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Review This Story || Author: Coulybaca

J\'appartiens � Snake d�sormais

Chapter 1


Brian est appel� en Irak Ch 1


Coulybaca /� Vulgus



Le texte de Vulgus �tant tr�s long, je me suis permis de le diviser en plusieurs parties afin d�en faciliter la lecture



  Premier chapitre : drogu�e, viol�e, film�e.



  Pour la premi�re fois depuis le dpart de Brian pour l'Irak,� je m'accordais une petite sortie.


Son unit� de la garde nationale avait �t�e appel�e pour une p�riode de service actif, et, avant m�me que nous r�alisions, il �tait partit en Irak.


Cela faisait trois maintenant mois qu'il �tait parti et je crevais d'ennui.


Jusqu'� ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite � la maison pour regarder la t�l� et �crire � mon mari.


Je lui �crivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de r�ponse.



  Je savais que ses conditions de vie en Irak �taient tr�s primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas m�res.


Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi.


Cela faisait un plus d'un an que nous �tions mari�s et je savais qu'il m'aimait mais je m'inqui�tais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'�tre rassur�e.


Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il �tait en bonne forme, s'il avait �t� bless�.....



  Lorsqu'une amie me parla de la petite f�te qu'elle organisait chez elle ce vendredi soir, je n'avais pas envie d'y aller parce que Brian me manquait, depuis deux semaines je n'avais aucune nouvelle de lui.


J'y suis all�e parce que j'�tais fatigu�e de rester assise seule devant la t�l� dans mon petit appartement et que j'�tais inqui�te.


Je voulais �couter de la musique, parler avec des gens heureux, danser et boire quelques verres.



  Je n'avais aucune id�e de la fa�on dont allait se terminer cette sortie.


Mon amie Tanya n'�tait pas une � t�te en l'air �, je n'avais aucune raison de craindre qu'il s�agisse d'autre chose que d'une petite f�te entre amis, c'�tait son anniversaire et deux de ses amis avaient organis� cette petite f�te en son honneur, ils avaient r�serv� une piscine dans leur complexe d'habitations.



  J'avais l'intention de boire quelques verres, de me d�tendre, de danser un peu, puis de rentrer chez moi retrouver le confort de mon grand lit conjugal.


Rien ne m'inqui�tait, j'�tais une jeune femme de 21 ans mari�e et ind�pendante et j'�tais capable de prendre soin de moi.


Du moins je le pensais � ce moment ! .....



  Le temps �tait ensoleill�, il faisait tr�s chaud, je faisais quelques danses et bus quelques verres, puis j'enfilais mon bikini et piquais une t�te dans la piscine pour me rafra�chir.


Quelques gars me rejoignirent, j'�tais tr�s flatt�e, je flirtais avec quelques-uns uns mais je leur signifiais clairement que cela n'irait pas plus loin, et ils ne tard�rent pas � m'abandonner, j'�tais un peu d��ue.



  Lorsque vous sortez d'une ann�e tr�s satisfaisante de vie amoureuse pour vous retrouver priv�e de sexe pendant trois longs mois, cela n'est ni facile � endurer ni enthousiasmant.



  Lorsque la nuit tomba, le temps fra�chit un peu, je refaisais quelques danses. J'�tais rest�e en bikini, et j'�tais loin d'�tre la seule, de nombreuses filles dansaient en bikini.


Je passais pas mal de temps avec un des invit�s, il �tait tr�s rus� et amusant et prenait courtoisement soin de moi. Lorsque nous ne dansions pas, nous nous asseyions sur le bord de la piscine, de l'eau jusqu'au cou, o� � petite table pour siroter quelques canettes de bi�re.



  Je lui avais signifi� clairement que je partirai � 22 heures, et, bien que d��u, il n'avait pas �lev� d'objections.


Il �tait l�g�rement plus vieux que moi, il devait approcher la trentaine et se montrait fort mature.


Il savait qu'il ne me sauterait pas ce soir, et nous j'aimais sa compagnie amicale.


De plus il me distrayait vraiment de ma vie ennuyeuse, et de toute fa�on les autres gars m'avaient laiss� totalement choir.



  Vers 21 heures trente il me proposa de boire une derni�re bi�re, il quitta alors la piscine et partit me chercher une canette et nous avons pris place sur deux transats en retrait de la piscine.


Le volume musical avait baiss� vers les 21 heures trente et nous pouvions discuter plus facilement, je ne cachais pas que je m'�tais bien amus�e.



  Je sirotais ma derni�re bi�re et jetais �il un oeil sur ma montre, d�cid�e � partir d�s 22 heures.


Ce n'est pourtant pas ce qui s'est pass�.


Je ne me souviens pas de ce qui est arriv�.


J'�tais assise discourant avec mon interlocuteur, prenant du bon temps.



  La derni�re chose dont je me rappelle c'est que je me suis r�veill�e samedi matin dans un lit allong�e au cot� d'un mec.


Je ne sais pas ce qui s'est pass�.


Je savais que j'�tais loin d'�tre ivre, je devinais qu'on m'avait drogu�e.


Je jetais un oeil sur le type allong� le long de mon corps et je le reconnus, c'�tait le mec avec qui j'avais pass� la plus grande partie de la soir�e, mais je ne parvenais pas � me rappeler son nom.



  J'�tais nue, j'avais des traces de foutre sur mes nichons, mon buste et mon ventre, mes cuisses �taient recouvertes de semence s�ch�e.


Je me pris la t�te entre les mains et je r�alisais que j'avais tout autant de foutre �tal� sur le visage.



  Je me levais lentement, j'avais une bonne gueule de bois, je cherchais des yeux la salle de bain.


Lorsque je bougeais, je r�alisais que j'�tais toute courbatur�e, mon corps �tait s�v�rement meurtri, mon vagin me faisait mal, mon anus me faisait mal, et j'avais la gorge en feu.


Je compris que j'avais �t� viol�e la nuit pr�c�dente et pas par un seul homme.



  Je trouvais la selle d'e bain et m'y rendais, je me regardais fixement dans un miroir. Mon visage �tait couvert de taches de foutre sec, mon corps et mes cheveux en �tait recouverts.



  Je sentis soudain mon estomac se soulever et je me pr�cipitais dans les toilettes et vomis tripes et boyaux pendant quelques longues minutes.


Lorsque je cessais, l'estomac vide, je jaillis des toilettes et me lavais la figure et les mains, c'est alors que je le vis, il se tenait dans l'entr�e de la salle de bain et me souriait de toutes ses dents.



  Avant que ne dise quoi que ce soit, il intervint :


-         "Quel g�chis! ..... Je t'ai entendu vomir, j'�tais certain que tu d�gueulerais apr�s avoir aval� autant de foutre! ..... Tu vas pouvoir recommencer � me sucer maintenant que tu as l'estomac vide! ....."




   Je retrouvais ma voix et bien que difficilement je hurlais :


-         "Tu n'es qu'un sale violeur! ...." Tu ne t'en sortiras pas comme �a! ..... D�s que je serai sortie j'appelle les flics... je te hais! ...."



  Il se contenta de me sourire et me fixa comme si je lui sortais une bonne plaisanterie.



  Je terminais de me nettoyer et empoignais un drap de bain pour me s�cher., puis je retournais dans la chambre et y cherchais mes v�tements.


-         Il me suivit et, lorsque je lui demandais o� e trouvaient mes v�tements il me r�torqua :


-         "Ton bikini? ...� Dans le salon! ....."



  Je frappais du pied la porte et me ruais dans le salon, quatre hommes assis autour d'une table me sourirent de toutes leurs dents. On aurait dut qu'ils venaient tout juste de se lever.



  Je r�alisais qu'ils devaient tous avoir� us�s de mes charmes cette nuit, je ne me rappelais de rien et me sentais tr�s embarrass�e de me retrouver nue sous leurs yeux. Je vis mon bikini gisant au sol, je� m'en saisis et l'enfilais rapidement.


Mon sac � main �tait pos� sur la table je l'empoignais, mais je ne trouvais pas le reste de mes v�tements, ils �taient certainement encore le long de la piscine.



  Je me dirigeais vers la porte, mais avant que je ne l'ouvre il me dit :


-         "Ne pars pas... Nous avons quelque chose � te montrer! ....."



  -         "Non... je m'en fous! ... Je m'en vais! ....." hurlais-je en ouvrant la porte.


Je ne fis pas assez vite. L'un des quatre hommes qui avait visiblement dormi dans la salle de s�jour se leva et me bloqua le passage.



  Je voulus le griffer, j'�tais assez furieuse pour m'en prendre � lui. Je hurlais de se retirer de mon chemin, il se contenta de me sourire sans bouger d'un pouce.


Cela ne fit qu'augmenter ma fureur.


Je me ruais sur lui cherchant � le repousser, voyant le peu d'impact de mon action je me sentis folle de rage.



  Il �tait fatigu� de me voir agir ainsi, il me saisit par une m�che de cheveux et me souleva dans les airs.


Je jetais mon sac et posais mes mains sur sa taille cherchant � me lib�rer de sa douloureuse emprise


Il ignora mes efforts et me tra�na facilement sur le canap� et me projeta brutalement entre les deux hommes qui �taient assis dessus.



  Il� me dit alors :


-         "Tom vient de te dire avec une extr�me politesse de rester pour regarder quelque chose qu'il d�sire te montrer! .....� J'esp�re bien que tu ailles accepter de regarder ce qu�il veut te faire voir! ......� C'est d'une extr�me importance pour toi! ....."



  Je me redressais et frottais mon crane douloureux, il en tomba une averse de pellicules de sperme s�ch� qui me couvrit les �paules. Je comprenais peu � peu ce qui m'�tait arriv� et ce qui allait s'ensuivre.


Je me for�ais � prendre une profonde inspiration et leur demandais ce que je devais voir d�important.



  L'un d�eux se saisit d'une t�l�commande et alluma la t�l�.


Je criais de d�pit lorsqu'apparut l'image et que je me vis passer des bras d'un homme � un autre dans ce salon.


J'�tais enti�rement nue et je souriais, on aurait cru que je n'avais jamais autant joui de la vie et de ses plaisirs! .....


Leurs mains courraient sur tout mon corps et je semblais les encourager de tout mon c�ur.



  J'�ructais sourdement :


-         "Vous n'�tes que de sales b�tards! ....."


Et j'essayais de me relever pour fuir cette maudite chambre.


J'�tais � peine debout que l'homme assit � mon cot� gauche me rassit de force sur le sofa.


L'un d'eux m'informa alors :


-         "Le film est loin d'�tre fini...�� Tu as encore beaucoup de sc�nes � visionner! .....� Tu vas aimer......� C'est tr�s �ducatif, voire m�me p�dagogique! ....."



  Je me d�battais et grogna :


-         "Tout �a montre que vous m'avez l�chement viol�e, inf�mes salopards! ...."



  Tom intervint alors :


-         "Eh non ma petite ch�rie, tu n'as pas regard� avec assez d'attention! ....� Les images dont nous disposons, prouvent que tu participais volontairement � cette orgie! ......� Regarde-toi bien, tes yeux sont grands ouverts, tu souris et participes activement � la baise, tu tiens bien sur tes jambes! .... �Personne, apr�s avoir regard� ce film ne pensera que tu te faisais violer! .... Regarde bien! ...."



  Je n'avais pas le choix, ils ne me laisseraient pas partir tant que je n'aurai pas visionn� la cassette! .....



  Je me calais dans le sofa et je regardais les hommes qui ne me pelotaient pas se d�shabiller.


Lorsqu'ils furent nus, ils me prirent en main et ce fut au tour des autres de se d�v�tir. Et je repassais de nouveau de mains en mains.


J'�tais tr�s humili�e de me voir sur l��cran, d'autant plus que j'�tais assise au milieu de cinq spectateurs attentifs les yeux riv�s sur l'�cran.



  Ils finirent par se lasser de me peloter tout � tour,� et trois d'entre eux s'assirent sur le canap� un quatri�me me demanda d'une voix douce de m'agenouiller entre ses cuisses.


Il n'y avait pas le moindre signe de contrainte.


Quand bien m�me je savais que j'�tais drogu�e, je n'en voyais pas plus de signe.



  Ma g�ne s'accrut encore lorsque je me vis prendre la bite d'un� premier homme dans ma bouche et le sucer avidement.


J'avais maintenant r�alis� que tous ces hommes m'avaient poss�d�! ....


Cela ne facilitait pas le fait de s'asseoir parmi eux pour regarder le film qui se d�roulait sur l'�cran t�l�.



  Tandis que su�ais ce premier gaillard, les autres s'agenouill�rent autour de moi, face � la cam�ra de Tom et ils se mirent � me peloter lascivement les nichons, l'un d'eux glissa sa main entre mes cuisses me branlant �prement.


J'observais mes r�actions alors qu'il me labourait la fente de ses doigts, mon visage affichait une lubrique satisfaction.



  Je sentis alors de grosses larmes couler sur mes joues, j'en �tais furieuse, je ne voulais pas que ces b�tards se rendent compte de ma panique.


J'essuyais mes yeux et continuais � regarder l'�cran. Mon chevaucheur de bouche ne tarda pas � �jaculer, je semblais savourer avec un �norme plaisir sa semence que j'avalais voracement. Je n'avais jamais accord� une telle cajolerie � mon mari! .....



  L'homme qui me poss�dait se recula et un autre prit sa place, ils me regardaient tous me repositionner pour lui faciliter l'acc�s � ma bouche Tom pr�cisa alors :


-         "Au cas o� tu te le demanderais Rory �tait le second que tu su�ais,...� Tu m'avais d�j� fait une pipe le temps que mes copains arrivent! ...� Mes amis avec qui je partage tout! ...."



  Horrifi�e, je me vis sucer les quatre bites de ces salauds, Tom s'approchait de temps � autre et prenait des gros plans de mon visage souriant alors que j'avalais leur foutre tout � tour.



  Lorsque j'eus suc� les� le quatri�me salaud, je fus dispos�e sur le dos et le premier que j'avais suc� s'installa entre mes cuisses et engouffra facilement sa bite dans ma petite chatte d�tremp�e.


Je vis que mes grandes l�vres chatte �taient rouge vif et gonfl�es, comme si l'on m'avait d�j� poss�d�e.



  Je braquais mes yeux sur Tom qui me pr�cisa :


-         "Ouais, je t'avais d�j� bais�e auparavant! ...."



  Ils me bais�rent tous l'un apr�s l'autre, une fois qu'ils avaient �jacul� dans ma foufounette, ils revenaient vers mon visage et je leur nettoyais complaisamment la bite avec la bouche.



  Je sentis soudain mon estomac se soulever, la main sur la bouche je fon�ais dans la salle de bains.


Il �tait� temps je d�gueulais de suite.


Mon estomac �tait quasiment vide et c'�tait surtout des naus�es s�ches.



  J�attendais que mon estomac se calme, puis je me lavais le visage et je retournais � reculons dans la salle de s�jour.


Je repris ma place entre les deux hommes sur le sofa et le DVD, qu'ils avaient mis sur pause, repartit m'imposant des images de mon gang bang.



  Une fois qu'ils eurent tous �jacul� en moi, les fellations recommenc�rent. Cette fois la seconde pipe de Tom �tait film�e et j'�tais oblig�e de me regarder en train de le sucer habilement.


Mais cette fois ils ne jouirent pas dans ma bouche, une fois que la bite de Tom fut assez dure, il me retourna sur le prie-dieu et entreprit de me graisser le trou du cul avec de la vaseline.



  Je le regardais me lubrifier et m'�vaser l'anus pendant quelques minutes, puis il me tendit le tube de vaseline et je l'utilisais pour graisser sa grosse bite avec un empressement apparent.



  Il me regardait dans les yeux et sourit de toutes ses dents alors que j'�talais la pommade grasse sur sa bite


Il me tapota doucement la t�te me f�licitant :


-         "T'es vraiment une bonne fille! ....."


Puis la cam�ra entreprit des allers retours entre mon visage et mon trou du cul alors qu'il enfouissait sa grosse bite dans mon petit oeillet qui n'avait jamais �t� � telle f�te! .......



  Je le regardais faire avec incr�dulit� de le voir p�n�trer aussi ais�ment alors que je lui jetais un regard passionn�.


Tom dit alors :


-         "Je ne pensais que cueillir ton pucelage anal serait aussi facile ma ch�rie, c'�tait bien la premi�re fois que tu te faisais enculer, n'est ce pas ? ......"



  Je hochais la t�te abasourdie de voir la facilit� avec laquelle il s'enfouissait jusqu'aux burnes dans mon trou du cul asservi.



  Ils avaient arr�t� le son, mais maintenant ils le rallumaient et je m'entendis grogner de plaisir tout en lui demandant de m'enculer avec encore plus de vigueur! ......


Tandis qu'il me cassait le cul, les autres se succ�daient dans ma bouche, visiblement je devais leur rendre leur vigueur pour qu'ils puissent se satisfaire � leur tour dans mon trou du cul.



  Ils s'�taient d�j� vid�s les couilles � deux reprises et certains me labour�rent pendant tr�s longtemps avant de prendre leur plaisir dans mon anus distendu, mais pas tous, une paire d'entre eux se vid�rent les couilles aussi rapidement que la premi�re fois.


Cependant cette s�ance d'enculade dura assez longtemps, je les suppliais tous, chacun � leur tour de m'enculer plus vigoureusement.


Lorsque l'un �jaculait dans mes entrailles, je prenais sa bite en bouche pour la nettoyer de toutes traces d�excr�ment avec un empressement apparent alors que je demandais au suivant de le remplacer dans mon trou du cul.



  Apr�s cela ils s'�taient tous assis et s'�taient d�contract�, de temps en temps l'un d'entre eux m'appelait pour se faire sucer � nouveau.


Lorsque je ne les su�ais pas, j'ob�issais � leurs ordres salaces, posant dans des positions obsc�nes, ou me branlant vigoureusement, recueillant le foutre qui s'�coulait de ma chatte et de mon anus pour me l'�taler sur le visage, mes cheveux et ma poitrine � leur grande joie.


C'est la chose la plus d�go�tante que j'ai jamais fait, et tout cela avec l'air d'adorer ce que je faisais.



  Je r�alisais que sans aucun doute je ne pourrai pas me plaindre � la police, je ne sais pas quelle drogue ils avaient utilis� pour me sid�rer, mais les effets �taient tels que n'importe quel flic, n'importe quel juge, n'importe que� jury serait persuad� que je n'�tais qu'une fieff�e salope qui profitait de ce que son mari �tait r�quisitionn� en Irak pour se faire baiser � couilles rabattues et ce de fa�on obsc�ne.



  Je regardais fixement Tom et� pleurnicha :


-         "C'est d'accord...� Vous avez gagn�! .....� Je ne dirai rien aux flics.....� Je sais trop bien ce qui arriverait si j'essayais de convaincre qui que ce soit de la v�rit�! ....."



  Tom sourit � pleines dents et me r�pondit :


-         "Ne crois pas �a ma petite Kim ch�rie..... On n'en a pas fini avec toi! ....� Bien sur on a tous savour� cette extraordinaire s�ance de baise d'hier soir..... T'es une formidable suceuse de bites et ta chatte est divinement �troite, et ton trou du cul encore plus savoureux! .....� Nous n'allons pas te laisser partir comme �a! .....� Peut �tre dans une semaine ou deux, mais pour l'instant ton cul nous appartient! ......"



  Je tentais de me relever, ils me rejet�rent sur le canap�.


Je pris ma t�te entre mes mains tout en me lamentant :


-         "Non, je ne peux pas, je ne veux pas! ......� Je ne peux pas refaire ces choses que vous avez obtenues de moi en me droguant la nuit derni�re! .....� Je n'ai jamais fait de telles choses avec mon mari! ..... Je ne veux plus les faire! ...."



  Tom �clata de rire et intervint brutalement :


-         "Oh que si tu vas les faire ma ch�rie, parce que sinon ton mari recevra une copie du DVD qu'on vient de visionner, nous verrons bien alors s'il tol�rera que tu fasses toutes ces choses avec des �trangers mais pas avec lui! ...... Je suppose ton �mancipation l'�merveillera! ....."



  Puis il se saisit de mon agenda qui se trouvait dans mon sac � main et ajouta :


-         "Je suppose qu'il y a beaucoup d'autres gens qui seraient ravis de savoir � quel point tu n'es qu'une salope! ....."


Il parcourait l'agenda s'arr�tant de temps � autre me demandant qu'elles �taient mes relations avec diff�rentes personnes dont j'avais not� les adresses dans mon agenda, je ne r�pondais pas, mais l'id�e que ces gens puissent visionner le DVD relatant mes exploits �tait encore plus horrible que l'id�e de devoir recommencer toutes ces choses avec ces salauds.



  Je m'effondrais sur le canap� et couvrit ma face entre mes mains secou�e par une violente crise de larmes.


J'�tais totalement incapable de r�fl�chir,� ils me laiss�rent pleurer tout mon saoul..


Lorsque mes sanglots se calm�rent, je compris que j�allais devoir faire tout ce qu'ils exigeraient de moi, aussi longtemps qu'ils le voudraient.....� J'�tais totalement en leur pouvoir.


Je savais pertinemment que j'avais �t� une participante involontaire dans les jeux sexuels qu'ils avaient film�s cette nuit.


Et bien que le sachant, on ne d�c�le aucun signe de r�volte de ma part dans cet enregistrement, bien au contraire je semblais y participer avec enthousiasme, impatience. Ils n'avaient m�me pas � m'ordonner de me livrer � ces actes pervers, il leur suffisait de me guider, de sugg�rer certaines pratiques pour que je m'y efforce avec complaisance.



  J'essayais de me dire au fond de moi-m�me que cela importait peu maintenant, ils m'avaient fait faire tout ce qu'ils voulaient dor�navant je ne ferai que r�p�ter ces actes obsc�nes.


Je savais cependant que c'�tait faux, pour une bonne raison, je serai consciente d�sormais attentive aux pratiques et actes sulfureux auxquels ils allaient soumettre mon corps, et j'�tais bien certaine qu'ils me r�servaient bien d'autres humiliations mordantes.



  Tom se pla�a devant moi et me dit :


-         "Nous avons pris du bon temps cette nuit ch�rie, tu t'es comport�e comme une sensationnelle petite pute......� Personnellement je r�fl�chis � ce que je pourrais bien te faire faire maintenant que tu sais ce va t'arriver et que tu d�testeras chaque minute de ton futur calvaire..... Cela va �tre bien mieux maintenant que tu resteras lucide! .... Pourquoi ne commencerais-tu pas par te relever et enlever ce foutu bikini! ......"



  Il se baissa et me saisit la main pour m'aider � me� relever, je r�alisais qu'il �tait inutile de lutter, non seulement ils m'avaient tous vu nues, mais de plus ils avaient tous us�s et abus�s de mes charmes! .... Je n'en avais pas le moindre souvenir, aussi loin que je pouvais r�fl�chir tout� ce qu'ils avaient l'intention de me faire subir serait nouveau dans mon esprit sinon dans mon corps.



  Je jetais un oeil sur Tom, qui se tenait debout mon agenda en main, mon cerveau tournait � vide, je ne voyais pas comment me sortir de ce g�chis.


Je vis que l'un d'entre eux avait recommenc� � me filmer, je vis alors les larges sourires qu'ils affichaient tous � l'id�e de prendre leur plaisir avec moi alors que je serai consciente et qu'ils savaient tous pertinemment que je ha�rais ce que j'allais endurer.


J'�tais terrifi�e, folle d'humiliation et ils s'en rendaient parfaitement compte.



  Je baissais les yeux sur le tapis, tendais mon bras dans mon dos et et d�grafais mon soutien-gorge de bikini.


Il tomba aussit�t au sol offrant mes nichons fermes � leur convoitise.


Ils glouss�rent, je suppose que me voir humili�e les amusait.


Il �tait �vident qu'ils se r�jouissaient d�j� de me d�grader tout autant qu'ils aimaient baiser. Je devais assumer le fait qu'ils aiment sauter des filles et qu'ils n'�taient pas pr�ts de me laisser tomber.



  Je passais les pouces sous la ceinture �lastiqu�e de mon maillot puis je le roulais sur mes cuisses avant de le choir au sol.


Je me trouvais maintenant enti�rement nue, enti�rement livr�e � leurs app�tits lubriques. Je luttais contre l'envie de cacher mes charmes derri�re mes mains, cela serait hypocrite et inutile, ils avaient tous amplement go�t�s � mes charmes, cela ne ferait que les amuser un peu plus.



  Tom me f�licita :


-         "Ca c'est une gentille fille...� Et maintenant trempe-toi le cul dans la baignoire et prends une bonne douche! ..... Tu pues! ....."



  Comme je sortais du salon, me mordant les l�vres pour� protester que ne "puais" pas avant qu'ils me violent, Tom se tourna vers ses copains, la cam�ra toujours en main et sugg�ra :


-         "Pourquoi ne l'accompagnerais-tu pas John? ....� Tu vas la filmer sous la douche! ......"



  John me suivit cam�ra en main, j'�tais cruellement consciente que la cam�ra enregistrait tous mes faits et gestes.


Je me glissais sous a douche et utilisai le savon de Tom et son shampoing pour me d�barrasser des t�ches de foutre s�ch� qui parsemaient mon corps, mon visage, mon entrecuisse, mon buste et mes cheveux.



  John maintenait ouvert le rideau de douche pour me regarder et me filmer tout � son aise.


Je ne d�sirais absolument pas retourner dans le salon, pour leur servir de jouet sexuel, mais je me crispas de plus sous l��il de la cam�ra qui enregistrait chaque d�tail de ma toilette intime.


Il alla jusqu'� me filmer assise sur les toilettes alors que je faisais pipi, m'ordonnant de bien �carter les cuisses qu'il puisse capturer les images de mon urine jaillissant de ma chatte.


Je frissonnais de r�vulsion � chaque nouvelle humiliante exp�rience qu'on m'imposait sous l��il de la cam�ra.



  Avant de retourner dans le salon, je me brossais les dentures avec mon doigt et de la p�te � dentifrice de Tom.


Je voulais effacer le go�t de sperme que j'avais en bouche. J'imaginais d�j� que je se serai pas longue � retrouver ces ha�ssables effluves dans ma bouche.



  Lorsque je revins dans le salon, Tom m'appela � lui,� et me for�a � me baisser.


Il me flaira longuement sacarstiquement comme s'il v�rifiait si j'�tais assez propre pour qu'il me touche.


Il sourit alors et dit :


-         "C'est bien mieux! .....� Et maintenant mes amis et moi-m�me avons programm� ta journ�e pendant que tu te nettoyais.....� Tu es assez fine pour savoir que les choses qui nous amusent ne sauront pas aussi amusantes pour toi que pour nous! .....� Et pourtant tu sais que tu n'as pas le choix, n'est ce pas ? ......"



  Je hochais la t�te en signe d'approbation. C'�tait vrai, peu importe ce qu'ils allaient exiger, ils en connaissaient assez sur moi pour ruiner ma vie, d�truire mon mariage et ma r�putation! ......


Tom poursuivit :


-         "C'est bon.....� Je ne veux pas avoir � r�p�ter mes menaces pour te faire ob�ir! .....� Si cela te pose probl�me, on pourra toujours te rendre de cette drogue que je t'ai donn�e la nuit derni�re... Tu as pu constater son efficacit�! ....� Nous sommes un groupe de gens � l'imagination assez vive, les images pourraient �tre bien pires si l'on te droguait � nouveau! ......



  Je savais pertinemment que sans aucun doute qu'ils prendraient un �norme plaisir � me d�truire si je ne me montrais pas d'une docilit� absolue! ....


Je ne savais pas si je pourrais leur ob�ir, j'ai toujours �t� une femme tr�s conservatrice, je n'�tais pas de ces filles qui s'habillaient pour provoquer et exciter les m�les, avant cette nuit, je n'avais jamais eu de rapports sexuels avec plusieurs partenaires et je n'avais surtout jamais pos� pour des photos pornographiques.



  En de nombreuses occasions Brian m'avait demand� de poser pour des photos sexy, il me r�clamait d�sesp�r�ment une photo sexy pour emmener lors de son s�jour en Irak.


Je pensais que c'�tait pour la montrer � ses copains aussi avais-je refus�.


Je l'aimais de tout mon c�ur, et j'aimais �tre sexy, mais c'�tait juste pour Brian et moi. Tout au moins jusqu'au d�but de cette nuit.



  Tout en m'avertissant de lui ob�ir docilement si je ne voulais pas �tre drogu�e � nouveau, il tendit le bras vers moi et me caressa comme s'il �tait le propri�taire de mon corps.


Je le ha�ssais de toucher des endroits intimes que seul mon mari aurait du pouvoir toucher, je le d�testais d'autant plus que mon corps r�pondait � ses caresses.


Bien que je sache que ce n'�tait qu'une r�ponse primitive, sur laquelle je ne pouvais exercer aucun contr�le, je d�testais sentir mon corps se lib�rer de mon cerveau.


Je hissais d'autant plus que je savais que je lui appartenais totalement le temps qu'il se fatigue de mes charmes.



  Il me fit relever et me dit alors :


-         "Allez ma ch�rie, allons dans ma chambre trouver quelque chose � te mettre sur le cul! .... Puis on va aller faire un tour�.. �


D'un� cot� j'�tais ravie de ne pas devoir passer la journ�e enferm�e avec ces salauds, mais par ailleurs, je craignais vivement les humiliations qu'ils pourraient me faire subir en public."



  Un coup d��il sur leurs visages respirant la cruaut� suffit � me convaincre que je ne devais attendre aucune piti� de leur part.


Ils �taient plus vieux que moi et flirtaient tous avec les 30/35 ans.


C'est tout ce que je savais d'eux. Je ne connaissais le nom que de trois de ces salauds, Tom, Rory et John.


Avant cette funeste nuit je n'avais appartenu qu'� deux hommes, mon mari bien sur et un petit ami qui avait cueilli maladroitement mon pucelage alors que j'avais 18 ans. Et voil� qu'en une seule nuit, le nombre de mes amants grimpait � 7, et encore dont deux dont je ne connaissais m�me pas les noms.



  Je suivis Tom dans sa chambre, il me dit alors :


-         "T'as juste besoin de quelque chose qui te permette de gagner l'endroit o� l'on va, une l� on te trouvera une tenue plus appropri�e... "



  Il sortit d'une commode une chemise qu'il me tendit.


Je l'enfilais et commen�ais � la boutonner.


Il me stoppa avant que je n'aie boutonn� beaucoup de boutons.


Je regardais jusqu'ou descendais les pans de la chemise, devant eux couvraient � peine ma chatte, je doutais qu'ils couvrent la totalit� de mes fesses.


Il m'avait fait arr�ter le boutonnage sous la poitrine.


La chemise �tait ample et le d�collet� pendait bas d�voilant mes nichons � tous les gens qui me regarderaient de cot�.



  Je me tenais debout, attendant qu'il me tende une autre pi�ce de v�tements, mais il sourit et rigola :


-         "C'est parfait, allons-y... "



  J'avalais ma salive sous le choc, j'avais r�solu de ne pas tenter de me d�rober � ses ordres, je savais que de toute mani�re c'est lui qui gagnerait. Cependant il m'�tait impossible de sortir aussi peu v�tue! ....



  Je l'interpellais :


-         "Tom, attendez... "



  Il arr�ta et se retourna, un large sourire illumina alors son visage.


Je suis imm�diatement qu'il ne me donnerait rien d'autre � porter. Il avait d�cid� de m'humilier, j'h�sitais une seconde et je feintais :


-         "Mes pieds...� Pourrais-je au moins enfiler mes sandales? ...."


Il me regarda ironiquement et r�torqua :


-         "Je suppose qu'elles sont dans le salon, allons y salope! ...."



  Je pensais fugitivement :


-         "Je ne suis pas une pute, mais toi tu n'es qu'un sale b�tard mon salaud! ...." Je me mordis la langue pour ne pas exprimer � voix haute ce que je pensais tout bas.


Je ne voulais pas qu'il se sente oblig� de me prouver que j'avais un statut de soumise d�sormais.



  Je m'arr�tais dans la chambre et me regardais dans un� miroir en pied, je n'en crus pas mes yeux, il fallait que je sorte d�v�tue de cette fa�on! .....


Je me tournais et je vis que j'allais offrir une bonne moiti� de ma croupe � la vue des passants.


Je rattrapais Tom avant de lui donner l'opportunit� d'exercer son autorit�, lorsque j'entrais dans la salle de s�jour, ces salauds explos�rent de rire et siffl�rent en me voyant dans une tenue aussi d�gradante.


Je jetais un coup d��il panoramique et retrouvais mes sandales sous la table basse, je les enfilais, ils se lev�rent tous d'un m�me mouvement et nous part�mes.



  16 septembre 2007


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)



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