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Le monde de Sophie.
Chapitre 3 : Dérapage contrôlé
Le gode etait maintenant bien propre, luisant de salive. Sophie aimait le travail bien fait et c'etait une question d'honneur pour elle que
ce gode soit comme neuf. Elle n'avait pas envie de quitter son balcon, la douce caresse du soleil sur sa peau
lui faisait du bien, de meme que la certitude que de nombreuses personnes devaient se rincer l'oeil en la regardant.
Tout le monde devait la prendre pour la pire des salopes et cette pensée la faisait encore plus couler sur ses cuisses, confirmant que c'etait
vrai, elle n'était qu'une trainée !
Cependant, sucer ce gode commençait à devenir difficile, combien de temps avait elle passé ainsi ? Elle avait tellement joui à s'enculer
pratiquement publiquement avec Danielle au téléphone. Et le poids de ces chaines qui lui rappelait toujours son état, qu'elle ne pense pas
un instant simplement s'amuser mais bien qu'elle n'était qu'une esclave née pour servir et obéir.
Sophie se secoue la tete et clique sur le PC pour signaler que son maitre est propre maintenant.
- Esclave ! Il est temps de préparer le repas ! A la cuisine, prépare le plat le meilleur possible pour ton maitre !
- Oui maitre, tout de suite !
Elle décroche le gode de la baie en faisant une petite grimace, sa baie si nette avant ses ébats etait pleine de traces maintenant.
Fais chier ! pense Sophie moi qui adore faire les carreaux !
Elle dépose son amant sur le plan de travail de la cuisine et pose son PC sur la table pour ne rien cacher à ses contacts.
Elle commence à s'activer, préparant une petite paella pour son maitre. Son corps se mouvant avec grace dans la piece malgré la contrainte
des chaines offre un charmant spectacle. Ses tetons sont toujours tendus, Sophie de rappelant à chaque instant avec ses gestes freinés
par les chaines qu'eille n'est qu'une esclave en service, et ses petites fesses ondulant au fil de ses pas.
La préparation dure une bonne heure et enfin toute fière elle lance la cuisson ! Elle regarde le tout mitonnant en se disant qu'elle a belle
allure et que cela ne devrait pas etre mauvais. L'odeur lui donne faim mais elle ne se permet pas de manger.
Elle commence à nettoyer les instruments de cuisine utilisés tout en surveillant la cuisson, regardant de temps à autre le gode avec envie.
Elle clique enfin sur l'icone repas pret du PC toute contente d'elle.
- Esclave ! entre le nom du plat !
- Oui tout de suite maitre !
Elle tape fébrile le nom du plat, se souvenant qu'elle a programmé une acceptation du plat. J'ai mis tant de temps à concevoir ce programme
que je ne me souviens plus de tout ce qu'il fait se dit Sophie.
- Esclave ! Je deteste la paella ! Je suis tres faché !
- Pardonnez moi maitre, je ne savais pas !
Le PC la fait languir un peu avant de continuer son dialogue.
- Esclave ! Tu jettes le tout à la poubelle !
- Mais maitre...
- Sans discussion !
Putain, j'étais forte quand j'ai écris tout cela, j'avais meme prévu ma réticence à jeter cela !
Elle vide le plat directement dans le sac poubelle résignée, à contre-coeur, les larmes aux yeux, tant d'efforts pour rien !
Elle semblait si bonne ! je l'aurais bien mangée cette paella !
- Ceci mérite une punition !
- Oui maitre...
- Martinet ! 25 coups sur les fesses ! penchée sur la table de cuisine !
- Oui maitre !
Sophie prend le martinet en main et se penche sur sa table penaude. Ses superbes fesses s'arrondissent bien et dévoilent tout de son intimité
dans cette position. Elle se sent devenir humide. Je suis vraiment une trainée se dit Sophie, je vais me prendre le martinet et je mouille !
Elle commence à faire tomber les lanières sur son cul, ne se ménageant pas, essayant de les donner avec la puissance d'un homme.
Au onzieme coup, son cul est rouge, strié, et tellement douloureux que les larmes coulent de ses joues pour humidifier la table.
Au quinzieme coup, elle souffre tellement qu'elle fait une pause, reprenant son souffle, se sentant plus que jamais esclave. A la suite
de tous ces mouvements, la banane glisse sans qu'elle ait le temps de la retenir, et tombe sur le sol.
Ses gros seins ronds sont écrasés sur la table sous elle, tellement elle a besoin du soutien de celle-ci, flageolante sur ses jambes tant
la douleur est intense.
Elle reprend la punition et les sensations sont encore pires ! Cette pause n'a pas fait le bien escompté, la douleur a eu le temps de s'installer
et elle est maintenant décuplée. Elle essaie d'accélerer les coups pour compenser mais s'arrete de nouveau à 4 coups de la fin.
Courage ! Allez ma grande ! Tu peux le faire ! Elle rassemble tout son courage et parvient à se frapper encore pour terminer la punition.
Elle lache le martinet le laissant tomber au sol, épuisée de douleur. Elle calme les battements de son coeur en inspirant à fond plusieurs
fois de suite et attend que la douleur se calme pour se redresser enfin. Elle clique sur l'icone fin de punition, inquiete de ne pas
l'avoir fait plus tot.
- Esclave ! Tu as été trop longue !
- Oh non ! non! maitre !
- 12 coups de plus en visant ta chatte offerte !
- Oh non pitie maitre !
- En cas de désobéissance ou de punition non terminée 30 coups sur ta chatte !
- Oui maitre !
Elle s'empresse de ramasser le martinet, ne voulant pas perdre la face devant ses contacts, se faisant un point d'honneur
de leur montrer qu'elle est une esclave respectueuse de son maitre. Elle frappe de nouveau ses fesses en feu, les lanières atteignant
maintenant sa chatte à chaque coup.
Elle avait soigneusement évité cela jusqu'alors. Elle ne peut s'empecher de hurler à chaque fois que ses levres reçoivent le choc des lanières.
Les larmes coulent à flots maintenant mais son bras ne faiblit pas, désireuse d'éviter tout risque de punition supplémentaire.
Après les 12 coups, elle lache vite le martinet et clique sur punition terminée.
- Esclave ! La punition est terminée !
- Merci maitre ! soufle Sophie soulagée.
- Repas à meme le sol, dans la cuisine, boite de thon et mais ! pas d'assaisonnement !
- Merci maitre !
- Ta banane en rondelle dans tout cela ! Plat et dessert ! Tu es gatée !
- Oui en effet maitre !
Sophie reste penchée sur la table un long moment, incapable de bouger, bien trop meurtrie. Dire que je viens de cuisiner une super paella !
Elle se redresse enfin et fouille dans ses armoires, trouvant avec bonheur ce qu'il faut pour son repas.
Elle cherche le coin le plus propre de son carrelage, regrettant maintenant de ne pas avoir tout lavé avant de commencer son week-end.
Elle vide la boite de thon sur le sol puis celle de maîs.
Apres avoir repositionné son PC, elle se met à 4 pattes et se penche pour manger ainsi sur le sol. Elle s'efforce de ne pas penser
au sol non lavé depuis une semaine chaque fois que sa langue rape sur le carrelage pour attraper le thon ou des grains de maïs.
Elle se retrouve par moment à chasser des grains ou miettes de thon sur un metre de distance, sa langue éparpillant plus qu'elle n'aspire.
Je dois avoir l'air d'une vraie chienne comme cela ! se dit la belle esclave.
Et zut ! Zut ! Zut ! se dit Sophie, ce n'est pas si simple. Elle en oublie toute pudeur, se contorsionnant pour le plus grand plaisir
de ses voyeurs, ouverte parfois en gros plan sous leurs yeux, à d'autres moments, offrant bien ses mamelles à leur vue, remuant sous elle
au gré de ses déplacements et contorsions.
Elle en finit enfin avec son repas terminant par les morceaux de banane et grimace un peu de thon collé sur les rondelles.
Pas la saveur de l'année se dit elle ! Elle regarde son carrelage humiliée de le voir plein de traces suite à ses exploits.
- Esclave ! Ecuelle d'eau sur le balcon !
- Merci maitre ! répond Sophie assoiffée.
Elle se redresse et remplit une ecuelle avant de l'emmener à petits pas pour ne pas la renverser tout le long de son trajet.
Elle la pose au sol, retourne chercher son PC, se sentant de nouveau bien observée par le voisinage lointain.
Elle se met à 4 pattes, à l'abris des regards exterieur, lapant l'eau pour le plaisir seul de ses contacts.
Bon je n'ai pas fait de progrès se dit elle, toujours la galère de laper dans une ecuelle !
Cependant tout cela continue de l'exciter comme jamais. Ce week-end est tellement plein de surprises ! Meme la douleur qu'elle ressent
encore au niveau de ses levres et de ses fesses l'excite maintenant.
Elle sent un petit vent caresser sa chatte et son anus offerts, jouer sur ses tétons alors qu'elle termine son ecuelle d'eau. Elle n'est
que désir et envie ! Je suis meme sensible à un coup de vent ! se dit la jolie blonde honteuse.
- Esclave ! sieste sur le sol au pied de ton canapé !
- Oui maitre !
- Un marqueur enfoncé dant ton cul de salope !
- Oui maitre ! Sophie rougit, rabaissée par la voix qui l'insulte de façon méritée.
Ces insultes lui confirment son statut inférieur, lui rappelant qu'elle doit se considérer comme une salope, une pute, une dévergondée,
une chienne, une vicieuse, une cochonne, une trainée et une conne et non plus comme une femme. Pire encore pour elle, en plus de la faire
rougir de honte, ces insultes rendent ses tétons durs et sa chatte gonflée.
Elle rentre, installant le pc sur le sol du salon puis file chercher un marqueur rond en métal dans son tiroir de commode.
Elle se met à genoux, cul tendu vers la caméra, pour offrir le spectacle à ses voyeurs et pousse le marqueur dans son anus, n'en laissant
dépasser que le bouchon.
Après s'etre faite enculée le matin, le marqueur trouve assez facilement le passage en elle. Elle gémit malgré tout et
regrette de ne pouvoir le bouger.
Elle s'allonge sagement sur le sol au pied de son canapé, en bonne esclave.
Son anus se serre et desserre sur le marqueur, au gré de son rythme sanguin et de ses petits mouvements. Cela la perturbe.
Elle a une envie folle de s'enculer avec, de bien le remuer entre ses fesses mais n'ose pas le faire.
Elle met un long moment avant de s'endormir à terre, épuisée par sa nuit perturbée et ses exercices du jour.
Sophie se reveille en sursaut, un courant d'air frais venant balayer son corps étendu sur le sol. Elle bouge un peu et
sent le marqueur toujours en place dans son cul. Elle se redresse et la douleur fuse depuis son sexe et ses fesses, lui
rappelant la punition subie. Je suis folle de me faire tout cela !
Mais qu'est ce que j'aime ça ! elle avance finalement à 4 pattes jusque son PC pour cliquer et signaler la fin de la sieste,
accompagnée par le bruissement de ses chaines.
- Sale petite putain paresseuse !
Elle rougit et baisse la tete.
- Tu mériterais d'etre empalée en place publique ! Tu dors trop !
Elle rougit encore plus se sentant humiliée d'etre rabrouée par son logiciel.
- Tu vas bouger ton gros cul tout de suite et passer le balai partout où c'est possible ! Ensuite tu laves avec le balais raclette !
- Oui maitre !
- Et pour amuser ton gros cul, tu feras tout cela empalée sur le manche des balais trainée !
- Oui maitre !
- Et sans tenir le balai du tout grosse pute !
- Oui oui Maitre !
- Tu vas faire ce que tu fais de mieux catin ! Tu vas faire travailler ton cul !
- Oui maitre !
Sophie est humiliée par toutes ces paroles et par la sensation de chaleur qui émane de son bas-ventre. Plus son programme l'insulte,
plus elle mouille !
- Depeche toi salope ! Tu devrais déjà etre en train de balayer !
- Oui oui maitre ! Pardonnez moi maitre !
Sophie frissonne, ne se souvenant plus avoir programmé tout cela. La génération aléatoire donne de droles d'ordres !
Elle place le PC sur un point central de son appartement, impossible de le trainer partout et sort le marqueur de son anus en grimaçant.
Ses chairs commençaient à le serrer tres fort après ces quelques heures en elle sans bouger.
Elle file chercher son balai à poussière, au manche de bois, bien arrondi sur le bout. Résignée à obéir, elle se place devant
l'objectif de la cam, positionne le bout du balai contre son anus, se penche en avant en ecartant des fesses le mieux possible en raison
des chaines et pousse en grimaçant son cul vers l'arrière pour s'empaler sur le manche du balai.
Elle se mord les lèvres pour ne pas gémir de douleur. Le bois non verni, ce n'est pas l'idéal pour etre pénétrée se rend elle compte !
Le manche lui brule l'anus tout au long de sa poussée. Elle s'empale soumise le plus possible sur ce manche. Cela réveille des envies
en elle mais elle se force à ne pas y céder.
Elle essaie alors de balayer sa cuisine en avançant mais se rend vite à l'evidence, en faisant cela, le balai est trop freiné et le manche
a tendance à vouloir s'echapper de son rectum. Comme elle n'a pas le droit d'y mettre les mains, elle se résoud à balayer en avançant à reculons.
Elle balaye ainsi l'ensemble de ses pièces, l'inconfort augmentant en elle. Ce manche qui pousse pour aller plus loin dans ses intestins,
la douleur quand elle bute sur certaines irrégulatités du carrelage, la faisant se redresser et en partie désenculer de ce manche.
Tout cela commence à jouer sur ses sens. Le travail est compliqué ainsi mais bien plus plaisant finalement que d'habitude.
Ses seins sont gonflés, ses tetons tellement tendus qu'ils lui font un peu mal. Elle a la sensation de se faire enculer
tout le long de sa corvée, transformant cela en plaisir.
Je vais finir par tomber amoureuse de mon programme se dit la petite blonde.
Son téléphone se met alors à sonner. Elle avance doucement, en raison du balai bien planté en elle.
Zut c'est encore Danielle ! Qu'est ce qu'elle me veut !
Sophie décroche n'ayant pas envie que son amie s'inquiete et ne s'invite chez elle pour se rassurer.
- Oui Danielle ?
- Hello Sophie ! J'appelais pour tout à l'heure, je voulais te rassurer !
- Merci Danielle, c'est gentil à toi.
- Je voulais que tu saches que cela ne me choque pas si tu joues à etre soumise à ton amant.
- Je me doutais un peu que tu n'etais pas choquée, je pense que tu aurais coupé sinon !
- C'est sur ! En fait, j'etais plutot excitée de te savoir dominée comme cela à l'autre bout du téléphone !
- Moi aussi, je l'étais d'etre traitée comme cela avec toi comme témoin!
- Il est toujours là ?
- Oui oui je te l'ai dit, tout le week-end !
- Tu as de la chance ! Si tu le largues, donne lui mon adresse !
- Salope ! Tu n'as pas honte d'essayer de le piquer alors qu'il est avec moi !
- Si si , il devrait me punir !
- Tu ne vaux pas mieux que moi on dirait !
- Pour cela que nous sommes amies ! on se ressemble !
- Oui je n'y avais pas songé !
- Il te domine là en ce moment ?
- Oui en effet
Sophie rougit esperant pouvoir esquiver les questions embarrassantes.
- Que te fait il ?
- Je préfère ne pas te répondre Danielle !
- Ho si si ! s'il te plait ! Je ne raconterai tout cela à personne ! Allez dit moi ! Je suis seule et je m'ennuie !
- Tu vas me traiter d'etre la pire des salopes si je te le dis.
- Promis ! je te traite d'etre la pire des salopes !
- C'est ce que je ne veux pas je te signale !
- Oui mais tu es la pire des salopes ! Tu vois je te l'ai dit alors tu ne risques plus rien ! allez raconte !
- Tu fais chier Danielle !
- Et ça t'embete parce que la sortie est bouchée ?
Sophie reste bouche bée, génée, honteuse, cherchant ce qu'elle va dire.
- Oh j'ai raison ! Tu es encore en train de te faire enculer ?
Sophie décide de tout avouer, vaincue.
- Il me fait balayer mon appartement toute nue enchainée, empalée sur le manche du balai.
- Tu es la pire des salopes ! Et je le pense vraiment !
- Merci de m'encourager !
- Ho mais dans ma bouche c'est un compliment chérie !
- Salope !
- C'est toi qui te fait enculer Chérie pas moi !
- Oui je sais avoue Sophie peu fière d'elle.
- Tu en es où ?
- Comment cela ?
- Tu as fini de balayer chérie?
- Non pas encore, il me reste le couloir à faire.
- Et ton balcon ?
- Mince je n'y avais pas songé
- Tu m'es redevable alors ! Je t'évite d'etre punie !
- Oui oui ! Merci Danielle !
- Allez va le balayer Salope !
- Je vais raccrocher pour y aller.
- Non pas question, tu m'es redevable, ce sera ma récompense !
Sophie avance vers le balcon et sort toujours empalée. Elle imagine la surprise et l'excitation qui doivent avoir envahi ses spectateurs voyeurs.
Son sexe devient une vraie fontaine. Elle s'applique à bien passer le balai partout, rassemblant un beau paquet de poussière,
exhibant bien ses jolies fesses garnies du balai à la vue du voisinage. En meme temps, elle raconte ce qu'elle fait à Danielle au téléphone
et les gémissements qu'elle entend ne lui laissent plus aucun doute! Cette salope de Danielle est en train de se caresser et de se faire jouir !
C'est trop pour Sophie qui remue alors sur le manche l'empalant. Cela lui fait du bien tout en provoquant une sensation de brulure au niveau
de son anus, à cause du bois. Rapidement elle halète à son tour au téléphone.
- Tu es en train de t'enculer sur ton manche salope !?
- Oui Danielle, tes gémissements m'ont trop excitée !
- Sale pute ! n'importe quel pretexte te suffit pour que tu te fasses enculer !
- Oui Danielle tu as raison avoue Sophie honteuse, rabaissée par son amie.
- Tu as le cul trop gourmand ! Tu finiras sur un trottoir un jour catin !
- Hoo Danielle ne me dit pas des choses comme cela !
- Cela t'excite trop putain !
- Ho oui Danielle dit Sophie accélérant son mouvement du cul sur le manche.
- Moi aussi cela m'excite de te dire des horreurs ! Alors bouge ton cul de pute sur ton balai pour jouir !
- Hoo Danielle !
Sophie sent le plaisir monter en elle, et la submerger. Elle jouit, le cul bien empalé sur le balai, face contre sa baie vitrée,
ne cachant rien aux voyeurs. Danielle jouit à son tour au téléphone.
- Finalement, je te rappelerai encore sale petite dévergondée !
- Oui Danielle, je comprends!
- Au revoir chérie !
- Au revoir Danielle !
Sophie récupère doucement, appuyée contre la baie vitrée, toujours empalée sur le manche du balai. Elle finit par aller chercher le ramasse-poussieres.
Elle se penche à terre pour pousser les poussières dans celui-ci, mais gémit de douleur, le balai heurtant une chaise derrière elle,
mettant en évidence qu'elle ne peut pas tenir le ramasse-poussières et pousser le fruit de son travail dedans, le balai s'éloignant en arrière
quand elle se penche vers le sol.
Elle finit par poser un pied sur le ramasse-poussières et se contorsionnant, pousse avec le balai la poussière entre ses jambes à l'interieur.
Cela lui arrache des gémissements de douleur, l'inertie et la surface du sol irrégulière le bloquant souvent et meurtrissant son anus.
Elle recommence ensuite son labeur dans le couloir et jette le contenu de son ramasse-poussières dans la poubelle sur la paella non consommée.
Elle finit par se retirer ce pal de son anus, regardant le manche souillé. Elle se penche soumise, lape pour nettoyer son balai.
Elle grimace, bois et souillures de son cul ne sont pas meilleurs que latex et souillure. Après quelques minutes, le manche est bien propre,
humide mais clean. Tout a un prix se dit elle ! Je dois payer pour mon plaisir !
Il a tout de meme changé un peu de couleur sur toute la partie qui a profané son cul, gardant définitivement la trace de cette activité tres speciale.
Elle substitue le balai-raclette à son amant en bois. Ce nouvel instrument possède un manche en métal recouvré de plastique sur sa longueur
et d'un embout en caoutchouc, permettant de l'accrocher. Elle grimace se disant que cela risque de lui faire bien mal aussi.
Elle remplit un seau d'eau et se dit que son voisinage doit pouvoir profiter du spectacle, tout à l'heure c'etait sa cam.
Elle sort sur le balcon et se place bien en vue cul offert et s'enfonce doucement sur la partie en caoutchouc. Celle-ci se fait un passage
et une bonne partie du manche entre en elle à sa suite. Elle gémit et se dit au travail ! On n'a pas droit au plaisir maintenant !
Elle nettoie ainsi l'ensemble de ses pièces, la raclette lui procurant de nombreuses sensations et son appartement étant completement humide,
elle finit par se retrouver sur son balcon. Impossible de s'assoir avec son cul empalé, pas moyen de nettoyer le balcon sans tout tremper
et salir ensuite son appart.
Elle se résigné à attendre debout, comme une suppliciée empalée que son sol seche.
Une bonne heure plus tard, elle respire soulagée, ayant du mal à tenir sur ses jambes, ayant du faire des aller et retours
sur son balcon pour ne pas s'empaler de fatigue sur le manche. Elle lave à grandes eaux son balcon, raclant bien tout puis satisfaite
d'elle, se retire du manche.
Pour ne pas tout salir chez elle, elle se penche et sa langue nettoie ce nouveau manche, publiquement.
Elle grimace, le gout n'est toujours pas meilleur et pour comble du bonheur, beaucoup de sécrétions et un peu d'excrément s'est logé
dans la partie attache en caoutchouc du balai. Beurk ! C'est dégoutant pense la belle blonde aux seins toujours bien gonflés.
Cependant, pour sa fierté personnelle, elle se force à bien tout nettoyer, contrôlant ses hauts le coeur.
Elle finit par ranger tout son matériel, admirant la propreté de ses sols, tache qui lui a semblée bien agréable pour une fois.
Elle grimace par contre en voyant sa baie vitrée, dont elle etait si fière le matin et qui est maintenant salie de nombreuses traces,
au niveau de ses fesses, de son visage, et des traces de doigts un peu partout quand elle s'est appuyée dessus pour s'enculer.
Nulle n'est parfaite...
A suivre.
French_Master
Merci à S., la meilleure des esclaves, pour son soutien, ses remarques que j'essaie de prendre le plus possible en compte.
Cette histoire te sera toujours totalement dédiée !
Si vous avez aimé, n'hésitez pas à m'écrire :