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Le monde de Sophie.
Chapitre 4 : dérapage total
Sophie etait en train de reprendre des forces après sa séance de nettoyage spécial. Elle s'était assise au pied de son canapé, se jugeant indigne
en raison de sa condition d'esclave, de l'honneur de s'assoir dans ce canapé. L'avantage était qu'ainsi elle ne sentait pas le poids de ses chaines.
Son PC ne lui donnant plus d'ordre pour le moment, elle se concentrait sur les améliorations à apporter à ce fichu programme. Il lui semblait avoir
dérivé vers des ordres qu'elles ne pensaient pas normal de recevoir. Les fonctions aléatoires devaient s'emmeler et il devait y avoir des conditions
qui n'etaient pas respectées lors de la génération des ordres. Sa journée lui paraissait épuisante physiquement et sexuellement. Il faudrait qu'elle
limite les possibilités pour ne pas finir sur les rotules lors du prochain week-end qu'elle se replanifiera pensait la jolie petite blonde.
Je m'amuse bien trop pour ne pas recommencer très vite !
Elle entendit alors le bruit caractéristique de son PC lorsqu'il se remet en route et se redressa pour écouter l'ordre qui n'allait pas tarder.
- Esclave !
- Oui maitre ?
- Préparation du repas ! Ce soir pizza !
- Bien maitre !
Sophie s'en va soulagée vers sa cuisine, se disant qu'elle n'aurait pas à jeter son plat à nouveau à la poubelle ce soir. Elle ouvre son congélateur
et se passe sa pizza préférée au four. Pas au micro-onde, qui vous donne une pate affreuse à manger mais au four traditionnel. Elle profite de ce
long moment d'attente pour réfléchir à nouveau. Ses fesses et sa chatte sont toujours douloureuses suite à la punition, son anus se rappelle à elle
par moment, avec de petits lancements suite à son activité ménagère. Tout cela la comble totalement, pour rien au monde elle n'échangerait sa place
avec quiconque en ce moment. Etre une esclave, c'est vraiment super !
Elle se masse doucement les seins, prenant ses globes de bonne taille par le dessous et remontant pour étirer ses pointes.
Mmmmm gémit la jeune femme, se sentant de nouveau humide entre ses cuisses. Elle continue son massage doucement, appréciant de s'exciter, nue dans
sa cuisine, exhibée à ses contacts via la cam de son PC.
Le four signale enfin la fin de la cuisson de sa pizza. Elle la transfère dans une assiette et signale que son repas est pret en cliquant sur son PC.
- Esclave ! Je te fais une faveur ! Repas au calme, à table sur ton balcon !
- Merci maitre !
Elle s'empresse de filer s'installer dehors, toujours aussi excitée à l'idée d'etre vue comme cela nue, de son voisinage.
Elle se sent couler sur sa chaise alors qu'elle découpe sa pizza et la mange en prenant son temps. Son sexe la démange et elle résiste à chaque
instant à l'envie de se caresser. Ses seins et ses tetons sont tendus. Cependant, n'ayant pas d'ordre de son maitre, elle se force à résister à son
envie, tres fière de sa volonté. Je suis une esclave avant tout se dit elle pour se convaincre.
Elle profite de la liberté qui lui est laissée pour prendre son temps, se relaxant dans son siège. Il fait bon et le petit vent qui chatouille
ses tétons accroit encore son excitation. Elle clique enfin sur son PC pour signaler la fin de son repas.
- Esclave !
- Oui maitre !
- Tu n'es qu'une souillon !
- Oui maitre.
- Porte immédiatement tes poubelles pour les mettre dans les bacs collectifs prévus !
- Oui tout de suite maitre !
Cela franchement, je suis presque sure de ne pas l'avoir programmé ! Une souillon ! Moi une souillon ! Sophie rumine un peu, fachée après son PC.
Lundi, il faut vraiment que je regarde ce qui se passe avec ce programme !
La jolie nymphe se lève et s'empresse de nettoyer ses couverts et son assiette dans la cuisine, jetant les reliefs de son repas dans sa poubelle.
Elle récupère l'emballage à recycler de sa pizza et sort son sac poubelle de matière alimentaire.
L'ordre lui semble vraiment suspect mais à priori, il est réalisable. Il est maintenant 22h, l'immeuble est plutôt calme quand elle tend l'oreille.
Elle hésite malgré tout, suite à ses déboires lors de sa remontée de la cave le matin. Les poubelles sont au rez de chaussée et le périple risque
d'etre tout aussi dangereux. Sans compter qu'une fois dans le local poubelle, elle n'aura pas d'issue, si quelqu'un vient, ce sera de nouveau
tres humiliant et risqué pour sa réputation. Le pire c'est qu'elle sent son sexe se transformer en fontaine et que cela coule sur ses cuisses.
Quelle trainée je suis ! Plus je risque d'etre vue et plus je mouille ! Js suis complètement folle ! Oui folle d'envie de vivre et d'excitation !
La petite blonde est résolue, elle prend ses déchets et se dirrige vers sa porte d'entrée, accompagnée par le bruit de ses chaines.
Sophie ouvre sa porte d'entrée et tend l'oreille. Aucun bruit, tout va bien ! Elle passe ensuite la tete par l'entrebaillement de sa porte et
scrute de droite à gauche le couloir. La voie est libre ! Elle file sur la pointe des pieds, lentement jusqu'à etre à portée de vue de l'affichage
des ascenseurs. Rien ne bouge, c'est vraiment le moment. Elle appuie sur le bouton d'appel et file toujours sur la pointe des pieds fermer sa porte
d'appartement. Son coeur bat à toute allure, un nouveau périple commence pour elle ! Jamais jusqu'ici elle n'avait pensé qu'une grande aventure
digne des plus belles épopées pouvait constituer en un voyage de chez elle à 5 étages plus bas jusqu'au local poubelles !
Elle avance à petits pas rapides jusqu'aux ascenseurs, ses chevilles étant entravées, faisant attention à ne pas faire trop bruisser ses chaines.
Elle se sent dans la peau d'une héroine de roman, à l'affut de tous les dangers, dans un environnement hostile. La seule différence, c'est que
cela se passe à l'intérieur de son immeuble et que son sexe est devenu une vraie fontaine. Peut-etre que ses héroines favorites mouillaient aussi
au moment de l'action si dit elle, guettant le bandeau d'affichage pour anticiper l'ouverture des portes de l'ascenseur. Pas envie d'etre de
nouveau surprise par un voisin inattendu !
La petite musique d'arrivée se déclenche et elle se met de coté dans le couloir, fouillant la cabine du regard. Déserte ! Elle file vite à l'intérieur
et appuie sur le bouton du 1er étage. Pas question à cette heure de se retrouver au rez de chaussée dans l'ascenseur avec une ou deux familles qui
attendraient pour rentrer chez elles ! Elle se plaque le plus possible sur le coté de la cabine lorsque les portes s'ouvrent au 1er et regarde dans le
couloir. Personne ! Tout va bien ! Elle file rapidement de l'ascenseur à la porte d'escalier et s'y glisse. Petit moment de répit !
Le pire c'est que son état d'excitation ne cesse de s'aggraver! Si je pouvais au moins m'empecher de mouiller mes cuisses ! Sophie se regarde honteuse
d'etre aussi mouillée.
Calme toi petite putain ! se murmure Sophie tout bas. Tu devrais avoir honte de te promener nue enchainée dans les parties communes de ton
immeuble ! Tu n'as aucune excuse ma fille ! Tu le fais parce que tu as programmé ton PC pour qu'il te le fasse faire !
Belle excuse non ! Tu es une vraie trainée et puis c'est tout !
Sophie s'arrache à ses pensées. Ce n'est pas de cette façon là que je vais y parvenir ! Je mouille encore plus quand je pense à cela!
Je suis irrécupérable ! Totalement irrécupérable !
Elle entreprend alors la descente des escaliers, marche après marche, concentrée sur le bruit de ses chaines. Le raclement du métal sur le béton
lui fait craindre le pire à tout moment. Elle a la sensation que tout le monde va ouvrir les portes pallières et regarder d'où provient cet
affreux crissement.
Elle parvient enfin au rez de chaussée. Son coeur bat comme lorsqu'elle a enchainé les longueurs à la piscine! C'est vraiment compliqué de
descendre un étage !
Elle s'approche de la porte lentement, s'appliquant à ne plus faire aucun bruit. Elle se souvient de l'épisode de la petite fille le matin et
ne tient pas vraiment à le revivre. Elle entrouvre la porte et scrute l'espace dégagé devant les ascenseurs.
Elle retient à grand peine un petit cri tout en refermant la porte le plus silencieusement possible.
Cela n'a pas duré plus de 2 secondes, le temps de voir qu'il y avait 2 familles en attente et son regard a réussi à accrocher celui d'une
petite fille. La meme que celle de ce matin se dit Sophie, j'en suis sure se repete t'elle !
Elle colle son oreille à la porte et entend :
- Maman ! je te jure je l'ai revue !
- Tu me fatigues tu sais avec tes histoires!
- Pourquoi tu me crois jamais maman?
- Parce que tu inventes trop de choses !
- Elle est toute nue derrière la porte maman ! c'est vrai !
- Mais oui ma chérie, mais si elle veut etre toute nue derrière la porte, il faut la laisser là. Allez ! Monte ! L'ascenseur est là !
Sophie soupire soulagée. Je m'en sors bien tout de meme ! Elle rouvre la porte confiante après le départ de l'ascenseur et jete un coup d'oeil
distrait pour se rassurer. Elle fait un bond en arrière et rattrape la porte juste avant qu'elle ne claque.
Ce n'est pas possible ! L'ascenseur est suffisamment grand pour prendre tout le monde d'un coup! Quelle bande de sauvages ! Ils ne veulent
meme plus partager une cabine !
Elle recolle son oreille à la porte tout en essaillant de calmer les battements de son coeur. Heureusement que je ne suis pas cardiaque !
Elle entend de nouveau le bruit d'une montée dans l'ascenseur et tente une nouvelle sortie.
Tout est calme et désert ! Juste 2 ascenseurs en phase de descente mais ils sont dans les étages supérieurs, j'ai le temps de gagner la porte
du local poubelle.
La petite esclave enchainée gagne à pas rapide l'entrée de sa salle au trésor. Elle l'ouvre et se glisse dans le petit couloir menant aux poubelles.
Heureusement que je ne suis pas restée dans l'ascenseur jusqu'au rez de chaussée tout de meme se dit la belle nue. J'aurai eu un sacré comité d'acceuil!
Bon allons-y. Avec le temps que j'ai passé à guetter, impossible qu'il y ait quelqu'un ! Personne ne reste près d'une poubelle aussi longtemps.
Elle ouvre enfin la porte du local. C'est vide et calme. Cela ne sent pas la rose mais le sol est propre, régulièrement nettoyé.
Elle referme la porte derrière elle, regardant les grands containers comme si elle venait de découvrir le trésor signalé par un grand X sur une
carte moyennageuse.
Elle s'avance vers la poubelle de déchets organiques pour y mettre son sac à paella. Elle prend le couvercle et pousse pour le soulever.
Les poubelles sont tout sauf pratiques pour une femme ! Un gros grincement emplit la piece.
Sophie en reste pétrifiée, manquant de peu d'inonder le sol de son urine. Je n'ai pas encore poussé pour le soulever. Ca ne peut pas etre la poubelle!
- Bonsoir voisine !
Elle tourne la tete et voit son voisin, co-compagnon de remontée en ascenseur du matin !
Ses jambes flageollent sous elle. Quel manque total de chance finalement ! Je suis une aventurière poissarde finalement !
- Alors toujours prisonnière de ce fameux pari ?
- Oui monsieur.
- J'adore ce pari !
- Je me doute monsieur.
- Tu dois surement te separer de tes poubelles non ?
- Oui tout à fait monsieur.
- Alors qu'attends tu ?
Sophie se sent faible devant cet homme qui lui donne des ordres maintenant. Elle ouvre la poubelle et y vide son sachet.
Elle sent le regard de l'homme qui profite qu'elle lui tourne le dos pour examiner la courbe de son dos, sa cambrure, ses jolies fesses.
Elle devine qu'il s'attarde à fouiller entre ses cuisses et qu'il doit voir qu'elle mouille comme une fontaine tellement ses cuisses sont humides.
Elle repose le couvercle de la poubelle et se retourne, esperant qu'il est sorti pendant qu'elle faisait cela.
Elle est vite déçue. L'homme est toujours là.
Le problème, c'est qu'il se tient à coté de la poubelle pour carton et plastique. Impossible de ne pas venir à ses cotés.
- Allez ma petite ! Cette poubelle t'attend !
- Oui monsieur !
Elle voit un sourire qui se dessine sur son visage.
Elle se crispe mais avance malgré tout. Son coeur bat la chamade. Elle se dit que c'est fini les ordres en exterieur dans son programme ! Elle va
vite éradiquer tout cela !
Elle ressent une douleur sur ses fesses. L'homme vient de les lui claquer de la main ! Mais il se prend pour qui !
Elle s'apprete à protester et ouvre la bouche vindicative.
- Chuttt ! dit l'homme en posant un doigt sur sa bouche. La porte est ouverte ! Tu veux que tout l'immeuble vienne te voir ainsi ?
Sophie se tait en grimacant avec ce doigt posé sur ses levres. Elle se dit qu'il a raison, elle est coincée.
Elle ouvre la poubelle pressée d'en finir et jette ses détritus dedans, sechement.
Elle pousse un grand cri de peur, soulevée dans les airs et basculant dans la poubelle. Le couvercle se referme sur son dos.
Elle est à moitié dans la poubelle, se retenant avec les mains sur des cartons pour ne pas y basculer completement.
Elle crie à nouveau alors que des claques lui tombent sur les fesses.
Les grandes mains de l'homme sont en train de lui donner une bonne fessée. Elle se débat pour se dégager.
- Ne bouge pas ou je te change de poubelle ! Dans le compost tu t'amuseras moins !
- Ho non non! ne faites pas ça ! S'il vous plait ! Laissez moi !
En réponse, les claques reprennent sur son cul, le rendant rapidement douloureux. Sophie, par fierté, retient ses larmes de couler.
Pas question de montrer un signe de faiblesse à son voisin !
Elle se sent ramenée sur terre brutalement, ses seins ronds et lourds rapant le bord de la poubelle, la meurtrissant et la laissant le souffle court.
Quel salaud ! se dit Sophie sans oser prononcer un son. Des lancements de douleur lui remontent depuis ses fesses. Sa poitrine lui fait toujours mal.
Penchée en avant, ses mains sur ses cuisses, elle essaie de rassembler ses esprits et de réfléchir à la situation.
- Face au mur du fond ! Mains sur le mur levées au dessus de ta tete ! Penchée en avant !
Cet enfoiré ne me laisse pas une seconde de répit se dit Sophie. Néanmoins, elle ne peut s'empecher de lui obéir. Sa tete dit non mais ses jambes
la menent jusque devant le mur. Elle s'arrete une cinquantaine de centimetres avant le mur et leve ses bras. Le béton lui glace les mains alors
qu'elle prend la position.
L'homme apprécie le spectacle, cette belle captive enchainée, en appui contre le mur du local poubelle, totalement à sa merci.
Le bruit de ses pas emplit la petite pièce.
Sophie n'ose bouger mais chaque claquement de semelle sur le sol la fait se crisper tout en la troublant. Qu'est ce qui va m'arriver?
Si je suis sage, j'ai déjà eu une fessée, il devrait me laisser partir.
- Non ! Non !
Sa nuque vient de subir l'emprise d'une poigne ferme alors que ses levres intimes sont fouillées par des doigts tres investigateurs.
- Je vous en prie non ! Ne faites pas ca !
Les doigts jouent entre ses levres, les lui ouvrant, taquinant son clitoris, s'enfonçant en elle en vrillant.
Sophie se sent faiblir, gémissante maintenant sous cet assaut.
La main libère sa nuque, l'homme s'étant assuré qu'elle restait offerte à ses doigts. La petite blonde sent toute volonté l'abandonner.
C'est un maitre et elle une esclave ! C'est trop dur de lutter !
Un petit cri lui échappe malgré tout alors qu'elle sent un sexe chaud se coller contre sa raie.
Bon maintenant je sais ce qui va m'arriver se dit elle. Je ne veux pas mais j'en ai envie !
La chaleur quitte sa raie et elle n'a pas le temps de réfléchir plus ! L'homme vient d'entrer brutalement en elle !
Elle grimace de douleur. Il est gros ! Elle s'affole étant trempée comme rarement dans sa vie. Elle le sent buter contre ses fesses.
Sa queue doit etre de longueur normale mais tres grosse, je n'ai jamais été ouverte comme ça !
L'homme remue en elle en rythme régulier, ni trop lentement ni trop rapidement.
- Alors salope ! Tu as ce que tu cherchais !
Sophie rougit humiliée par ce qu'elle entend.
- Tu n'es qu'une pute qui cherche à se faire sauter depuis ce matin !
Elle gémit sous les coups de rein de l'homme qui accompagnent ces paroles.
- Tiens prends ça petite chienne en chaleur !
L'homme accentue ses coups de rein en elle. Son vagin s'habitue à la distension de ses chairs et le plaisir fuse en elle.
Son amant lui prend les seins en main et les masse, étirant et tordant ses tétons tout en accélérant ses va et vients en elle.
Ses gémissements lui indiquent qu'il va bientot jouir dans son ventre.
Elle s'abandonne au plaisir n'ayant rien de mieux à faire.
L'homme donne un grand coup de reins la soulevant du sol tout en jouissant en elle. La chaleur du liquide en elle et ses coups de reins
font jouir alors Sophie.
- Hummmmm !
- Tu aimes Salope !
- Oui monsieur !
- Tiens ! Tiens ! Tiens !
Chaque fois, il gicle en elle tout en s'enfoncant bien à fond.
Il reste en elle, toujours aussi gros.
Elle n'ose bouger soumise à son voisin. Quelle honte ! Je me fais baiser par le premier qui le veut ! Non pas le premier essaie t'elle
de se rassurer. C'est un dominant !
- A 4 pattes chienne !
Oui ! Pas de doute ! C'est bien un dominant ! Sophie se sent faible devant cet homme qui lui donne des ordres.
L'odeur au ras du sol est pire que lorsque l'on est debout ! Sophie baisse la tete humiliée aux pieds de l'homme.
Au passage, ses yeux lui ont confirmé ce qu'elle a senti. Il a une queue tres grosse, la verge plus large que son gland et de
beaucoup. Par contre pas tres longue, on ne peut pas tout avoir...
Le gland se pose contre son anus.
- Ho non ! Elle est trop grosse ! Ca ne va pas entrer !
- Allons ! Tu as un cul de chienne ! Ca va aller !
Elle hurle alors que la queue entre en elle. Le gland passe facilement son anus et le reste de la queue se force un passage dans son cul.
Il pousse pour se loger entierement. Sophie respire tres vite et tres fort, tres ouverte.
Quelle humiliation ! Elle est à poil à 4 pattes dans un local poubelle, en train de se faire enculer par un quasi-inconnu.
Elle gémit alors qu'il commence à la prendre, sa queue brulant son anus. c'est trop pour elle ! Ces humiliations ! La sensation émanant
de sa croupe! Elle se sent tellement dominée et chienne.
Des mains la saisissent aux hanches et les coups de bite dans son cul s'accélèrent. L'homme se fait plaisir tout en faisant attention
à ne pas la meurtrir. Dur mais attentionné ! Cela la convainc de s'abandonner en confiance.
Le plaisir de la situation et l'homme dans son cul l'amenent au plaisir. A tel point que cette fois, c'est elle qui jouit avant de le
sentir se répandre dans ses intestins.
Il reste en elle, s'allongeant sur son dos et lui mordille la nuque et les épaules, lui murmurant que son cul est merveilleux.
Elle n'ose bouger, se sentant vraiment la pire des salopes suite à ce qu'elle vient de faire et morte de honte de son abandon.
Il finit par sortir d'elle amolli maintenant et se relève. Sophie, soumise, se redresse à genoux, voulant prouver sa valeur.
Elle aspire le gland et le nettoie des levres et de la langue avant de continuer sur le reste de la queue.
L'homme sourit satisfait et caresse sa tete, joue avec ses cheveux pendant qu'elle le rend tout propre.
Il finit par se réajuster et remonte sa braguette. La petite esclave se sent mieux, elle a réussi à nettoyer cette queue inconnue
sortie de sa chatte et de son cul sans haut le coeur.
Elle fait un mouvement pour se relever et reçoit une petite tape sur la tete.
- A 4 pattes ! Allez petite chienne !
Humiliée elle obeit. Elle sent la main rassembler ses cheveux et les empoigner. L'homme l'entraine ainsi le long du couloir, se servant
de sa chevelure comme d'une laisse.
Le couple arrive ainsi à la porte du hall près de l'ascenseur. Sophie essaie de ralentir son allure mais l'homme ne semble pas disposé
à faire de meme. Il ouvre la porte et l'entraine sans meme vérifier si quelqu'un vient.
Elle voit horrifiée plusieurs paires de chaussures pres de l'ascenseur.
- Laissez passer s'il vous plait ! Il s'agit d'une production pour internet ! Ecartez vous pour ne pas etre dans le plan !
L'homme la traine jusque dans l'ascenseur qui vient de s'ouvrir.
- Ceux qui veulent etre filmés peuvent monter avec nous !
Les gens s'écartent vite et les portes se referment. Sophie est sous le choc. Elle n'a jamais osé relever la tete mais a détecté une
demi-douzaine de personnes.
L'homme rit.
- Ne t'inquiete pas, tous n'ont fait que mater tes mamelles et ta croupe petite chienne ! Aucun ne retiendra ton visage !
Ses paroles lui paraissent censées. Il a surement raison.
- Et tu es couverte par mon excuse ! De nos jours, si on agit n'importe comment, si c'est filmé, cela permet tout ! Et s'ils n'ont
pas vu les caméras, c'est que c'est ultra miniaturisé donc une grosse production !
Il rit à nouveau.
Cela achève de la rassurer.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur son couloir. L'homme la conduit amusé en la tenant toujours par les cheveux.
Il lui prend ses clés et ouvre la porte. Une tape sur ses fesses,
- allez à la niche !
Sophie rentre sans se faire prier chez elle alors que l'homme remet les clés dans la serrure à l'interieur de l'appartement et
referme la porte, la laissant seule.
Elle se laisse tomber sur le sol, essayant d'analyser tout ce qui vient de lui arriver. Quelle aventure !
Je n'ai qu'un problème se dit la belle esclave, j'ai un maitre supplémentaire maintenant...
A suivre...