambant la chaine alors qu'une nouvelle claque vient tomber en travers de sa croupe.
- Plus vite trainée !
- Oui oui monsieur !
Elle le sent attraper la chaine pour lui remonter les bras dans le dos et elle entend un petit cadenas qui se referme.
Au poids de la chaine qui pese de nouveau, elle comprend qu'il l'a lachée mais elle est incapable d'écarter ses poignets l'un de l'autre.
Elle devine alors que le cadenas est clipsé entre 2 maillons près des bracelets, la coinçant dans cette position.
- Ce que je vais te faire subir ne sera ni agréable pour toi ni pour moi !
- Mais pourquoi le faire alors monsieur ?
- Bonne question esclave ! Tu n'es pas si idiote que cela finalement !
Sophie rougit humiliée par le faux compliment.
- Je le fais pour que cela ait une valeur d'exemple !
- D'exemple pour quoi monsieur ?
- Pour tout refus ou rébellion de ta part esclave !
- Jamais je ne me permettrai monsieur !
- Tu sais bien que si ! Et je tiens à ce que tu saches ce qui t'attend si jamais tu te permets de me prendre pour un faible !
- Loin de moi l'idée monsieur !
- Alors elle va encore plus s'éloigner cette idée petite catin !
Avant que Sophie n'ait le temps d'articuler sa réponse, une main lui tire les cheveux et la pousse en avant. Dans le même temps, un coup
de genou à l'arrière des siens lui fait fléchir les jambes et horrifiée elle se retrouve la tête sous l'eau avant d'avoir pu prendre
une inspiration. Elle se débat paniquée, sa tête bien maintenue sous l'eau mais des gifles tombent alors sur sa chatte la meurtrissant
en meme temps qu'elle avale de l'eau. En larmes dans l'eau, paniquée, la petite blonde essaie de réfléchir.
Elle se force à fermer la bouche mais la plongée non attendue ne lui permet pas de bien retenir sa respiration.
Elle se sent relever d'un coup hors de l'eau et recrache aussitôt ce qu'elle a aspiré qui lui encombre encore la bouche.
Elle se maudit d'avoir mis du sel de bain dans la baignoire, le gout agressant ses papilles. Habituée à nager, elle prend une bonne
inspiration avant de se retrouver de nouveau la tête sous l'eau.
Elle sent alors la douleur sur ses fesses, une grosse fessée qui commence. Les coups tombent et elle est obligée de retenir les cris
qu'elle a envie de pousser pour ne pas avaler d'eau.
A intervalles irréguliers, l'homme lui sort la tête de la baignoire toujours en la tenant par sa chevelure et elle gémit de douleur
tout en reprenant son souffle rapidement, la station hors de l'eau étant toujours brève.
Cela lui parait durer une éternité alors que la punition commence à peine. Ses fesses sont si douloureuses qu'au moindre contact elle
a envie de crier maintenant.
Cette fois, elle commence à vraiment paniquer, sa position sous l'eau se prolongeant, elle relache de l'air doucement par la bouche,
essayant de se redresser en vain, solidement maintenue.
Elle sent alors le gland chaud de son bourreau se poser sur son anus et le forcer sans aucun ménagement.
Son sphincter s'ouvre sous la poussée et se dilate malgré lui, violée par la grosse queue de son voisin. Elle souffle ses dernieres
gorgées d'air sous l'eau alors qu'il commence à l'enculer sans se soucier de la laisser respirer.
Alors qu'elle perd tout contrôle d'elle même, il la sort enfin de sous l'eau et elle tousse, crache l'eau avalée alors qu'il continue
de lui défoncer le cul sans se soucier d'elle.
- Qu'est ce que ton cul est serré quand tu joues sous l'eau ma salope ! J'adore ça !
Elle l'écoute effarée d'entendre ça alors qu'elle a cru se noyer. La douleur la rattrape alors, en provenance de son anus pris sans
ménagement et bien trop dilaté et en provenance de ses fesses que son violeur vient frapper du bassin à chaque fin de course dans
son cul. Elle crie et pleure, brisée comme jamais elle n'aurait pensé l'etre un jour. L'homme rit et pilonne son cul maintenant,
cherchant son plaisir, sans aucune considération pour elle.
Elle hurle alors que des claques lui tombent maintenant sur les seins. Il les lui gifle alors qu'ils ballotent sous elle au gré
de ses poussées dans son cul. Tout cela est si dur pour elle, elle est desespérée et plus du tout consentante mais elle a peur
qu'il la replonge sous l'eau aussi elle n'ose bouger.
Elle se sent véritablement violée cette fois, plus du tout un simulacre ou un jeu pour elle et c'est avec soulagement qu'elle le
sent enfin se vider dans son cul. L'homme termine de jouir après quelques poussées terminales en elle et se retire.
- Tu as compris la leçon esclave ?
- Oui monsieur !
- Tu dois me hair en ce moment même ! Mais c'est normal ! Ne combat pas ce sentiment !
- Oui monsieur
Sophie est piteuse qu'il puisse savoir ce qu'elle ressent, surtout cela !
- C'est une dure punition, ce serait anormal que tu m'aimes après cette torture. Elle a valeur d'exemple ! Cela t'évitera des erreurs !
- Oui monsieur je comprends dit la petite blonde peu convaincue.
- Tu verras que tu éviteras de trop me facher à l'avenir en repensant à ce moment !
- C'est sur monsieur !
Sophie cherche surtout alors comment se faire pour ne plus etre sous la coupe de ce voisin, envisageant même de déménager à ce moment là.
- Tu as l'air tres fachée esclave ! Tu sais que tu risques une nouvelle plongée ?
- Ho non non monsieur ! Pas ça non !
Sophie s'agenouille vite au pied de son maitre et leche ses couilles pour l'amadouer.
- Je préfère cela !
Il se dénude pendant qu'elle continue ses coups de langue puis s'écarte d'elle et entre dans la baignoire, s'y allongeant.
Sa queue sort à moitié de l'eau, tendue, toujours aussi grosse, souillée par le sperme et son voyage dans le cul de son esclave.
- Viens nettoyer esclave ! Vite !
- Tout de suite monsieur !
Sophie se penche en avant et aspire la queue chaude entre ses levres. Le gout et l'odeur la répugne toujours autant après une sortie
de son cul mais elle n'a pas du tout envie d'etre replongée sous l'eau. Elle comprend alors qu'il a vraiment raison, elle va obéir
sans discussion pendant un bon moment par peur de la baignoire ! Elle le pompe et l'enfonce sans broncher completement dans sa bouche
et sa gorge alors meme que son nez et sa bouche sont sous l'eau et s'applique à le nettoyer.
Il finit par dégonfler et rétrécir dans sa bouche. L'homme soupire de bonheur, satisfait et propre.
Il lui caresse le visage puis la croupe doucement.
- Tu es une bonne esclave ! Je suis très content de toi !
- Merci monsieur !
Sophie se trouve bête mais se sent vraiment aussi heureuse qu'il soit satisfait d'elle.
- Tourne-toi !
Elle obéit vite sans discuter. Elle sent enfin qu'il relache ses chaines, enlevant le cadenas.
- Tu peux enjamber ta chaine de nouveau pour avoir tes mains devant toi esclave !
- Merci monsieur !
- Pas la peine de me remercier esclave, c'est pour mieux me servir !
La belle victime s'empresse d'obeir.
- Va me chercher un livre genre thriller, suspense, policier. Quelque chose de bien !
- Tout de suite monsieur !
Elle sort de la salle de bain et aussitôt frissonne de froid. Le contraste de température avec la salle d'eau est important et l'eau
qui s'égoutte de ses cheveux et coule sur son corps est maintenant froide. Elle file chercher le dernier bon livre qu'elle a lu
dans sa bibliothèque, un Coben, et le ramène à son maitre.
- Merci esclave ! Je ne l'ai pas encore lu celui-ci, bon choix, j'allais l'acheter !
- Heureuse de vous satisfaire monsieur !
- Tu me satisfais sous tous les plans esclave !
Sophie rougit et baisse la tête peu habituée aux compliments de ce genre.
- Va me chercher à boire ! Un bon verre d'eau, un grand avec des glaçons !
- Oui monsieur tout de suite !
- Pas de plateau pour nous encombrer juste le verre ! Oublie le style guindé !
- A vos ordres monsieur !
Elle gagne sa cuisine, subissant un nouveau choc thermique qui hérisse les quelques poils qui lui reste sur le corps et ramène le
verre d'eau demandé à son maitre.
- Parfait esclave ! A 4 pattes à coté de la baignoire, croupe vers moi esclave !
- Oui monsieur.
Sophie obéit sans montrer qu'elle n'apprécie pas trop etre traitée en chienne si souvent.
Elle pousse un petit cri, surprise et glacée, comprenant que c'est le verre d'eau froide qui vient de se poser sur ses reins.
Elle n'est pas une chienne mais une table ! Elle baisse de nouveau la tête, rabaissée au rang de meuble.
Elle s'applique à ne pas bouger pour ne pas faire tomber le verre de son dos. Elle entend les pages du livre qui tournent à intervalles
réguliers, et le verre quitte aussi ses reins de temps en temps, devenant moins froid et moins lourd.
Curieusement, cela la contrarie, elle a plus de mal avec ce verre qui s'allège et se réchauffe pour bien le situer sur ses reins et
ne pas risquer de le faire tomber.
Elle voit tout à coup le livre qui plane à coté de sa tete avant de s'écraser au sol plus loin sur un coin sec de la pièce, se demandant
si son maitre est faché. Elle entend le verre qui est posé sur le carrelage et avant qu'elle ne puisse poser une question, de grands
bruits de mouvements d'eau proviennent de la baignoire et des doigts lui ouvrent les levres.
Elle comprend que son maitre vient de s'allonger dans son bain et qu'il s'amuse avec son corps.
Les doigts lui écartent ses petites lèvres, provoquant aussitôt des frissons de plaisir et une humidité qui ne doit rien à l'eau chez elle.
Elle regarde discretement par dessus son épaule et voit que son voisin s'est allongé dans la baignoire et qu'il la caresse distraitement.
La belle esclave se sent rabaissée par ce manque d'attention mais la caresse n'en est pas moins efficace, les doigts passant d'un massage
de ses levres à celui de son clitoris puis à une exploration de son vagin avant de chatouiller son anus et de repartir pour une nouvelle
caresse de sa chatte de façon imprévisible et non rythmée. Rapidement, elle gémit bouche ouverte par le plaisir, les yeux semi-fermés.
L'homme continue de ne pas s'occuper plus que cela d'elle, ne lui parlant pas, semblant rever dans sa baignoire.
Un passage furtif de doigts sur son bouton la fait tout à coup jouir, la faisant se pencher en avant, s'appuyant sur ses avant-bras
pour mieux s'offrir à la caresse et ne pas risquer de s'affaler sur le sol lors de l'orgasme.
Elle jouit longuement, les doigts continuant de fureter entre ses levres, la prenant par moment soit doucement soit plus rudement.
Elle continue de gémir et d'essayer de reprendre son souffle, le plaisir irradiant toujours son corps en provenance de son sexe.
Sophie sent à nouveau qu'elle n'existe plus que par ce sexe qui lui procure tant de sensations.
Toujours pas de mouvement depuis la baignoire, les doigts continuent de jouer d'elle et après quelques minutes, un nouvel orgasme
la saisit, lui faisant poser la tete sur le sol pour mieux récuperer. Elle essaye de se calmer mais c'est impossible avec la caresse
incessante de son intimité. Elle aimerait que cela cesse mais en même temps, elle est heureuse que cela continue.
La caresse change, les doigts pinçant maintenant un peu son clitoris, se vrillant plus souvent et plus profondement en elle.
Elle sent qu'elle s'est transformée en fontaine et qu'elle ne contrôle pas du tout son plaisir.
Un petit étirement de son clitoris la fait jouir une troisième fois comme cela.
Elle laisse échapper de petits rales, elle est incapable d'avoir une pensée construite. Elle n'est plus qu'un sexe et rien qu'un sexe.
Un sexe dont on dispose, qui ne s'appartient pas.
Les doigts continuent leur jeu, combinant pénétrations et caresses de son bouton simultanément. Elle mord le tapis de bain pour ne
pas avoir la honte de s'entendre crier de plaisir. Elle, qui est si discrète habituellement dans son plaisir, ne peut plus retenir
ses cris. Elle avait toujours trouvé ridicule ces filles expansives mais à ce moment là comprend que l'on ne peut pas toujours
etre discrète quand les sens s'emballent. Un quatrième orgasme la surprend ainsi complètement abandonnée au plaisir.
Elle rale et crie depuis un moment maintenant, elle a perdu la notion du temps, les caresses se poursuivent, la torturant de plaisir.
Sophie voudrait que cela se termine sans vraiment le vouloir. Elle est épuisée par ce plaisir mais en veut toujours plus.
Elle a honte de son comportement, de ses cris de plaisir, de ses ondulations des reins, d'elle qui tend sa croupe pour la caresse,
de son abandon si total. Elle n'a plus aucune pudeur, totalement perdue dans le plaisir.
Elle a abandonné le compte de ses orgasmes, 7, 8 ou 10, elle ne sait plus mais elle a la sensation qu'elle va mourir de plaisir si
cela continue.
L'homme pince son clitoris et le tourne un peu provoquant une nouvelle jouissance. Elle n'en peut plus et tombe sur le sol, ses
jambes ne la soutiennent plus. Elle a peur d'etre punie mais elle est incapable de rester en place, son esprit essaie de commander
mais ses membres ne répondent plus.
Elle sombre dans un léger sommeil récupérateur.
L'homme la regarde depuis la baignoire, tres satisfait et suce ses doigts, appréciant le gout de son sexe.
Il profite de son repos pour se laver et se rincer longuement, heureux de cette situation. Un bon bain, une belle esclave à ses pieds,
dévouée et salope. Que rever de mieux !
Il finit par entrer son pouce dans le cul de la blonde et son index dans son vagin et les crochete. Il lui tire sur le cul ainsi, la
redressant en la réveillant en sursaut.
Sophie pousse un cri de douleur, le réveil est rude, crochetée par le vagin et l'anus. Elle se redresse vite à genoux.
- Monsieur désire ?
- Monsieur veut sortir du bain esclave oisive !
- Oui tout de suite monsieur !
La petite esclave se releve et prend le drap de bain, en entoure l'homme qui s'est relevé dans la baignoire et le seche brievement
avant qu'il ne sorte du bain. Elle termine ensuite son travail et finit par sucer les doigts qui l'ont crochetée pour la reveiller.
- Parfait ma belle esclave !
- Merci monsieur !
Sophie est toute fière de ce remerciement. Ses jambes sont encore un peu molles après le cumul de ses orgasmes mais elle se sent
calme, repue pour la première fois depuis bien longtemps.
- Il se fait tard esclave, il est l'heure de diner !
- Oui monsieur, que souhaite monsieur pour son repas ?
- J'ai vu que tu avais des légumes dans ton réfrigérateur, tu vas préparer des radis, carottes, asperges et éplucher un concombre
sans le découper. Tu ne découpes rien ! Compris esclave ?
- Je ferai selon vos souhaits monsieur !
- Bien ma petite ! Allez au travail !
Il accompagne son encouragement d'une bonne tape sur le petit cul de la jolie blonde.
Sophie disparait dans sa cuisine alors que l'homme se rhabille et ramasse le livre pour l'emmener au salon avec lui.
Il prend le PC et examine les groupes d'interlocuteurs de son esclave. Il sourit en voyant que le groupe "amis" est bloqué.
Il s'empresse de l'ouvrir et autorise Danielle ainsi qu'une autre amie au hasard, Beverly, à avoir l'accès visuel.
Rapidement, la demande d'accès arrive et les 2 amies voient se qui se passe chez Sophie.
Il leur dit bonjour et amène le PC dans la cuisine, offrant une belle vue sur l'esclave qui s'affaire à préparer les crudités,
toujours aussi nue et enchainée, sans informer cette dernière que ses deux amies la voient.
Il s'approche d'elle doucement.
- Cela fait un moment que tes amis voyeurs s'ennuient, montre leur ton cul !
Sophie se cambre génée pour offrir son cul à la cam. L'homme lui écarte les fesses, exhibant bien son petit anus plissé et sa chatte
à la vue des voyeurs. Cela l'amuse d'imaginer la réaction de Danielle et Beverly à ce spectacle.
- Quelle putain tu es ! Toujours à tortiller du cul !
Il accompagne sa remarque humiliante d'une bonne claque sur la croupe ouverte de la belle et rit.
- Alors c'est pret !?
- Oui je termine tout juste monsieur !
- Parfait ! Emmene tout cela sur la table de terrasse ! Il fait beau, il faut en profiter ! Ne met qu'une seule assiette !
Sophie obéit aussitôt, excitée et humiliée à la fois à l'idée d'etre à nouveau vue nue et soumise de tout le voisinage mais
aussi un peu dépitée à l'idée de devoir manger encore une fois dans une écuelle sur le sol.
L'homme la rejoint rapidement, amenant mayonnaise, moutarde et ketchup.
- On va se régaler ma petite !
- Je le pense monsieur !
- Ce soir tu manges à table avec moi !
- Ho merci pour cet honneur monsieur !
- C'est mérité ma petite !
Sophie est toute contente de ne plus manger à terre dans une écuelle pour cette fois.
Elle se dirige vers la baie pour aller se chercher une assiette.
- Attend ! J'ai quelques petites modifications à apporter à cette table !
Il prend la table et la tourne, la plaçant perpendiculairement à la rambarde du balcon. Il place ensuite une chaise et une seule puis
approche les aliments du bord de la table.
- Grimpe sur la table, à plat-ventre ! Cul vers l'exterieur du balcon !
Sophie rougit mais obéit soumise bien en vue de tous.
L'homme place le PC de façon à ce que la scène soit bien filmée et que le repas se déroule de manière bien visible.
Il prend ensuite le tube de mayonnaise et l'ouvre.
- Ecarte tes cuisses salope !
Il lui claque le cul de nouveau pour ponctuer l'ordre. Sophie s'empresse d'obeir humiliée, comprenant ce qui va arriver.
L'homme la pénetre du tube et presse pour vider la mayonnaise dans son vagin.
Il lui écarte ensuite bien les fesses et dépose un grosse cuillère de moutarde sur l'anus.
- Ne bouge pas ou on retourne à la salle de bain !
Terrorisée, Sophie s'astreint à ne pas broncher malgré le picotement de la moutarde sur son anus.
L'homme verse enfin du ketchup sur chacune de ses fesses.
- Elles sont si rouges tes fesses que l'on voit à peine le ketchup ! dit il pour se moquer d'elle.
Elle pique un fard, humiliée de nouveau.
L'homme s'installe alors à table et glisse un radis dans son vagin pour avoir de la mayonnaise.
- Honneur aux dames !
Il lui présente le radis à la bouche et elle le croque, mange le radis ainsi. Il alterne mayonnaise et ketchup ainsi, rajoutant
parfois un peu de moutarde à la mayonnaise.
Il glisse ensuite 3 carottes dans l'anus de la pauvrette, la faisant crier et pleurer de douleur avec la moutarde.
Elle se tortille sur la table en songeant qu'elle est en plus exhibée comme cela à beaucoup de monde.
Il glisse les asperges dans son vagin et commence à les partager avec elle, toujours enculée par les carottes.
- Au fait, j'ai oublié de te dire, j'ai autorisé 2 de tes amies à regarder notre repas.
- Ho non non monsieur !
- Ce n'est rien va, juste Danielle et une certaine Beverly !
Sophie est horrifiée mais ne tient pas à etre punie et se tait, encore plus humiliée et excitée de se savoir vue par ses amies
dans cette situation.
Elle gémit un peu plus fort alors que le concombre entre et emplit son vagin. L'homme force, pousse durement contre son col, le
percutant fortement.
Une fois bien en place, il sort une carotte et la lui donne à croquer, pleine de moutarde et de senteur de son cul.
La douleur des carottes bougeant dans son cul est terrible. Une fois celles-ci terminées, Sophie respire un peu mieux.
- Allez au concombre ! Tu vas voir un concombre mayo-moutarde c'est excellent !
La blonde se fige horrifiée. Le concombre force aussitôt son cul, glissant facilement en elle grace à la mayonnaise.
- On dirait une petite chienne comme cela, tu as une jolie queue comme ça ! Allez remue la queue pour montrer que tu es contente !
Sophie se tortille sur la table devant tout le monde rouge de honte alors que son voisin rit, se moquant d'elle.
Il sort enfin le concombre et le partage avec elle, lui renfonçant dans le cul et le vagin après chaque bouchée.
- J'aime ces petits repas tout simple le soir ! Pas toi esclave ?
- Si si monsieur, enfin quand mes amies ne sont pas invitées...
- Que tu es égoiste ma petite ! Pourquoi ne pas vouloir partager la vue d'un si joli cul !
- Oui monsieur je suppose que vous avez raison.
- On leur demandera répond il en souriant !
Il se lève de table et lui prend les mains.
- Allez descend de là !
Elle retrouve le sol en flageolant sur ses jambes, la douleur émanant de son anus étant forte, comprenant pourquoi il l'a prise
par les mains et lui en est reconnaissante, même si elle aime plutôt se débrouiller seule.
Il se glisse derrière elle et lui mordille la nuque en massant ses seins.
- Tu as un corps dont je ne me lasserai jamais ma petite !
Elle reste coite, ne sachant trop que répondre, ne voulant pas s'engager. Il lui mordille les épaules tout en étirant ses tétons.
- Allez file nettoyer tes orifices ma belle ! Et si tu as de la pommade apaisante pour ton anus, tu es autorisée à en mettre !
Sophie ne se fait pas prier et sous la douche s'asperge à grandes eaux, faisant partir le reste de mayonnaise qui coule de son
sexe avec la chaleur et se faisant un mini-lavement pour éliminer la moutarde qui heureusement a peu pénétrée en elle.
Elle se passe un peu de baume apaisant sur l'anus, soupirant de soulagement au contact.
Quand elle termine ses ablutions, elle retrouve l'homme dans sa chambre, en train de fouiller ses armoires.
- Je vais te laisser tranquille pour la nuit ma petite ! Je suis en train de choisir ta tenue pour toi aller travailler demain.
J'ai un faible pour ce tailleur gris. Approche !
Il place la jupe devant elle pour juger de l'effet.
- Mi-cuisse ! C'est parfait ! Donc ce tailleur avec ce petit chemisier blanc ! rien d'autre. Et ces jolis escarpins à talons hauts !
Tu seras parfaite comme cela ! Une jolie petite cadre dynamique !
Il se penche et lui mordille les tetons puis les epaules et enfin l'embrasse à pleine bouche tout en fouillant son sexe des doigts,
commençant à l'exciter à nouveau.
- Au revoir ma belle ! Au revoir à tous fait il en faisant signe à la cam du PC.
Et sans plus un regard derrière lui, il sort de son appartement, la laissant seule pour la nuit.
Sophie range ses affaires et referme le PC.
Elle se couche sur son lit enchainée encore jusqu'au prochain petit matin et réfléchit à sa situation, à ce week-end qui a dérapé.
Elle se dit qu'une journée au travail calmera les choses, elle a besoin de temps.
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Le monde de Sophie.
Chapitre 8 : Au boulot !
Sophie passa une nuit un peu perturbée. Les évènements imprévus de son week-end la tourmentaient. Trop de choses en trop peu de temps
perturbaient sa vie. Cela ne lui déplaisait pas, elle adorait etre soumise, jouer à etre soumise sexuellement, etre humiliée...
Seulement, elle ne savait pas si elle pourrait tout assumer correctement ! Esclave oui mais la meilleure des esclaves, question d'honneur !
Ce voisin imprévu dans le rôle de maître, avec ses exigences particulières, pas tout à fait en symbiose avec les siennes, elle ne savait
pas trop comment le gérer. Si elle l'acceptait totalement, il lui fallait faire l'effort de s'adapter à ses désirs. Elle était l'esclave
et lui le maitre. Son but était de lui faire plaisir. En serait elle capable ? Etait ce compatible avec son travail...
Elle finit par s'endormir au milieu de toutes ces questions qui tournaient dans son esprit. Les chaines, peu pratiques pour dormir, la
reveillaient à chaque changement de position durant son sommeil. Elles génaient ses mouvements, faisaient du bruit, ou lui procuraient
quelques douleurs en s'incrustant dans sa chair.
La sonnerie de son reveil la tira du profond sommeil où elle s'était enfin plongée. Elle avait envie de tout sauf de se lever.
Un avantage cependant, le coffre devait etre ouvert et elle allait enfin etre libre !
Elle fit tourner avec ravissement la clé dans les serrures et rangea avec un plaisir non déguisé ces chaines dans le bas de son armoire
de chambre. Enfin libre ! Elle commençait à comprendre le ravissement des esclaves libérés les siècles passés et le sens du mot
déchainé ! Elle jubilait !
Toujours nue, elle se précipita dans sa cuisine pour se faire un bon café. Une fois pret, elle se servit un mug du breuvage bien chaud.
Elle s'assit à sa table et aspira une gorgée bien chaude, la savourant en se calant le dos contre sa chaise.
Elle avait l'impression d'avoir été privée de ce plaisir simple depuis si longtemps, alors qu'il ne lui avait été interdit que 2 matins.
Elle se demandait si elle n'était pas plutôt une esclave de ses désirs qu'une véritable esclave capable de sacrifices demandés par son
maitre. D'un autre coté, son maitre potentiel n'avait rien exigé concernant son petit-déjeuner. Donc elle pouvait faire ce qu'elle
voulait et elle n'allait certainement pas lui demander des contraintes d'elle-même !
La douche fût un autre moment de ravissement ! Pas de chaines à gérer sous l'eau, pas de poids sur les membres quand il fallait se
champooinner la tête ! De petits bonheurs simples ! Elle allait finit par devenir une apôtre de Senèque !
Elle enfila ensuite une jupe grise et un chemisier blanc, sans aucun dessous. Elle était une esclave ! Elle avait décidé qu'une
esclave se devait d'être disponible et donc sans dessous en permanence. Par ailleurs, cela l'excitait de se rendre au travail sans
ses dessous. Cela éclairait sa journée, quand elle se disait assise à son bureau, si mes collègues savaient ! Elle était souvent
humide en y pensant.
Elle mit ses chaussures de marche, se disant que les talons hauts qu'elle avait laissés au bureau conviendraient à sa tenue du jour
et se mit en route.
Elle quitta sa résidence sans rencontrer son voisin et cela la soulagea un peu. Elle se rendit compte qu'elle était un peu stressée,
uniquement lorsqu'une fois dehors, elle se mit à soupirer jusqu'à expulser la totalité de l'air de ses poumons.
Sa journée au bureau se passa sans encombre. Le vendredi avait été compliqué mais par miracle, ce lundi, tout semblait se résoudre
seul. Chaque fois qu'elle joignait l'un des intervenants du projet, les incidents avaient été réglés ou étaient en voie de résolution.
Elle passa donc une journée détendue, se permettant même une pause en milieu d'après-midi.
Au retour de cette pause, Sophie fit un bond et son coeur s'accéléra en rentrant dans son bureau. Sa responsable, Shari, une jolie petite
femme d'origine japonaise, qui réussissait à etre plus petite qu'elle avec son mètre 55 était assise à sa place. Elle remit en place
ses longs cheveux noirs, qui atteignaient presque sa taille fine. Tout d'ailleurs chez elle etait fin, elle ne devait pas peser plus
de 45 kg. Ses bras et jambes etaient minces et osseuses, ses petites mains possedaient de longs doigts fins, même ses fesses etaient
plates. Elle fusilla Sophie de son regard noir, l'impression de colère étant renforcé par le bridage naturel de ses yeux.
Les narines de son petit nez retroussé semblaient palpiter et sa petite bouche aux levres pleines etaient pincées. Elle expira bruyamment
de l'air, ce qui n'avait même pas gonflé les joues de son visage effilé.
Elle resta assise alors que Sophie refermait la porte de son bureau. Sophie n'avait qu'une envie, fuir ! Shari avait quelques années
de moins qu'elle, approchant la quarantaine alors qu'elle n'en faisait une petite trentaine, mais devant elle, elle se sentait comme
devant quelqu'un de plus agé et ayant toute autorité sur elle. Cela la pertubait et elle devait contenir son envie de filer aux
toilettes.
- Ca va ? La vie est belle ! la voix grave de Shari retentit dans le bureau, les mots bien détachés un à un, parlant lentement et clairement.
On se permet de faire des pauses pendant que je fais tout le travail à votre place ?!?
- Mais Shari, je vous assure que j'ai contacté tout le monde aujourd'hui ! Tout allait bien !
- Evidemment que tout allait bien ! J'ai passé mon temps à régler tout vos problèmes, dérangée tout le week-end et toute la journée !
- Mais...Mais personne ne m'a rien dit !
- Personne ne voulait plus avoir affaire à vous ma pauvre ! Ce n'est guère étonnant !
- Ils auraient pu me dire ce qui n'allait pas Shari, j'aurai fait de mon mieux !
- Cela n'aurait pas suffit ! Il faut faire mieux encore ! Ce n'est pas à votre patronne de faire tout le travail !
- Mais je l'aurai fait Shari !
- Oui la preuve ! Je vous ai dit vendredi que je voulais vous voir ce matin ! Que j'attendais un compte-rendu complet de la situation !
- Mais vous sembliez si occupée Shari...
- Oui occupée en raison de votre incompétence !
Shari tapa du plat de la main sur le bureau, tres énervée. Les collègues des deux jeunes femmes n'osaient pas leur faire de signe
en partant, préférant raser les murs. Quand la patronne etait en colère, il valait mieux ne pas etre pris dans la tempete !
- Bon suivez moi dans mon bureau ! On va éclaircir quelques points ! Je suis trop énervée pour rester ici, j'ai besoin de mon environnement !
Shari se leva et d'une démarche fière, tete bien droite, le pas assuré et pas trop rapide, elle ouvrit la porte du bureau de Sophie.
- Vous prenez tous vos documents et vous etes convoquée dans mon bureau ! Vous avez 5 minutes ! Pas une seconde de plus ! Ne vous amusez
pas à croire que vous avez le temps de refaire une pause !
Sophie en resta paralysée sur place pendant quelques secondes. Tout semblait aller si bien.
Les quelques collègues qui restaient encore lui firent quelques gestes catastrophés de la main et s'empressèrent de rentrer chez eux.
Rien ne pouvait justifier à leurs yeux de rester plus longtemps et de risquer la colère de Shari. La foudre peut tomber un peu n'importe
où quand l'orage gronde.
Elle rassembla rapidement les derniers éléments du projet pour les grouper dans la pochette et prenant son courage à deux mains, elle
alla frapper à la porte du bureau de Shari.
Celle-ci était au téléphone et ne lui répondit pas. Le bureau étant entièrement vitré, elle ne pouvait pas ignorer que sa collaboratrice
était là.
Elle refrappa après deux minutes à la porte, au cas où Shari n'aurait pas entendu, absorbée par la conversation téléphonique.
Le verre vibra sous sa main alors que Shari lui tonna d'entrer.
- Oui je suis désolée, je serai très en retard ce soir ! Oui ! Oui ! Non juste une incompétente à recadrer voir à reprendre en main !
Oui ! D'accord, à ce soir !
Sophie rougit en entendant qu'elle était ouvertement qualifiée d'incompétente. Elle baissa la tête pour fixer le bout de ses chaussures.
La situation l'embarrassait. Le problème, c'était les réactions de son corps. En entendant Shari parler ainsi d'elle, de sa voix forte,
ses tétons s'étaient durcis et tendaient le tissu de son chemisier. Elle sentait aussi que son sexe était devenu tres humide.
Heureusement que c'était indétectable, ou presque...
- Alors ce dossier ! Je peux l'avoir ! Vous avez un tas de choses à m'expliquer ! D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi je ne vous vire
pas simplement ! Vous avez de la chance que je vous aime bien !
Sophie poussa un petit soupir discrètement, rassurée. Elle avait toutes ses chances de ne pas finir comme les 2 précédentes qui
avaient été convoquées dans le bureau de Shari un soir et qui avaient été congédiées sine die.
- Bon passons au premier point, le constructeur ! Alors pourquoi ai-je du régler les litiges concernant cette putain de commande !
- Mais quels litiges Shari ?
- Ceux qui bloquaient l'execution de la commande petite cruche !
- Mais il n'y en avait pas Shari !
- La commande était validée ? Non ! Pourquoi ? En raison des litiges ! Vous etes une gourde !
Sophie rougit sous l'argumentaire de Shari et les noms d'oiseaux dont elle l'affublait.
- A quoi etes vous utile sur ce projet ? A rien visiblement ! Vous allez voir le nombre d'actions que j'ai du prendre à mon compte
alors que c'etait votre travail ! Pendant que Melle se prenait une pause tranquillement ! Je vais vous la faire passer moi votre pause !
- Je suis désolée Shari, je ne savais pas !
- Je n'en ai rien à faire que tu ne savais pas espèce de paresseuse !
Sophie rougit terriblement, vexée, elle qui n'hésitait pas à rester tres tard au bureau pour parfaire son travail, parfois la dernière
partie même, chaque fois qu'il le fallait.
Shari leva la main alors que Sophie allait protester, pour lui intimer de se taire.
- C'est simple Sophie ! Tu as quel age ?
- 42 ans Shari !
- Tu m'appelleras madame quand nous ne serons que toutes les deux dès maintenant !
- Mais pourquoi ?
- Parce que les petites incompétentes de ton espèce, je préfère qu'elles ne m'appellent pas par mon prénom ! Et je ne vais pas me justifier
à chaque ordre que je te donne ! La société nous recommande de nous appeler par nos prénoms mais ici dans mon bureau ce sera ainsi !
Si tu n'es pas contente, tu prends la porte !
- J'ai 42 ans madame...
- Et des seins qui pointent !
- Pardon madame ?
- Rien rien ! Tu as donc 42 ans et que fais tu de ta vie petite conne ?
Sophie n'osa protester de cette nouvelle insulte mais rougit encore plus.
- Je suis l'une de vos chefs de projets madame.
- Et moi quel age ai-je à ton avis ?
- 32 ans madame ?
- La flatterie ne marche pas avec moi espèce de fayote ! ne crois pas t'en tirer comme cela ! Néanmoins, j'ai 37 ans ! Et que suis-je ?
- Vous etes la directrice de notre département madame !
- Voilà, il y a au moins quelques petites choses que tu connais !
Sophie était confuse et se sentait humiliée. Le problème, c'est que sa poitrine trahissait de plus en plus son excitation. Par chance, son
sexe ne lui coulait pas encore sur les cuisses.
- J'ai 37 ans et j'ai réussi ma vie ! Toi tu as 42 ans et tu es si incompétente que tu n'as même pas encore atteint un poste du niveau
du mien ! Peut-être que cela ne t'arrivera d'ailleurs jamais ! Je suis la plus jeune et c'est moi qui commande !
Sophie resta sans voix, rabaissée comme rarement de sa vie. Les larmes lui montaient aux yeux.
- Cependant ! Il y a un cependant ! Comme tu me plais beaucoup et que j'aime voir tes tetons déformer ton chemisier, je t'offre une chance!
- Merci madame soupira Sophie de plus en plus humiliée, n'osant rien dire concernant sa poitrine.
- J'ai noté que tu terminais tardivement le soir, comme moi ! Tu n'es donc pas irrécupérable !
- Oui merci madame !
- Ne me remercie pas trop vite petite trainée !
- Ho mais madame !
- Comment appelles tu une personne qui a les seins qui se tendent alors qu'elle se prend un savon de première par sa patronne?
- ...
- Une petite trainée !
- ...
- Repete !
- Je suis une petite trainée madame !
- Et bien voilà une chose sur laquelle nous sommes d'accord !
- Les 2 précédentes que je voulais comme assistantes exclusives ne comprenaient pas qui commandaient ! Elles avaient plus de fierté que toi!
Elles ont du partir voir ailleurs si l'herbe y est plus verte d'ailleurs ! Mais je sens que l'on va peut etre réussir à s'entendre toutes
les deux !
- Je l'espère beaucoup madame !
- Tu es donc une petite trainée et une incompétente notoire ! Tu as foiré l'ensemble de ce dossier !
- Oui madame, heureusement que vous étiez là !
- Cela c'est la version que je connais ! Pour la version officielle, tu as été parfaite sur ce dossier, j'ai passé tous les coups de fils
mais personne n'osera me contredire !
- Personne n'en aura jamais le courage madame !
- C'est certain, mais cela tant que je le déciderai te concernant !
- Oui madame !
- Je vais profiter de ce beau succès pour faire de toi mon adjointe, ne prenant plus d'ordre que de moi, supérieure à toutes les autres
chefs de projet !
- Ho merci madame !
Shari leva de nouveau la main.
- Il y a des contreparties tu te doutes bien !
- Lesquelles madame ?
- Tu dois réussir l'examen que je vais te faire passer !
- Un examen madame ?
- Oui avec des notes !
- Bien madame.
- Tu y es prete ?
- Oui oui madame !
Sophie commençaient à se rassurer, cela ne tournait pas si mal pour elle. Une petite engueulade et un examen pour ensuite obtenir une
promotion, c'était inespéré !
- Cette place implique un dévouement à toute épreuve envers moi !
- Oui je comprends madame.
- Donc à tout moment, tu es libre de prendre tes affaires et de partir, ce sera considéré comme une démission si l'examen est trop
complexe pour toi !
- Bien madame !
- J'ai besoin d'un bon petit soldat qui ne cherche pas à comprendre mes ordres ou à les interpréter mais à les faire respecter !
- Je comprends madame !
- Enlève ton chemisier !
- Pardon madame ?
- Un poinr de moins !
Sophie s'empressa d'enlever son chemisier honteuse de dévoiler ses seins gonflés par l'excitation. Ses beaux globes ronds se dressaient
fièrement devant elle, ses tetons allongés et bien durs pointant vers Shari.
Mais qu'est ce que je fais là se disait elle. Je suis en train de me mettre à poil devant ma patronne juste parce qu'elle me le demande !
N'ai je donc aucune volonté ou fierté ? Il suffit qu'on me demande de me devetir et je le fais ! Je vais finir par croire que je ne
suis vraiment qu'une pute ! Sophie dégrafa ensuite sa jupe pour la laisser glisser à terre, entièrement nue devant Shari, dans son
bureau vitré, espèrant qu'il ne restait vraiment plus personne à l'étage.
- Un point de plus pour toi petite salope ! Tu devances les désirs de ta supérieure ! C'est très très bien ! Et un second point de plus
parce que tu es encore plus une trainée que je ne l'imaginais ! Pas de dessous pour venir au travail ! Bravo !
Sophie était rouge de honte, les compliments la rabaissant plus qu'autre chose.
- Tu viens souvent sans dessous travailler ?
- Oui madame.
- Pour quelle raison ?
Sophie s'empourpra en songeant à sa motivation première.
- Un point de moins pour tentative de dissimulation d'une information !
- C'est plus pratique et amusant madame !
- Un autre point de moins ! -2 pour mensonge flagrant !
Sophie se demandant comment Shari pouvait savoir qu'elle mentait ! Etait-ce un bluff ? Elle disait cela au hasard ? Precher le faux pour
connaitre la vérité, ce n'était pas dans ses habitudes. D'un autre coté, faire mettre nue une collaboratrice dans son bureau ne devait
pas l'etre non plus ! Encore qu'il semblait y avoir eu 2 précédents qui avaient avortés...
Shari s'approcha d'elle et lui prit les tetons entre les doigts, s'amusant à les presser, les masser, les étirer.
Sophie se mordait les lèvres pour ne pas gémir, la situation l'excitait affreusement.
- Tu as de beaux gros seins ma petite pute !
- Merci madame.
- Si tu deviens mon ombre, ils seront à moi ! Je veux dire ici ! Pendant les heures au bureau ! Tu garderas ta vie privée !
- Oui madame, merci madame !
- J'aime que tu m'appelles ainsi ! Je sens à ta façon de le dire que tu le prononces avec respect ! C'est important pour moi !
Shari tapa doucement sur l'intérieur des 2 cuisses de Sophie.
- Ecarte petite vicieuse ! Et mets tes mains sur la tête !
Sophie s'empressa d'obéir de plus en plus humiliée. Ses seins remontèrent encore un peu plus sous le nez de Shari et elle écarte bien
ses jambes.
- Tu n'es vraiment qu'une petite perverse ! S'épiler le sexe comme cela ! Je croyais qu'il n'y avait que dans les films pornos que cela
se faisait !
Sophie était de plus en plus humiliée. Le pire pour elle, c'est que chaque humiliation augmentait son état d'excitation.
Shari glissa sa main sur le pubis de la petite blonde avant de la faufiler entre ses cuisses et de masser ses levres.
Sophie sentit un doigt ouvrir ses lèvres et laissa échapper un gémissement de plaisir.
- Tu n'as pas honte de mouiller le doigt de ta patronne comme cela ! Petite chienne en chaleur !
- Si madame mais je ne peux pas m'en empecher !
- Surtout pas ! J'adore cela ! Je peux encore plus t'humilier ! Je crois que l'on va bien s'entendre toutes les deux !
- Oui madame dit Sophie en gémissant encore plus, Shari venant de jouer avec son clitoris.
- Tourne toi !
Sophie obéit sans l'ombre d'une hésitation. Shari lui frappa les fesses de la main.
- Penche toi fontaine de cyprine !
Sophie obéit de nouveau tres humiliée, en déséquilibre, les mains sur la tête.
Shari rit amusée par le spectacle.
- Plus 10 ! Tu n'as pas cherché à retirer tes mains de ton crane ! J'adore ! Allez écarte moi ces grosses fesses des mains !
Sophie se retint de protester, son cul était loin d'etre gros ! Mais elle comprit alors que ce n'était qu'une insulte de plus pour
la rabaisser et se retint à temps. Elle prit chacune de ses fesses entre ses mains pour totalement s'ouvrir à la vue de Shari.
- Ne bouge pas !
Elle sentit un doigt masser son anus puis entrer en elle sans hésitation. Sophie ne put s'empecher de tendre son cul.
- Mais c'est bien ça ! Tu aimes te faire enculer par ta patronne ! Tu le seras souvent crois-moi !
Shari rit encore plus amusée.
- Avance vers la table de réunion !
Courbée, Sophie obéit, se tenant toujours les fesses ouvertes.
- C'est bien ! Tu es très obéissante ! Je crois que tu es le recrutement du siècle !
Shari la plaça juste à coté de la table près du siège qu'elle aimait occuper lors des réunions impromptues qu'elle donnait dans son
bureau.
- J'aime m'installer ici le soir pour me pencher sur un dossier en particulier. Le problème c'est que l'éclairage n'est pas parfait.
Et si je mets la lampe sur la table, je n'ai plus assez de place ! Heureusement, maintenant tu vas être là !
Place tes mains sur tes cuisses pour assurer ta position !
Sophie obéit se demandant ce que sa patronne tramait. Elle sentir un objet lourd et froid se poser sur son dos et la lumière s'imposa
dans cette partie du bureau.
- Impeccable ! dit Shari. Tu seras une parfaite petite table ! Je vais t'utiliser au mieux de tes capacités tu vois !
Le poids fut rapidement oté de son dos et un nouvel ordre fusa !
- A genoux mains sur la tête !
Sophie obéit résignée, s'agenouillant devant sa patronne.
- Coté obéissance physique, dernière épreuve et pour cette partie d'examen, tu seras reçue !
La petite blonde agenouillée se disait heureusement, qu'aurait elle pu faire de plus ! Comment etre encore plus rabaissée qu'elle ne
l'était.
- Mains dans le dos et penche toi ! Nettoie mes chaussures de la langue, je veux qu'elles luisent bien !
Rouge de honte, Sophie obéit et ravalant sa fierté et son dégout, elle passa sa langue sur tout le cuir des chaussures de Shari.
- N'oublie pas les talons !
Ecoeurée, Sophie n'émit pas de protestation et lapa les talons de Shari qui leva ses pieds l'un après l'autre pour enfoncer tout
son talon dans la bouche de sa collaboratrice.
Elle le fit bouger à chaque fois un peu, comme pour lui prendre la bouche et bien la dominer.
- Tu es reçue ! Pour la partie pratique ! Il reste la partie théorique à passer !
Shari claqua des doigts.
- Allez debout ! Suis moi petite salope gluante de mouille ! On va aller aux archives, le temps de laisser la société de nettoyage
faire son travail ! Sauf si tu as envie que l'on te voit nue dans mon bureau ajouta Shari en souriant jusqu'aux oreilles !
Sophie se releva et ramassa son chemiser et sa jupe. Shari lui prit des mains et les plaça en évidence sur la table de son bureau.
- Si l'employée de nettoyage les remarque bien sur ma table puis ensuite sur toi, elle saura qu'à un moment, tu ne devais pas porter
grand chose dit Shari de nouveau rayonnante. Allez en route pour les archives !
Sophie sortit nue devant sa patronne pour remonter tout le couloir de son entreprise, priant à nouveau pour que tout le monde
soit bien parti.
A suivre...
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