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Review This Story || Author: Coulybaca

Pour sauver son mari (Time served Part 1)(French)

Chapter 4

Pour sauver son mari Ch 4

Pour sauver son mari Ch 4

 

Chapitre 4

 

 

Le lendemain matin, Vicky et sa soeur se rendirent à chez elle pour y prendre quelques vêtements et des affaires personnelles.  Valérie et son mari l'accompagnaient.

Une fois ce dont elle avait besoin empaquetait, elle ferma fenêtres et portes à double tour et jeta un dernier coup d'oeil dans le salon. Quelques heures plus tôt elle se faisait sauvagement agresser dans cette pièce.

Elle se dirigeait vers la porte lorsque quelque chose attira son regard : un cassette vidéo, par erreur ils avaient oublié une cassette vidéo, elle s'en empara prestement et la fourra dans son sac à main.

 

Ce même jour, le gros sergent était assis à son bureau, il préparait une soirée vidéo pour les détenus, il invita les gardes et les habitués

Lorsqu'ils violaient et filmaient une femme de détenu, celui ci pouvait voir le film dès le lendemain c'était simple comme bonjour.

Ils étaient 19 spectateurs, 18 habitués et un nouveau : Sanderson. Sa femme était la vedette de la vidéo, c'était assurément la plus jolie femme qu'ils aient filmée jusqu'ici. Tous les hommes qui avaient vu des photos d'elle nue avaient payé leur place pour regarder la cassette.

 

Bien qu'il ait violé la plupart des femmes des spectateurs présents, c'était la première soirée vidéo à laquelle assistait Boone. Il avait payé une grosse somme pour  sauter cette gonzesse et il voulait voir le film qu'ils avaient concocté. Il voulait revoir Vicky nue.

Après tout c'était la femme la plus belle et la plus sexy que ces hommes aient depuis  longtemps.

 

C'est assez surpris que j'avais gagné la salle de vidéo, je n'avais aucune idée des raisons de cette invitation. la pièce contenait,  quelques gardes et beaucoup de détenus.

Tous les regards était braqués sur moi, ils chuchotaient et riaient, se moquant visiblement de moi.

Boone m'appela, je m'assis à coté de lui. Quelques spectateurs se masturbaient ostensiblement, ce qui accrut encore ma nervosité, et j'étais prêt à me sauver, dans la crainte de me faire partouzer.

 

Le gros homme arriva, il prit la parole :

-      "Salut les gars, cette soirée est spéciale, vous allez vous régaler ..... Je suis certain que vous avez tous vus des photos de Vicky, la ravissante femme de Sanderson …..Très bien .... Nous lui avons fait une petite visite hier soir, on s'est bien amusé ..... On a filmé cette bonne séance de baise et c'est ce que nous allons regarder ce soir."

 

Mon coeur s'emballa à ces mots, ils avaient violenté ma femme dans notre maison, et ils se préparaient à projeter la vidéo qu'ils en avaient tiré, je n'avais aucune idée de son contenu, ce que je vis me choqua, me rendit furieux et m'excita tout à la fois.

 

Le gros porc lança la vidéo sur la télé grand écran.

Ma ravissante jeune femme normalement vêtue apparut, elle répondait à un questionnaire, en introduction.

-       "5 C, 75, 95 ..."

-       "Quelles sont tes mensurations ? "

-       "Beaux nichons ma fois, à quel âge t'es-tu fais dépuceler ?"

-      "15 ans ….."

-      "Qui t'as dépucelé ? ...

-      "Je t'ai  demandé qui t'as dépucelé ..."

-       "Mon mari ….."

-       "As-tu déjà baisé avec deux hommes en même temps ?"

-       "Pas avant cette semaine ..."

La salle éclata de rire à ces mots.

-      "T'es-tu déjà fait baiser par un animal ? ..."

-      "Non ...

-      "Le ferais-tu si on te l'ordonnait ? ..."

-      "Non …."

-      - "Nous verrons bien chérie ..." commenta l'homme avec un sourire démoniaque.

-      "Aimes tu te faire baiser ?"

-      "Oui ....Par mon mari ... Pas par vous salauds !...."

De nouveau la salle résonna de rires bruyants.

-      "Avales-tu le sperme ? .."

-      "Normalement oui ..."

-      "Aimes-tu te faire enculer ? .."

-      "C'est pas ce que je préfère ..."

Encore une fois les spectateurs hennirent leur joie.

-      "C'est ton époux qui t'a dépucelé, est-ce aussi lui le premier à t'avoir enculée ?"

-      "Oui c'était lui ..." L'interview, de plus en plus intime, dura quelques minutes.

Vicky, expliquait sereinement qu'elle aimerait  se faire prendre en sandwich tandis qu'elle sucerait un troisième homme.

J'étais à la fois surpris et excité.

Malgré nos années de mariage, Vicky était bien trop timide pour discuter de sexe de façon si détaillée avec moi et voilà qu'elle s'étalait avec complaisance tandis qu'on la filmait.

 

Elle semblait si différente de la Vicky que e connaissais, une lueur égrillarde dans son oeil renforçait cette impression de complaisance.

Le gros porc lui demanda alors de se déshabiller. Elle voulut savoir si elle devait juste se déshabiller ou faire un strip-tease. Il répliqua que c'était à elle de choisir. Elle me surprit en déclarant

-      "Je ferai ce que vous voudrez ! .... Demandez et je m'exécute ! ...."

 

Elle commença alors à danser sur une musique qu'elle seule entendait, puis elle enleva son corsage, s'exhibant en soutien-gorge, les spectateurs se livrèrent à quelques commentaires salaces.

Lorsqu'elle dégrafa son soutien-gorge pour le laisser choir au sol, ils avalèrent tous leur salive.

Lorsqu'elle se dépouilla de son jean dansant juste vêtue de son string, les spectateurs pétèrent les plombs.

Mais les cris redoublèrent lorsqu'elle retira son cache sexe, penchée en avant, jambes largement écartées, elle coinça la bite de son partenaire entre ses pieds.

Elle le branla des deux pieds, tout en se cambrant pour mettre en évidence sa chatoune.

L'homme qu'elle masturbait de ses pieds juta sur ses mains, elle continua imperturbablement à le branler, alors qu'il continuait à gicler.

 

Vicky affrontait sereinement la caméra. Les spectateurs grommelèrent sourdement à la vue des sa paire de nibards et de son pubis d'or.

La caméra détaillait ses courbes voluptueuses.

 

Puis, à la demande de Jimmy et du gros porc elle prit des poses excitantes.

Jambes grandes écartées, le gros porc lui demandait d'ouvrir sa foufoune de ses doigts, de tendre ses nichons, de les laisser tomber, à cette vue l'assistance péta à nouveau les plombs.

Ils étaient si gros si fermes, tous les spectateurs en frémissaient d'envie, exactement comme moi lorsque nous faisions l'amour.

 

Puis quelques plans d'elle utilisant des godes et des plugs défilèrent, je ne l'avais jamais vue utiliser ces jouets, cependant elle semblait apprécier qu'on lui insère des godes ou des plugs dans le cul.

 

Puis vint la scène de la cravate de notaire, ils applaudirent tous cette scène des plus grivoises, il faut dire que la vue de la pine de Jimmy coulissant entre ses globes mammaires était des plus excitantes.

Lorsqu'il éjacula sur son visage puis étala le sperme sur ses joues, son menton, ses lèvres,  ils rirent souhaitant faire de même.

Lorsqu'ils lui firent lécher les filets de sperme marbrant ses seins, je désirais follement la posséder à cet instant, elle suça longuement ses nichons avant qu'on ne lui dise de cesser.

 

Puis elle fit une pipe au gros porc,  tout le monde riait et applaudissait.

Lorsqu'il jouit et qu'elle avala sa semence si obligeamment, la salle sombra dans le délire. Je ne l'avais jamais vue aussi excitante, aussi sexy.

Au spectacle de cette pipe menée de main de maître bien des spectateurs jouirent dans leurs pantalons ou bien par terre.

 

La salle avait retrouvé un certain calme lorsqu'ils commencèrent la scène de fist-fucking.

Voir ce gros porc lui fourrer sa grosse main dans le vagin me choqua profondément, les hommes giclèrent à nouveau lorsqu'ils le virent vriller sa main dans la chatte de Vicky, je me désolais en voyant la souffrance s'afficher sur son visage, j'aura voulu pouvoir occire ces bâtards, je me jurais de les tuer dans d'horribles souffrances.

 

Puis Jimmy l'encula alors que le gros homme avait toujours sa main fourrée dans son vagin, on n'entendait plus un bruit dans la salle, ils cessèrent même de se masturber fascinés par la scène qui se déroulait sur l'écran.

 

Ma haine grandissait à chaque coup de boutoir dans le ventre de ma femme, j'aurai voulu les tuer à l'instant, sur leurs sièges.

C'est alors que Boone se pencha vers moi et me dit :

-      "Ne fais pas ça l'ami, t'es encore en vie et ils la baiseront quoi que tu fasses …. Que tu veuilles bien ou que tu ne le veuilles pas ...... En dehors de cela, j'aimerai bien m'la faire à nouveau moi aussi !...."

 

La cassette se termina enfin, tout le monde resta assis, le gros sergent donna l'ordre aux gardes de raccompagner les détenus dans leurs cellules.

Je passais la nuit yeux grands ouverts, allongé sur mon lit, révolté par ce que j'avais vu, et les souffrances que visiblement ma gentille petite femme avait enduré.

 

-      *****************************

 

Vicky ne me visita ce week-end, ils furent tous désappointés.

Elle ne revint que deux semaines plus tard. Elle portait une robe d'été, elle était ravissante. Elle était allée chez le coiffeur et semblait reposée.

Elle s'assit seule dans la salle des visites aux cotés de détenus discutant avec leurs femmes.

Ils vinrent me chercher, je me rendais au parloir et m'assit à ses cotés.

 

-      "Bonjour chéri t'ai-je manqué ? ..... " me demanda-t-elle m'embrassant tendrement à pleine bouche.

 

Elle se redressa, déboutonna mon pantalon, sortit ma bite et entama une branlette à deux mains.

La salle était pleine, mais cela ne l'arrêta pas, elle remonta sa jupe, les hommes assis à proximité virent tous qu'elle ne portait pas de culotte.

J'étais curieux de savoir jusqu'où elle irait dans sa volonté de me donner du plaisir, aussi je pensais que je devrai la tester.

Alors que je me demandais quoi faire, Boone accompagné par quelques  copains entra et s'assit de l'autre de la pièce.

Je dis à Vicky de se mettre à genoux pour me faire sa pipe.

Je pensais qu'elle se glisserait sous la table, comme les autres épouses de détenues, je fus fort surpris de la voir s'agenouiller à coté de la table, à découvert pour calmement se remettre à me sucer.

 

Nos voisins nous regardaient ébahis. Quelques femmes étaient en colère de la voir agir aussi ouvertement, d'autres se montraient curieuses et s'excitaient à la vue de cette jolie blonde faisant une pipe à son mari au su et au vu de tous.

J'aimais ça ! .......J'aimais la voir aussi belle et sensuelle !..... Je l'aimais de me sucer à la vue de tous ......J'étais très heureux de la voir faire ce que je voulais ! .....

J'ai essayé de me retenir, mais je n'y suis pas arrivé, je giclais presque immédiatement dans sa bouche.

 

Elle savoura toutes mes giclées, puis, se relevant elle me murmura à l'oreille :

-      "On les tient par les couilles ! ..... Ils ont laissé traîner une vidéo à la maison, je l'ai amenée à un avocat..."

-      "Qu'entends tu par ils ont oublié une vidéo à la maison ? .... Quelle vidéo ? ...... J'ai vu celle qu'ils t'ont fait faire ! ....." lui dis-je toujours raide, récupérant lentement de la pipe qu'elle venait de me faire.

 

-      "Une ancienne vidéo ... tu vois cette fille avec le mexicain ....Ils ont filmé son viol ....." dit-elle désignant une femme de l'autre coté de la pièce.

Je jetais un oeil curieux et vis une mignonne petite mexicaine me souriant en me faisant un signe de la main.

Elle poursuivit :

-      "L'avocat a rapidement identifié cette jeune femme et pas plus tard que ce matin, nous nous sommes rendus chez le procureur, il identifia quatre autres femmes sur la bande stéréo, ce ne fut pas très difficile.

 

Ebahi, je lui dis :

-      "Mais c'est fou ! ..... Sois sur dès que je sortirai  d'ici .....Ils tenteront de me tuer ... En tout cas ce sera fini ...Si tout est décidé, pourquoi me demandes-tu mon avis ? .." poursuivis-je avec une certaine impatience.

-      "Parce que je t'appartiens entièrement désormais, je ferai ce que tu voudras, quand tu voudras ..."

-      "Tu penses vraiment ce que tu dis ? ..." m'esclaffais je incrédule, et j'ajoutai :

-      "Boone me tuera si le procureur s'en mêle ! ..."

 

-      "Ne te tracasse pas pour Boone, ...  On va lui proposer un bon marché s'il témoigne contre les gardes ... De toute façon il m'aime et il fera ce que je lui demanderai ! ....." me dit-elle confidentiellement, et elle poursuivit :

-      "Appelle le "

 

-      " Boone " l'appelai je lui faisant signe de la main.

-      "Vicky voudrait te parler ! ..."

 

Le colosse s'assit près de Vicky, et lui posa le bras sur l'épaule, empaumant de la main un de ses seins.

-      "Arrête .." dit -elle éclatant de rire, en enlevant sa main de sa poitrine.

-      "Sois gentil ... .. Il est arrivé un paquet de choses aujourd'hui .... Cela te concerne ... Et le temps qu'il te reste à tirer ... Mon avocat m'a dit qu'il pouvait obtenir une forte réduction de peine si tu nous aidais .....Cela t'intéresse-t-il ? ....."

-

Le colosse sourit et répondit :

-      "Tout ce qui me fera sortir d'ici plus rapidement m'intéresse forcément ...." dit-il badinant

-      "Sérieusement il s'agit de quoi ? ....."

-      "A 14 heures, Je dois rencontrer le Procureur pour lui parler du viol que j'ai subi.... Nous disposons d'assez de preuves pour mettre  ces gardes à l'ombre pour longtemps, mais on a besoin de ton aide ....... la vidéo concerne plusieurs femme de détenus que les gardes font chanter mais on un aurait besoin d'un témoin emprisonné qui corroborerait nos dires...... Mon avocat prétend qu'il peut obtenir ta libération anticipée en échange de ton témoignage ... Cela ne dépend donc que de toi ...... Il m'a dit qu'il te restait 18 mois à tirer ......"

 

Boone soupira lourdement :

-      "Hmmmmmm ....Témoignez et vous serez libéré ! ...... Je n'ai encore jamais balancé personne ..... Mais passer encore 18 mois dans ce trou à rats ....." et se tournant vers Vicky, il convint :

-      "C'est d'accord .... Mais je suis aussi impliqué dans ces viols ...... J'ai payé pour ce gros porc pour baiser avec ces femmes ...... Que me feront-ils pour ces viols ! .... "

 

-      "C'est prévu au marché qu'on te propose. ... Si tu témoignes toutes les charges contre toi seront abandonnées,.... Alors qu'en dis tu ? ......."

 

Boone se leva et se dirigea vers la fontaine, il se servit un verre d'eau et revint s'asseoir au coté de Vicky, il posa à nouveau son bras sur son épaule et empauma un de ses seins.

-      "C'est d'accord ….. Je marche avec vous ..... mais je vais te demander quelque chose ..... J'ai vu ce que tu as fait à ton mari il y a  à peine 10 minutes ....... Fais moi aussi une pipe pour me remercier ...!"

 

Vicky sourit, me regarda et lui dit :

-      "T'es bien sur que tu veux que je te suce maintenant ? .... Tu vas sortir dans quelques semaines, on pourra alors prendre tout notre temps ..... Alors que fait-on ? ....." - "Pourquoi joues de cette façon avec mes nerfs chérie ?..." dit il souriant à pleine dents.

-      "Fais moi un pipe tout de suite, de toute manière tu pourras m'en faire une autre plus tard ! ....." et me jetant un oeil il ajouta :

-      "Allez mon pote, aide moi sur ce coup là ...".

 

Je regardais Vicky et opinais de la tête.

Immédiatement elle descendit de son siège et s'installa entre les cuisses du colosse noir, dégrafant sa braguette, elle sortit la monstruosité à demi érigée et l'emboucha séance tenante.

Sa bouche était distendue aux limites de la dislocation, mais elle parvenait à l'enserrer de ses lèvres actives, relevant la tête elle regarda Bonne dans les yeux et dit :

-       "Tu me jures de protéger mon mari ? .... " Boone hocha la tête en signe d'acquiescement et elle replongea sur sa bite.

 

Après quelques difficultés, elle ne tarda pas à prendre son rythme de croisière, nos voisins regardaient incrédule cette jeune femme blanche sucer un noir sans se soucier de l'assistance.

Cela ne prit pas très longtemps, et le colosse noir lui balança gerbe après gerbe sa semence au fin fond de la gorge. Elle avala les gerbes chaudes avec un plaisir évident, puis elle lui, toiletta sa bite avant de l'embrasser une dernière fois sur le méat et de la ranger dans son pantalon.

 

-      "Merci chérie, c'était très bon ..... Et maintenant ? ..."

-      "Quoi maintenant ….. Que veux-tu de plus ? ...." demanda-t-elle confuse.

-      "Bien sur que je veux plus ! .... Mais pas maintenant ! ..... Je voulais dire que se passe-t-il maintenant ? ....."

-      "J'en saurai plus vers 15 heures, je vous ferai alors savoir ... l'un d'entre vous peut-il m'appeler vers 17 heures ? ......

Boone opina et elle continua :

-      "J'y vais maintenant, on est bien d'accord mes chéris ? ..... " finit-elle me souriant tendrement.

 

-      "On est d'accord ma chérie ...... Prends garde à toi ......" répondis je, puis je quittais la salle accompagné de Boone.

 

Le gros sergent l'accosta dans le hall de sortie, il lui sourit, elle voulut se libérer, mais il la tenait fermement.

 

-      "Je dois y aller " parvint-elle à balbutier

-      "Je n'ai pas le temps de faire quoi que ce soit en ce moment, venez avec vos amis ce soir, je ferai tout ce que vous voudrez ..."

 

A contrecoeur, il la laissa partir. Il savait que de toute façon ce serait bien mieux ce soir, ils pourraient prendre leur temps. Il regardait rouler son petit cul ferme tandis qu'elle descendait le vestibule, il bandait déjà en évoquant l'image de son sphincter anal enserrant d'une main de fer sa grosse bite noire.

Il pensa vicieusement :

-      "Ce soir, après m'être servi de sa chatte,  je lui péterai la rondelle ! ....

 

Vicky rejoignit le parking où sa soeur l'attendait, ils allèrent se restaurer dans un bar, ils discutaient des événements à venir et de la revanche que ces femmes violées tireraient de leurs violeurs.

 

*****************************************

 

A exactement 14 heures moins quart, Vicky se trouvait avec son avocat dans salle d'attente du bureau du procureur.

A 14 heures juste on les introduisait dans le bureau où ils attendirent quelques minutes le procureur. La porte du fond s'ouvrit bientôt et Elisabeth Durand, le procureur et son assistant entrèrent dans la pièce.

 

Souriante, elle posa son attaché case sur le bureau précisant :

-      "On dispose de 30 minutes, Qu'est ce que cette histoire de gardes contraignant des femmes de détenues à avoir des rapports sexuels avec eux et à se prostituer avec d'autres détenus ? ....."

 

30 minutes plus tard, ils avaient tout raconté à un procureur horrifié, lors du visionnage de la bande vidéo, elle ordonna à son assistant de démarrer une procédure, elle regarda  la cassette du début à la fin.

Elle y vit 6 femmes de différentes ethnies et de différents âges obligeaient de se livrer à des rapports sexuels sous la contrainte, elle vit ces femmes se faire humilier et violer par les deux mêmes hommes.

 

-      "On va coincer ces salauds ! ...... Qui sont ces femmes ? ..."

-      "Ce ne sera pas aussi simple que cela " intervint Vicky qui poursuivit :

-      "Il y a 3 ou 4 autres gardes et peut-être même plus impliqués dans ces viols ! .....On ne les connaît pas tous  ... Ils seront tous chez moi ce soir ! ......Pour ...... Collecter le prix de leur bonne volonté ....... C'est du moins ce qu'ils m'ont dit ! .... Et si l'on refuse, ils battent nos maris ......."

 

-      "Ce soir ? .." demanda le procureur.

-      "Pourquoi n'établisserions-nous pas une souricière pour les prendre en flagrant délit ?..."

-      "C'est d'accord, mais rappelez vous vous nous avez promis d'aider Boone ! ..... Il a protégé mon mari..... " intervint à nouveau Vicky qui poursuivit :

-      "Je ne sais pas à quelle heure ils vont se pointer chez moi ce soir, mais j'ai demandé au sergent d'amener tous ses amis ! .... Est ce bien encore un viol puisque c'est moi qui leur ai dit de venir ! ......"

 

-      "Ne vous inquiétez pas, nous ferons comme si ..... " et se tournant vers son assistant elle ajouta :

-      "Je veux un secret total sur tout ceci ... pas de presse .... Appelez le capitaine Glendenning et mettez le dans la confidence ! .........

 

 

******************************************

 

Assise dans son salon, Vicky pliait nerveusement des vêtements, elle savait que beaucoup de choses reposaient sur elle et de sa façon d'agir cette nuit.

Il leur fallait la preuve qu'il s'agissait bien de viols sous la contrainte, elle devait les amener à se dévoiler ce soir, il fallait qu'on la voie se faire violenter, il n'était que 20 heures et personne n'était encore là.

Les caméras étaient prêtes, les micros ouverts, la maison en était largement équipée, la police était prête pour les arrestations.

Elle savait que ces hommes la verraient sur leurs écrans de contrôle et cela l'excitait.

 

On frappa à la porte Vicky se leva et ouvrit. Ils étaient sept, d'âges, de races, et de statures différentes.

Ils entrèrent amenant leurs canettes de bières et des pizzas. Il s'étaient préparés pour une partouze dont Vicky serait l'objet principal.

 

Le gros sergent commenta :

-      "C'est bon les gars ... On est arrivé .... Fous toi a poil et écarte les cuisses salope ! ....."

 

-      "Attendez " les interrompit Vicky

-      "Vais je devoir me faire baiser par tous ces hommes ? .....Je vous en prie Non .... Vous ne pouvez pas m'obliger à faire ça ! ......... Je vous en prie ...Nonnnn ... Vous allez encore me déchirer ...... J'ai du me faire recoudre aux urgences la dernière fois ! ....."

 

-      "Ta gueule morue, et fous toi à poil rapidement ou je leur dit à tous de t'enculer ..." lui intima le gros sergent en décapsulant une bière.

Il s'assit attendant qu'elle s'exécute.

-      "Qu'est ce que tu nous fais salope ? ....."

 

A contrecoeur Vicky entama son strip-tease, elle se demandait pourquoi la police n'intervenait pas.

Ils l'avaient entendu dire qu'elle refusait de se plier à leur volonté, qu'avaient-ils besoin de plus ? .....

Une fois son chandail enlevé, elle dégrafa son soutien-gorge et le laissa tomber au sol.

 

Les agents dans la voiture garée à l'extérieur sentaient leurs bites se tendre à la vue cette magnifique poitrine. Ils n'en croyaient pas leurs yeux, comment une poitrine si grosse pouvait-elle paraître si ferme ? ...

Ils se regardaient les uns les autres ébahis l'un d'eux intervint :

-      "Woua ce qu'elle est bandante ..... J'aimerai bien me la faire moi aussi ......"

 

Elle baissa la fermeture éclair de sa jupe et la laissa choir à son tour,elle ne se trouvait plus maintenant vêtue que de sa petite culotte de dentelle blanche, ils grognèrent lorsqu'ils virent que cette mignonne jeune femme portait une culotte de grand-mère.

 

-      "Qu'est ce que c'est que ça ? ....." demanda le gros porc.

-      "Ce sont des culottes de douairière ! ..... Vire moi ces loques et montre nous ton somptueux corps de putain ! ....."

 

Vicky se dépouilla de ses culottes à l'ancienne et les jeta au visage d'un des gardes en badinant, il la saisit et prit le fond en bouche déclenchant les rires et les plaisanteries de ses partenaires.

Puis elle surprit tout le monde en annonçant :

-      "Puisque vous m'obligez à me faire baiser par chacun d'entre vous, qui passe en premier ? .... Je veux juste que vous sachiez tous vous pouvez partir et me laisser tranquille ... Ne vous sentez pas obligés de le violer !...."

Ils rirent et le gros dit à Jimmy de démarrer la vidéo. Puis il dit à tous les hommes de se foutre à poil, puis il dit au plus jeune de s'étendre sur le sol.

 

Une fois le jeune homme allongé, il ordonna à Vicky de le chevaucher.

 

Elle hésita s'attendant à tout instant à ce que les flics envahissent la maison, mais, lorsqu'il lui hurla dessus, elle s'accroupit d'elle même sur la juvénile bite dressée droite.

-      "Ca commence pas trop mal"  pensa-t-elle, puis elle perdit tout contrôle lorsqu'on la poussa sur le torse de son jeune agresseur, paniquée elle sentit qu'un des gardes lui graissait le trou du cul, elle s'affola :

-      "Mais où sont-ils ? ... Que leur faut-il de plus ? ......

 

Empalée sur le jeune homme, sa poitrine frottant contre son buste, le trou du cul bien lubrifié, elle se sentit agrippée par les hanches tandis qu'une épaisse queue se présentait à l'entrée de son cul.

Il la pénétrait lentement, elle se mit à hurler appelant à l'aide tout en pleurnichant :

-      "Nonnnn .... Je vous en prie ... Pas ça ......"

 

C'est alors qu'un troisième lui fourra un chiffon dans la bouche, étouffant ses cris, c'était l'immonde slip du gros porc.

Cherchant à ne pas étouffer, elle tenta de se contrôler, il l'enculait lentement, il ne l'avait pas encore pénétrée de toute sa longueur.

-      "Il doit être monstrueux" craignit-elle fugitivement.

-      "Quand m'aura-t-il tout mis ? ...."

 

L'un d'eux lui enleva son bâillon et enfourna sa bite dans sa bouche rétive, elle se faisait violer et personne ne venait à son secours ! ...

Ils devaient pourtant avoir assez de preuves maintenant ! .....

Qu'est-ce qui leur prenait ? .....

Elle sentait la queue dans on cul arriver au fond de ses entrailles, et oeuvrer de concert avec la bite dans sa chatte, allant et venant alternativement dans ses deux trous embrasés, elle était sans défense totalement à leur merci.

 

L'homme dans son cul lui asséna de terribles coups de boutoirs, alors que l'homme sur lequel elle était empalée s'arquait sur les talons accentuant encore l'empalement.

Lentement ils adoptèrent un rythme particulier, la pénétrant de concert et se retirant de concert, à chaque poussée , son bassin bougeait violemment sous le terrible impact si douloureux, puis ils reprirent un schème plus classique s'enfonçant alternativement dans ses intimités plus du tout secrètes.

 

Le frottement de son clito contre un des pénis l'échauffait inéluctablement lui procurant un plaisir qui l'envahissait petit à petit, elle commença à jouir sauvagement poussant de longues plaintes provoquant l'éjaculation de son baiseur de bouche.

Elle déglutit et avala sa liqueur alors que déjà un autre homme prenait place face à sa bouche, elle l'emboucha et se mit à le sucer servilement.

Un des gardes saisit sa main gauche,un autre sa main droite ce qui la força à s'empaler totalement sur le jeune homme allongé sous elle, puis elle sentit qu'on posait ses mains sur des hampes vigoureuses, on  la força alors à refermer ses doigts sur ces bites frémissantes.

Elle avait une vite dans la chatte, une dans le cul, une en bouche et en branlait deux dernières et personne n'intervenait pour venir à son secours ! .....

 

La bite dans ses entrailles explosa, elle sentit une chaude coulée envahir son boyau assoupli. Il projetait ses salves au tréfonds de ses entrailles, puis il se relava et un nouveau candidat à l'enculage e remplaça immédiatement. Il lui fallut un petit moment pour s'adapter au rythme de la bite dans sa chatte, mais il y parvint et elle fut à nouveau baisée par deux bites qui la labouraient de concert.

 

Un à un ils l'enfilèrent tous par ses trois trous, chatte, bouche, trou du cul. Entre chaque coup ils s'asseyaient et mangeaient des pizzas en buvant de la bière, il était maintenant 23 heures.

 

Le gros porc dit à Vicky de se relever, lentement elle obéit, du foutre gouttait de ses cuisses, provenant de sa chatte et de son cul.

Sa bouche était empâtée, empesée de foutre gluant qui s'accrochait à sa luette, ses amygdales et sa langue. Le gros porc lui dit alors :

 

-      "Sourit ma petite chérie, tu es filmée ...Tu sais salope, je vais montrer cette vidéo dans toutes les cellules ... peut-être bien qu'on la mettra sur internet ... je dois avouer qu'entre toutes les femmes qu'on a violées, t'es la plus bandante et la plus baisable ..... Et laisse moi te remercier pour ça, on aime te baiser jusqu'à l'os ! ......."

 

L'agent dans la camionnette a parla dans son casque et dit :

-      "Nous en avons assez .... Allez y ! ..... "

Tous les hommes assis bandaient dur, le plus vieux dit à un des plus jeunes :

-      "En rentrant ce soir j'espère bien que tu vas sauter te femme ... Oui, eh bien moi aussi ! .... Ma vieille femme va avoir une sacrée  de surprise cette nuit ! ......"

 

Ils ouvrirent brusquement les portes et entrèrent.

Commotionnée, Vicky chercha ses vêtements et les enfila prestement. Ses tourmenteurs étaient menottés, on leur lisait leurs droits. Elle regarda tous les hommes présents et poussa un long cri, puis elle retourna se faire soigner à nouveau aux urgences.

 

Trois semaines plus tard, on me libérait, Vicky m'attendait sur le parking de la prison. Je vis son visage souriant lorsque j'approchais de la voiture.

 

-      "Tu conduis ? ..." me demanda-t-elle.

-      "J'en ai marre d'être un numéro ......Je ne veux plus qu'être ton amant et ton ami ! ... " lui répondis-je à coté de la plaque.

 

Je notais alors qu'elle s'était préparée pour moi, elle était nue, complètement nue, elle avait les nichons bombés et les tétons dardés, la chatte rasée et nette.

Elle affichait un sourire démoniaque comme pour dire :

-      "Je ferai tout ce que tu me demanderas, tu n'as qu'à demander.

-      "Je conduis " me décidai-je alors.

-      "Boone sort dans deux semaines, il se rappelle à ton bon souvenir, il m'a dit de te dire qu'il passerait prendre ce que tu lui as promis ! ....."

 

-      "D'accord," dit Vicky,

-      "Cette fois encore, mais juste cette fois ....Je veux t'appartenir le reste de ma vie !......"

 

-      "Juste à moi ? ..... J'aime ta façon de te vêtir ..... Je veux qu'il en soit toujours ainsi à l'avenir .... J'ai faim ... Arrêtons quelque part pour manger .....Je veux que tu gardes l'habitude de te promener nue, et de baiser avec d'autres hommes …... Mais pas trop souvent !......"

 

Vicky sourit et dégrafa ma braguette, sortit ma queue et embrassa le gland, elle faisait tout pour plaire à son mari, parce qu'elle le voulait

Je démarrais la voiture et prit le chemin de la maison. Penchée sur moi Vicky me faisait une pipe, j'étais soudain pressé de rentrer à la maison.

 

 

FIN


Review This Story || Author: Coulybaca
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