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Review This Story || Author: Coulybaca

Nouvelle demeure, nouveaux voisins

Part 5


Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 5


Our First New Home


Coulybaca / Vulgus



  Le texte de Vulgus �tant particuli�rement long, j�ai pris la libert� de le couper en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture.




   Chapitre 5 : suite des aventures de nos h�ros



  Le lendemain nous nous sommes lev�s comme � l'ordinaire et on d�jeuna comme d'habitude en d�but de week-end d'un bol de c�r�ales.


Comme d'ordinaire Dave partit travailler et je me rappelais soudain que je n'avais pas fait mon lavage hebdomadaire la nuit derni�re.


Je paniquais, je cherchais d�sesp�r�ment quelque chose de sexy � enfiler.


J'�tais d�sesp�r�e en derni�re ressource j'empoignais ma petite robe noire favorite et ma trousse de couture, et aussi vite que je le pus je la raccourcissais la transformant rapidement en mini-robe.


Je l'essayais rapidement et me rendis imm�diatement compte que j'aurai pu �tre plus mesur�e, elle �tait extr�mement courte.


Je grimpais sur un tabouret et me regardais dans le miroir, il m'apparut tout de suite que ma chatoune restait couverte tant que je ne bougeais pas d'un poil.


Je jetais un oeil sur l'horloge.


Je n'avais pas le choix.


Je devais sortir.


Je ne pouvais attendre plus longtemps.



  J'empoignais mon sac et me ruais dehors, je tombais imm�diatement sur Anne.


Elle me souriait gentiment et me dit :


-         Quelle belle journ�e, je crois que tu appr�cieras de faire � nouveau le trajet en bus aujourd'hui !



  Je la regardais �gar�e, j'aurai voulu d�sesp�r�ment la supplier de se montrer raisonnable, mais je savais pertinemment que ce serait en vain.


Alors que je m'�loignais elle me jeta :


-         Il y a un peu de vent aujourd'hui, mais ne te tracasse pas pour si peu, je t'interdis, quelques soient les circonstances, de maintenir ta robe en place ou de chercher � l'emp�cher de se relever !� Passe une bonne journ�e ma petite ch�rie !



  Je m'�tais fig�e quelques secondes le temps de dig�rer ses derni�res consignes., elle me critiqua :


-         Tu ferai mieux de te magner le cul stupide salope !� Tu vas rester un bon moment en plein vent si tu rates ton bus...



  Je r�alisais qu'elle disait vrai et me pr�cipitais vers l'arr�t de bus au bout de la rue, j'y arrivais en m�me temps que l'autocar.


Je faisais la queue avec deux hommes, mais celui qui �tait post� en face de moi prit conscience de ma tenue,� galamment il me fit signe de le pr�c�der pour monter dans le bus.



  Je savais pertinemment qu'il allait reluquer mon cul lorsque je grimperais les marches d'acc�s au bus.


Je payais mon ticket et me dirigeais vers une place vide.


Je pensais que cela se passerait bien cette fois et m'assis sur de fa�on � ce que personne ne puisse s'asseoir � mes cot�s.


Mais l'homme qui avait mat� mon cul n'entendait pas se faire avoir aussi facilement. Il se posta � cot� de moi et me demanda de me glisser sur le si�ge, bien sur, je m'ex�cutais docilement.



  Je glissais de cot�, exposant largement ma chagatte.


Du fait des derni�res instructions d'Anne alors que je quittais la maison il m'�tait interdit de repousser ma jupe sur ma chatoune � l'air libre.


L'homme, un vieil homme un soixantenaire �carquillait les yeux � la vue de ma foufoune, puis il me sourit prenant mon manque de r�action pour une invitation �vidente � me mignoter, il pla�a alors sa main droite sur ma cuisse d�nud�e.



  Sa main escaladait ma cuisse, le bus venait de stopper, une paire d'hommes et une femme mont�rent.


Ils pay�rent leurs tickets et se dirig�rent vers le fond o� se trouvaient les fauteuils libres.


Le dernier homme � �tre mont� allait nous d�passer lorsqu'il vit ma foufoune expos�e � l'air libre, il s'arr�ta subitement.



  Il se figea et regarda fixement le vieillard qui malaxait ma chatoune avant d'ins�rer un doigt inquisiteur dans ma fentine, visiblement ma g�ne le r�jouissait, il sentait confus�ment que je lui permettais de telles privaut�s alors que je ne d�sirais pas une telle attention.



  Mais pour l'instant il se contentait de profiter de cette chance qui lui �choyait, il me molestait sous les yeux d'un assistant ravi d'une telle aubaine, il me caressa ainsi sans vergogne jusqu'� l'arr�t du bus, je me levais pour changer de bus, les deux hommes en firent autant et me suivirent de loin.



  Je me tenais � l'arr�t de bus, ma fine jupe flottant au vent exposant ma chatte et mon cul aux yeux des badauds enthousiastes.



  Mon bus arriva enfin, je dus rester debout, toutes les places assises �tant prises.


Je pensais que cela pouvait �tre un avantage.


J'�tais hors de port�e des hommes de l'autre bus.


J'en oubliais les gens assis � mes cot�s.



  J'�tais debout � cot� de deux jeunes gens dans les vingt ans qui braquaient des yeux concupiscents sur mes longues jambes.


L'homme qui avait malmen� ma chatoune dans le premier bus se serra dans mon dos et releva lentement ma jupe.


Tout en relevant ma jupe il me tourna me disposant le cul juste face aux deux jeunes gars assis � cot� de moi.


Lorsque ma croupe se retrouva enti�rement expos�e, il tendit la main et me p�trit fermement une fesse, de la jambe il me for�ait � �carter les cuisses en grand.



  Je n'osais pas regarder les deux jeunes gaillards assis � cot� de moi, mais je savais que je retenais leur attention.


Je sentis la diff�rence de toucher lorsqu'ils se mirent � explorer mes charmes culiers et ma chatoune, prenant chacun leur tour se montrant de plus en plus rudes.


Mais le pire ce fut quand j'entendis les deux femmes dans les fauteuils derri�re moi d�taillant tranquillement mes charmes, elles observaient attentivement ce qu'ils me faisaient.


Et encore n'�tait-ce pas vraiment le pire.


Le pire arriva lorsque je dus mordre mes l�vres pour me retenir de crier alors qu'un orgasme d'une intensit� rare me d�vastait.



  Nous sommes enfin arriv�s � mon arr�t, et gr�ce � la foule des gens se pressant les uns contre les autres, personne ne vit � quel point mes charmes �taient exhib�s avant que ma jupe ne retombe sur mes cuisses.



  Je me pr�cipitais jusqu'� mon bureau, ignorant ma jupe qui volait au gr� de ma course, j'avais une minute de retard.


J'�tais si d��ue que j'en aurai pleur�, ou bien �tait ce du fait de mon �preuve dans le bus ?



Apparemment la direction �tait nerveuse aujourd'hui, monsieur Jefferson vint dans mon bureau vers 10 heures, sortit sa bite de son cale�on et se fit tailler une pipe.


Le fait de sentir tous ces employ�s tourner autour de mon bureau devaient l'exciter car il �jacula rapidement.


Puis je suis rest�e seule jusque 15 heures, c'est � cette heure que je re�us un mail �manant des deux jeunes� g�rant la messagerie, m'ordonnant de les rejoindre.



  Je pris l'ascenseur pour descendre au sous-sol qui semblait le bon endroit pour abriter ces animaux. Je frappais � la porte de leur antre.


Un panneau s'affichait sur la porte portant la mention "seuls les employ�s de la messagerie sont autoris�s � franchir cette porte"


L�un des deux ouvrit la porte, je ne savais pas toujours pas lequel �tait Jimmy, et lequel Dan, mais cela importait peu en fait.



  Il me fit entrer et referma la porte dans mon dos, ils m'ordonn�rent alors de me foutre � poil.


J'enlevais imm�diatement ma petite robe noire.


Je la jetais sur une chaise proche et attendis que les abus commencent.


Ils sortirent tous deux des cam�ras digitales et me firent prendre des poses obsc�nes.



  -         Doux J�sus... Pensais-je r�sign�:


-         Ils vont tous disposer de photos de moi nue !J�sus



J'assumais toutes les poses que leurs pervers esprits me r�clamaient.


Celui qui avait trait� si rudement mes nibards hier jeta ses sous-v�tements au sol et enfourna sa bite dans ma bouche asservie.


Puis, alors que son copain continuait � prendre clich� sur clich� il me tira les mains derri�re la t�te et les lia avec une ceinture.


Puis il me repoussa sur le dos en appui sur mes bras il me fit mal, je criais dans mon baillon, ce qui les fit rire.


Il me retourna, je ne savais pas ce dont il s'�tait servi pour me torturer.


Le petit b�tard me maintint allong� sur le dos et empoigna une r�gle de bois et commen�a � me frapper sur les nichons.


Je hurlais et me d�battais pour lui �chapper, mais il me clouait bien au sol et il me frappa jusqu'� ce que mes nichons soient tout rouges, br�lants et couverts de bleus.



  Je pense que je m'�tais �vanouie, parce que la seule chose dont je me rappelle ensuite c'est qu'il me giflait violemment en plein visage alors qu'il me baisait brutalement en chatte.


Il en avait termin� avec ses brutaux pr�liminaires bien que j'�tais dans les vapes.


Peu apr�s que je soie revenue � moi il �jacula en moi tout en continuant � me gifler avec brutalit�.


Il me jeta au sol pour que je lui nettoie la bite de la langue, puis il reprit sa ceinture et me refila � son copain.



  Dieu merci son pote n'�tait pas aussi brutal que lui, il me disposa � plat dos sur le bureau, tourn�e vers lui et releva mes jambes exposant mon trou du cul.


Il me baisa en chatte pendant une bonne minute, puis il se retira et enfourna sa bite dans mon trou du cul.


Sa mentule n'�tait pas tr�s grosse, et mes nichons me faisaient si mal que je n'y pr�tais que peu d'attention.


Il jouit rapidement, et une fois que j'eus nettoy� sa bite il me rendit ma petite robe et m'e laissa retourner � mon bureau.



  Il �tait 15 heures trente lorsque je rentrais dans mon bureau, il me semblait pourtant que mon �preuve avait dur� bien plus longtemps que cela !


Je m'assis � mon bureau pendant une bonne minute, cherchant � r�cup�rer mon souffle, puis je repris mon travail.



  Je me pr�parais � quitter le bureau � quatre heures lorsque monsieur Jefferson s'approcha de moi.


Im me demanda ce qui s'�tait pass� dans la messagerie, et lorsque je le lui eus racont�, il remonta mon chemisier d�nudant mes miches qu'il observa attentivement, je m'attendais � ce qu'il me montre un peu de piti�. Je n'�tais vraiment qu'une petite salope stupide. Il sourit et empoigna mes miches et les serra jusqu'� ce je tombe � genoux.



  Je m'effor�ais de ne pas crier pour ne pas attirer l'attention, c'�tait exactement la seule chose � ne pas faire, il� baissa les yeux sur moi et secoua la t�te en signe de d�go�t en me disant :


- Rentre chez toi stupide salope !



  J'empoignais mon sac gagnais rapidement mon arr�t de bus. Je me tenais dans la foule attendant que mon bus arrive.


Au d�but la foule me prot�gea de la brise qui �tait plus forte dans les rues de la cit� qu'en banlieue.


Mais, alors que les gens se pr�cipitaient pour monter dans le bus, je me retrouvais moins prot�g�e du vent exposant mes charmes � un public ravi.



  Un homme s'approcha de moi et me dit :


-         Hello petite pute !


Bien que je ne vis pas son visage, je reconnus ses chaussures, c'�tait l'homme qui avait rendu ma promenade matinale si d�plaisante, � l'exception de l'orgasme qui m'avait foudroy� � la fin du voyage.



  Je soupirais :


-         Hello.� En retour et me figeais attendant que les abus reprennent.


J'esp�rais seulement qu'il attende le temps qu'on monte dans le bus afin que la ville enti�re ne soit pas t�moin de ma d�gradation.



  Il n'attendit pas se montra assez discret alors qu'il me caressait �nergiquement les fesses au travers de �ma jupe alors qu'on attendait le bus.


Je savais que les gens qui se trouvaient � nos cot�s �taient conscients qu'il� caressait rudement mes charmes, mais j'�tais incapable de me d�fendre.



  Enfin mon bus arriva j'attrapais la barre et grimpais dans le bus, mon tourmenteur ne se satisfaisait pas de cela, il empoigna mon bras et tira vers le fond du bus, il me poussa sur la banquette arri�re � cot� de trois passagers qui m'ignor�rent tout au moins au d�but.


Cependant ils remarqu�rent toutefois que je ne portais pas de culotte, lorsqu'il me� repoussa sur le si�ge exposant enti�rement ma chatoune.



  Il me maintint dans cette position pendant quelques minutes partageant la vue de ma toison dor�e avec mes voisins.


Mais il ne s'en satisfa pas longtemps. Je sentis qu'il descendait lentement la fermeture �clair dorsale de ma robe, je mordais mes l�vres en secouant la t�te, le suppliant des yeux de cesser son man�ge.



  Un des hommes � c�t� de moi toussa je levaisles yeux et le vit ouvrir de grands yeux �carquill�s.


Le plus proche tendit la main et la posa sur ma cuisse.


Comme je n'opposais aucune r�sistance il la glissa vers ma chatoune et joua avec ma foufoune alors qu'il regardait mon agresseur descendre lentement le devant de ma robe d�nudant lentement mes miches qui �taient rouge vif, enflamm�es.



  Choqu�s ils regardaient tous quatre mes chairs contusionn�es, puis l'homme sur lequel j'�tais assise m'attira contre son torse et referma la fermeture � l'instant m�me o� l'on arrivait � mon arr�t.



  Nous avons forc� notre passage dans la foule et avons attendu notre prochain bus.


Il n'y avait pas grand monde autour de nous, il m'�loigna des gens qui attendaient, j'attendais qu'il recommence � me tourmenter.


Il me demanda alors ce qui m'�tait arriv�, c'�tait surtout pour s'en amuser, pas vraiment pour me torturer et abuser de moi.


J'aurai pu tout lui dire, mais je ne le pouvais pas, cela aurait pu �tre consid�r� comme un appel � l'aide aussi ne pouvais-je rien lui raconter.



  Je le regardais des larmes pleins les yeux et lui confiais :


-         Je suis d�sol�e, j'aimerai pouvoir vous raconter mes ennuis, mais je ne le peux pas ! M�me si je le d�sire profond�ment, je ne le peux pas !



  Il �tait visible � son attitude qu'il crut que j'�tais trop effray�e pour pouvoir lui confier mes probl�mes.


Notre bus arriva et nous nous dirige�mes vers l'arr�t suivant.


Je descendis et me pressais de retourner chez moi, j'�tais consciente qu'il me suivait. Je ne pouvais qu'esp�rer que qu'il en sortirait quelque chose de bien. Peut-�tre bien qu'il pr�viendrait les flics et qu'il nous sauverait de l'emprise de nos voisins.



  Je me pr�cipitais dans notre chambre et me d�shabillais, je pris une douche rapide et chargea la machine � laver, je voulais aller acheter des tenues encore plus audacieuses d�s que possible, il ne me restait pas grand temps pour laver mes tenues provocantes � r�p�tition.



  Une fois la machine � laver mise en route, je pr�parais le souper, Dieu merci Dave rentra � la maison� en temps normal.


Il fit la grimace en voyant mes miches maltrait�es, mais je posais un doigt sur ses l�vres, et on �vita d'�voquer ce sujet.


Nous avons mang� calmement, on craignait d�j� notre future visite chez nos voisins.



  Lorsque nous e�mes termin� notre repas, je nettoyais la cuisine et Dave sortit la b�che qui avait servi la nuit derni�re et on la replia dans la salle de s�jour.



  J'�tais d�j� nue, il se d�shabilla rapidement et nous avons regard� dehors.


Ne voyant personne se promener, nous nous sommes dirig�s aussi rapidement que possible sans pour autant donner l'impression que nous courions, vers la porte de nos voisins et nous avons sonn�.


Apr�s l'habituelle attente ils nous firent entrer.



  Ils nous tendirent notre verre de drogue que l'on vida rapidement, encore un et l'effet serait permanent.


Nous n'�tions pas seuls ce soir, une demi-douzaine d'hommes nous attendaient, je ne les reconnus pas, mais cela ne voulait rien dire.


J'avais �t� bais�e par plus de 80 hommes depuis dimanche et ne pouvais pas tous les reconna�tre !



  Nous avons du nous agenouiller de chaque cot� de la table base du salon puis de nous pencher dessus.


Ce faisant nos t�tes se touchaient, nous nous regardions yeux dans les yeux, partageant nos craintes et nos tourments, notre d�gradation.



  Nous ne devions pas bouger, deux hommes se positionn�rent dans nos dos, nous �cart�rent les fesses et nous encul�rent vigoureusement.


Tandis qu'ils nous enculaient, je dus raconter, en d�tails, les �v�nements de la journ�e.


Ils �taient particuli�rement impatients de conna�tre la raison de ces marques de maltraitance sur mes nichons.



  Je commen�ais par raconter mon �tat de panique lorsque j'avais r�alis� que je n'avais rien d'appropri� � enfiler. Je d�cris alors ma pr�cipitation pour me pr�parer une tenue provocante et mon erreur dans la d�coupe du bas de ma robe, je l'avais coup�e trop courte de 5 centim�tres.


Je leur parlais de l'intervention d'Anne me sugg�rant de prendre le bus ce matin, je leur narrais alors les agissements de ce salopard qui m'avait suivi dans le bus.


J'abordais ensuite les �v�nements survenus dans le second bus comment j'avais �t� exhib�e sous les yeux de deux jeunes gars qui m'avaient pelot�e pendant le reste du trajet. Cependant je taisais le puissant orgasme qui m'avait terrass� sous leurs caresses habiles.



  Puis je racontais ma journ�e de travail, d�taillant mon s�jour dans la salle de messagerie. Puis je revenais � mon retour en bus jusqu'� �voquer le dilemme du � ma situation.


Le temps que je finisse de raconter es aventures, mon mari et moi avions d�j� �t�s encul�s par trois hommes.


Ils se repos�rent alors en regardant la vid�o tourn�e par Anne la nuit derni�re.


Ils la lui firent rembobiner voulant revoir la s�quence pendant laquelle Roy puis Dave m'avaient arros� de pisse.


Ils regard�rent ce passage � plusieurs reprises avant de retrouver leur vigueur les trois qui m'avaient encul�e faisaient maintenant la queue pour sodomiser mon mari, alors que les trois qui l'avaient encul� se pr�paraient � me casser le cul � leur tour.


Cela prit plus longtemps cette fois, bien plus longtemps !



  Lorsque les six invit�s en eurent finis avec nous,� Roy nous disposa cote sur la table et entreprit de nous enculer.


Il me bourrait de trois quatre cous de bite, puis enculait Dave.


Il alla ainsi entre nous deux � plusieurs reprises.



  Puis il eut une meilleure id�e, il attira l'agenouilloir et nous disposa de part et d'autre face � face.


Puis il entreprit d'enculer l'un de nous pendant une minute puis il contournait l'agenouilloir et proc�dait de m�me avec l'autre.


Il faisait des commentaires graveleux � l'usage des spectateurs, il disait que cela aurait �t� encore meilleur si l'on avait �t� li� sur une roue qu'il aurait fait tourner toutes les minutes ce qui lui aurait �vit� de se d�placer. Finalement il jouit dans mes intestins et se fit nettoyer la bite par Dave.


Puis je dus nettoyer le trou du cul de Dave avec ma langue et Dave fit de m�me avec mon anus.



  Anne ne s'occupa de nous avant le d�part de leurs 6 invit�s.


Elle aimait regarder, et elle aimait user et abuser de nos charmes, mais apparemment cela la g�nait de se d�nuder devant ces six hommes cr�pus.


Cela me surprenait apr�s sa fa�on de se comporter de ces derniers jours, je suppose que tout simplement elle n'en avait pas envie � cet instant.



  Lorsque Les six hommes partirent, Anne se d�v�tit et Dave lui bouffa le gazon tandis que je su�ais et mignotais ses t�tons.



  Enfin ils nous permirent de retourner chez nous.



  Tandis que nous traversions l'arri�re cour, je murmurais � Dave qu'ils nous entendaient lorsqu'on parlait dans la maison et que peut-�tre m�me qu'ils nous voyaient. J'�tais certain qu'Anne m'avait fait prendre le bus ce matin m�me parce qu'elle avait constat� � quel point ma robe �tait courte.



  Dave hocha la t�te affirmativement, il ne semblait pas outre mesure surpris.



  Nous sommes rentr�s chez nous et je criais en voyant quelqu'un assis dans notre salon obscur.


Dave alluma la lumi�re, et je vis qu'il s'agissait de monsieur Taylor.



  -         Que faites-vous ici ?� Criais-je


Il me sourit calmement et me coupa :


-         Ferme la salope...� Je t'ai rat�e au boulot... �J'ai du m'absenter pour honorer des rendez-vous hors de la ville... J'ai d�cid� que j'arr�terai chez toi en rentrant pour me faire ton jeune cul !



  Il me parlait � moi, mais c'est Dave qu'il regardait.


Il comprit que Dave, comme il avait suspect�, �tait incapable de s'opposer � ce qu'il voudrait faire de moi.


Il se leva et m'ordonna de l'aider � se d�shabiller.



  Je soupirais r�sign�e et m'approchais de lui commen�ant alors � le d�v�tir. Il avait pas mal bu, il puait l'alcool.



  Lorsqu'il fut nu il enjoignit � mon mari de prendre ses v�tements et m'ordonna de l'emmener dans notre chambre.



Il s'�tendit sur le grand lit conjugal et m'intima de lui sucer la bite pendant quelques minutes.


Il semblait prendre �norm�ment de plaisir � se faire tailler une pipe sous les yeux de mon mari sachant que nous �tions oblig�s de participer contre notre volont�.



  Je le su�ais comme j'avais maintenant appris � le faire, avec une certaine comp�tence sinon de l�enthousiasme.


Apr�s quelques minutes il repoussa ma bouche et m'attira sur le lit. Il s'allongea sur moi et ordonna � Dave de guider son chibre dans ma chatoune accueillante, et il entreprit de me marteler profond�ment sur un rythme soutenu.



  Cela ne dura pas tr�s longtemps. Il jouit rapidement, projetant une d�charge cr�meuse de plus dans mon ut�rus profan�.


Puis il s'�croula sur moi et y resta quelques minutes sa queue se ramollit en moi.



  Il se retira finalement et ordonna � Dave de lui sucer la bite pour la nettoyer. Tandis qu'il se rhabillait, il me demanda ce qui �tait arriv� � mes nibards, je lui confiais mon �preuve.


Il rit et me dit :


-         Bordel ces jeunes ont plus d'imagination que je le pensais !� Ils pourraient bien avoir de l'avenir dans la compagnie...



  Je le suivais jusqu'� la porte� et le regardais partir.


Puis, je me rappelais mes v�tements, je les sortis de la machine � laver pour les mettre dans l'essoreuse, je les fis s�cher pendant un quart d'heure, je repris alors une douche rapide.


Enfin, je pendais mes v�tements sur le s�choir et allais au lit.



  Allong� sur le dos Dave avait les yeux riv�s au plafond, il semblait plong� dans des pens�es moroses.


J'�teignais la lampe et me pelotonnais contre lui, je lui murmurais � l'oreille :


-         Ch�ri, je ne pourrai pas supporter tout ceci si tu n'�tais pas avec moi !


-         Je sais bien Donna...


Mais sa voix semblait si r�sign�e, si lointaine que je me d�solais de le voir aussi atteint.



  6 mai 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus





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